sera mieux mis en ligne d'ici ce mercredi soir
Election
présidentielle 2012
observations
& réflexions
I I
11 . 12
Octobre 2011
la liberté de pensée en voie de réapparition
Soyez la tranquille
évidence – Michel
Jobert, ministre des Affaires étrangères 1973-1974,
au
premier rassemblement du Mouvement des Démocrates
Trois records
d’audience ces dix dernières années : les émeutes de Clichy sous Bois en
Novembre 2005 [1],
premier des trois débats radio-télévisés pour la « primaire
socialiste » : 15 Septembre dernier, les explications de Dominique
Strauss-Kahn de retour en France : 18 Septembre 2011 (TF1 avec Claire Chazal). Deux mobilisations citoyennes attestées par
signature de chaque participant : la pétition pour le statut de La
Poste valant maintien
du service public dans la société et l’économie françaises, la participation au
premier tour de la « primaire, à chaque fois, environ deux millions cinq
cent mille pétitionnaires et votants. Pour mémoire, 70% d’abstentions au
referendum du 24 Septembre 2000 pour abréger de sept à cinq ans la durée du
mandat présidentiel (referendum qui s’était tenu dans l’ambiance des
révélations de la « cassette Méry » à propos du financement du
R.P.R.).
L’ensemble de ces
présentes réflexions était rédigé quand j’ai regardé-écouté ce mercredi soir 12
Octobre (France 2 – 20 heures 40 à 22 heures 30) le débat organisé entre Martine Aubry et François Hollande. Ce que je
retiens de ce débat fait la conclusion de cette seconde note pur l’élection
présidentielle de 2012.
Ephémérides…
campagne présidentielle. Le désistement de Jean-Louis Borloo le 2 Octobre,
pourtant crédité de 7% des intentions de vote, soit le tiers de celles pour
Nicolas Sarkozy au premier tour, n’avait suscité aucun commentaire ni regret…
alors que le score (7%) de Ségolène Royal le 9 Octobre et ses larmes,
provoquent plus que des dires, un véritable courant de compassion et de
sympathie au Parti socialiste. Il y a encore de la fibre… mieux même, la femme
battue dans les urnes et abandonnée en 2006-2007 par son compagnon, se prononce
aujourd’hui pour l’investiture de François Hollande. « La politique est
affaire de sentiment ». Les « affaires » au sens judiciaire se
traitant actuellement à huis enclos clos : les vedettes saoudiennes, les
sous-marins pakistanais, les intermédiaires, les vengeances conjugales, un
ancien Premier ministre candidat réputé gagnant jusqu’aux résultats le
défavorisant, et un ancien président de
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Conclusions à la suite du débat
Aubry/Hollande
D’abord un
sentiment – neuf. L’écoute de ce débat conforte l’impression que m’avait déjà
produite samedi soir, l’émission de Ruquier… donnant une heure avec Nicolas
Dupont-Aignan. De nouveau le possible enthousiasme, une certaine joie pas tant
à écouter et à regarder, qu’à éprouver que tout cela est juste, bien venu, sans
doute ajustable, sans doute soumis aux circonstances qui à sept mois de date
d’une prise de pouvoir probable mais pas encore certaine. C’est si nouveau
après l’extraordinaire abus de communication au point que tout ce qui n’était
pas « Nicolas Sarkozy » était de fait réduit au silence par comparaison
à une formidable et constante occupation des lieux audio-visuels accompagnée
par une propagation des dogmes, cynisme et certitudes du président régnant,
d’un parvenu dominant tout et rapetissant, avilissant tout. A commencer part
son personnel politique, car quel que soit l’état du textte constitutionnel, si
les partenaires du président de
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