dimanche 29 mai 2022

 

possible Première ministre, il y a un mois - Véronique Bédague

 

wikipédia à jour au 22 mai 2022 à 17:17 – consulté, le 29 Mai, selon les rumeurs, puis le Canard enchaîné du 11 Mai



Véronique Bédague

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Fonctions

Directrice générale
Nexity

depuis le 19 mai 2021

Alain Dinin

Directrice de cabinet du Premier ministre

1er avril 2014 - 6 décembre 2016

Christophe Chantepy

Patrick Strzoda

Secrétaire générale
Paris

2008-2014

Pierre Guinot-Deléry (d)

Philippe Chotard (d)

Biographie

Naissance

20 janvier 1964



(58 ans)
Wavrans-sur-l'Aa

Nom de naissance

Véronique Marguerite Madeleine Bédague

Nationalité

Française

Formation

École supérieure des sciences économiques et commerciales
Institut d'études politiques de Paris
École nationale d'administration (1988-1990)

Activité

Cadre dirigeant

Autres informations

A travaillé pour

Nexity (depuis 2017)

Distinctions

Chevalier de la Légion d'honneur‎ (2012)
Officier de l'ordre national du Mérite (2018)

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Véronique Bédague ou Véronique Bédague-Hamiliusa, née en le 20 janvier 1964 à Wavrans-sur-l'Aa (Pas-de-Calais), est directrice générale du groupe immobilier Nexity depuis le 19 mai 2021.

Elle a auparavant occupé de hautes fonctions dans le secteur public. Elle est notamment économiste au Fonds monétaire international entre 1994 et 1997, conseillère de Laurent Fabius de 2000 à 2002, secrétaire générale de la mairie de Paris entre 2008 et 2014 et directrice de cabinet du Premier ministre, Manuel Valls, de 2014 à 2016.

Biographie

Famille et formation

Véronique Marguerite Madeleine Bédague1 naît le 20 janvier 1964 à Wavrans-sur-l'Aa dans le département du Pas-de-Calais, du mariage de Michel Bédague et de Marguerite Chuffart2 en 1962 au Touquet-Paris-Plage.

Elle est diplômée en 1984 de l'Institut d'études politiques de Paris et en 1987 de l'École supérieure des sciences économiques et commerciales (Essec)2.

Vie privée

Mariée à Jérôme Hamilius, haut fonctionnaire luxembourgeois3, Véronique Bédague a deux enfants : Hugues et Claire2.

Carrière professionnelle

Dans le public

En 1988, Véronique Bédague intègre la promotion Jean-Monnet de l'École nationale d'administration4. À sa sortie en 1990, elle est nommée au ministère de l'Économie et des Finances : chargée du budget puis en 1992, chargée de la synthèse budgétaire à la direction du budget. En 1994, elle est nommée économiste au département des finances publiques au Fonds monétaire international à Washington. Elle revient en France en 1997, où elle est nommée chef du bureau chargé du budget de l'Éducation nationale puis en 1999, chef du bureau chargé des comptes sociaux à la direction du budget du ministère de l'Économie et des Finances. De 2000 à 2002, elle est conseillère technique chargée de la synthèse budgétaire au cabinet de Laurent Fabius (alors ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie) et de Florence Parly (secrétaire d'État chargée du Budget)2.

Elle pilote notamment le dossier de la loi organique aux lois de finances (LOLF)5.

En 2002, elle est nommée directrice des Finances de la mairie de Paris puis en 2008 secrétaire générale de la mairie2.

En janvier 2014, Véronique Bédague est nommée en conseil des ministres ambassadrice déléguée aux investissements internationaux6, présidente de l'Agence française pour les investissements internationaux (Afii) et directrice générale d'Ubifrance, agence française pour le développement international des entreprises. Elle est chargée de la fusion des deux établissements qui deviendront par la suite Business France3.

Le 1er avril 2014, elle est nommée directrice de cabinet de Manuel Valls7,8,9, à sa prise de fonction comme Premier ministre. Première femme à occuper le poste de directeur du cabinet du Premier ministre, elle est considérée par de nombreux médias français comme la « caution économique » de Manuel Valls10, ce dernier s'étant jusque-là centré sur les questions liées à la sécurité, du fait de son poste de ministre de l'Intérieur11.

Véronique Bédague-Hamilius est, en 2018, l'un des présidents du comité action publique 202212.

Dans le privé

Rejoignant le groupe Nexity en 2017 comme secrétaire générale et membre du comité exécutif, elle multiplie les postes à différentes directions du groupe jusqu’en 2019, où elle devient directrice générale déléguée. Le 19 mai 2021, elle devient directrice générale du groupe immobilier, succédant à Alain Dinin à la tête du groupe13.

Le 16 avril 2022, elle publie une tribune dans Le Journal du dimanche où elle plaide pour remplacer le ministère du Logement par un ministère régalien de la Ville de demain14.

En avril 2022, la presse évoque son nom pour succéder à Jean Castex au poste de Premier ministre15,16,17. Elle décline la proposition après une entrevue avec le président de la République Emmanuel Macron18.

Distinctions

Véronique Bédague-Hamilius est nommée au grade de chevalier dans l'ordre national du Mérite puis promue au grade d'officier le 15 novembre 2018 au titre de « présidente-directrice générale d'une société spécialisée dans l'immobilier d'entreprise ; 29 ans de services. »1.

Le 31 décembre 2012, elle est nommée au grade de chevalier dans l'ordre national de la Légion d'honneur au titre de « ancien chef de bureau au ministère, secrétaire générale d'une mairie ; 23 ans de services »19.

En mars 2021, le quotidien Les Échos la classe en no 6 des femmes les plus influentes sur les réseaux sociaux20.

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Les sources la nomment généralement Bédague-Hamilius, comme le Journal officiel de la République française1.

Références

  • Sophie Fay, « Véronique Bédague-Hamilus - Fer de lance », Le Nouvel Observateur, no 2579, semaine du 10 avril 2014, p. 34-35.

  • La dernière modification de cette page a été faite le 22 mai 2022 à 17:17.


Première ministre pressentie dès la réélection présidentielle, Valérie Rabault

 

wikipédia à jour au 20 mai 2022 à 11:09 – consulté, le 29 Mai, selon les rumeurs, puis le Canard enchaîné du 11 Mai

Valérie Rabault


Valérie Rabault en 2011.

Fonctions

Présidente du groupe Socialistes et apparentésN 1 à l'Assemblée nationale

En fonction depuis le 11 avril 2018
(4 ans, 1 mois et 16 jours)

Élection

11 avril 2018

Législature

XVe (Cinquième République)

Prédécesseur

Olivier Faure

Députée française

En fonction depuis le 20 juin 2012
(9 ans, 11 mois et 7 jours)

Élection

17 juin 2012

Réélection

18 juin 2017

Circonscription

1re de Tarn-et-Garonne

Législature

XIVe et XVe (Cinquième République)

Groupe politique

SRC (2012-2016)
SER (2016-2017)
NG (2017-2018)
SOC (depuis 2018)

Prédécesseur

Brigitte Barèges

Secrétaire de la commission des Finances de l'Assemblée nationale

En fonction depuis le 29 juin 2017
(4 ans, 10 mois et 28 jours)

Président

Éric Woerth

Législature

XVe (Cinquième République)

Conseillère départementale du Tarn-et-Garonne

En fonction depuis le 1er juillet 2021
(10 mois et 26 jours)

Élection

27 juin 2021

Circonscription

Canton d'Aveyron-Lère

Groupe politique

Tarn-et-Garonne en commun

Prédécesseur

Véronique Riols

Conseillère municipale de Piquecos

En fonction depuis le 28 mai 2020
(1 an, 11 mois et 29 jours)

Élection

15 mars 2020

Maire

Christèle Garcia

Rapporteure générale du budget de l'Assemblée nationale

23 avril 201429 juin 2017
(3 ans, 2 mois et 14 jours)

Législature

XIVe et XVe (Cinquième République)

Prédécesseur

Christian Eckert

Successeur

Joël Giraud

Conseillère municipale et communautaire de Montauban

4 avril 20145 juillet 2020
(6 ans, 3 mois et 1 jour)

Élection

30 mars 2014

Maire

Brigitte Barèges

Biographie

Date de naissance

25 avril 1973 (49 ans)

Lieu de naissance

L'Haÿ-les-Roses (France)

Nationalité

Française

Parti politique

PS

Diplômée de

ENPC
Collège des ingénieurs

Profession

Ingénieure

modifier 

Valérie Rabault, née le 25 avril 1973 à L'Haÿ-les-Roses (France), est une femme politique française.

Membre du Parti socialiste, elle est notamment députée de la première circonscription de Tarn-et-Garonne depuis 2012. Première femme rapporteure générale du budget à l'Assemblée nationale de 2014 à 2017, elle est la présidente du groupe parlementaire Socialistes et apparentés depuis 2018.



​Biographie

Valérie Rabault naît le 25 avril 1973 à L'Haÿ-les-Roses, dans le Val-de-Marne1.

​Études

Après une classe préparatoire scientifique au Lycée Louis-le-Grand à Paris, Valérie Rabault entre en 1994 à l'École nationale des ponts et chaussées, dont elle est diplômée en 1998 après avoir suivi un cursus d’ingénieure spécialisée en génie civil et en économie2. Parallèlement, elle obtient un MBA du Collège des ingénieurs en 19983.

​Carrière professionnelle

Valérie Rabault débute comme conductrice de travaux dans le BTP puis s'oriente dans le financement de projets. Elle pratique ensuite son activité professionnelle dans le domaine bancaire en devenant inspectrice à la Société générale, puis en 2003, est recrutée par BNP Paribas Londres au sein des équipes de surveillance des risques 4. En 2005, elle rejoint Paris et, à partir de 2010, devient responsable de la prospective et des risques dans la division Action et matières premières de la banque d'investissement de BNP Paribas5 ; poste qu'elle quitte en décembre 2011 pour une disponibilité et dont elle démissionne en juin 2012 après son élection à l'Assemblée nationale6.

​Carrière politique

​Au sein du Parti socialiste

Valérie Rabault devient membre du Parti socialiste français (PS) en 2000 créant la section de Montaigu-de-Quercy. De 2002 à 2005, elle milite au sein de la section PS de Londres et est membre du bureau fédéral de la fédération des Français de l’étranger (FFE). De retour en France, elle crée une section en 2006 en Tarn-et-Garonne (Montaigu de Quercy) et intègre le Conseil fédéral de la fédération de Tarn-et-Garonne en 20067. En 2012, lors du congrès de Toulouse, elle est élue première secrétaire fédérale du parti socialiste de Tarn-et-Garonne. En 2013 et 2014, elle est secrétaire nationale à l’organisation des universités de La Rochelle du Parti socialiste. Lors du congrès de Poitiers de 2015, elle fait partie des premiers signataires de la motion « La Fabrique » (motion D) 8. Elle intègre par la suite le bureau national du Parti socialiste. Elle reste première secrétaire fédérale de Tarn-et-Garonne jusqu'en avril 20179.

Elle est chargée du projet Économie et Finance dans la campagne de Vincent Peillon pour la primaire citoyenne de 2017. Elle est également membre de son comité politique de campagne10.

​Députée de Tarn-et-Garonne

​Élection en juin 2012

Article détaillé : Élections législatives de 2012 en Tarn-et-Garonne.

À l'issue du vote des militants, elle est investie par le Parti socialiste comme candidate aux élections législatives françaises de 2012 dans la première circonscription de Tarn-et-Garonne où elle est élue députée (avec Roland Garrigues comme suppléant) avec 54,09 % des suffrages exprimés contre 45,91 % à la députée sortante Brigitte Barèges (UMP)11,6.

​Rapporteuse générale du Budget (2014-2017)

Elle est membre et élue en 2012 vice-présidente de la Commission des Finances, de l'Économie générale et du Contrôle budgétaire de l'Assemblée nationale. En avril 2014, elle refuse d'entrer dans le gouvernement Manuel Valls comme secrétaire d’État chargée du commerce12. Christian Eckert étant entré au gouvernement, elle devient la première femme rapporteuse générale du budget à l'Assemblée nationale, Nicole Bricq ayant été la seule femme à avoir jamais occupé une telle fonction auparavant, mais au Sénat de 2011 à 201213.

Deux mois après sa nomination comme rapporteuse générale, Valérie Rabault réalise le 12 juin 2014 une « saisie sur pièce et sur place » au ministère des Finances, dans le cadre des pouvoirs qui lui sont octroyés par l’article 57 de la LOLF14. Elle refuse d'entrer plusieurs fois aux gouvernements Valls par manque d'autonomie dans ces fonctions.

Dans le cadre du projet de Loi de Finances rectificatif de 2015, Valérie Rabault dépose avec Yann Galut, Pascal Cherki et Dominique Potier, l'amendement 340 dans le but d'accentuer la lutte contre l'évasion fiscale. Adopté en première lecture le 4 décembre, l'amendement sera finalement rejeté en deuxième lecture le 15 décembre 2015 lors d'un vote où sur les 577 députés, 46 seulement étaient présents. 21 députés ont voté pour la transparence fiscale, 25 députés s'y sont opposés, dont Valérie Rabault qui avait pourtant déposé l'amendement15. Elle a expliqué les raisons de son vote dans une publication sur son blog16.

En décembre 2016, à l’occasion du débat parlementaire sur la Loi de finance rectificative pour 2016, elle est la 1re rapporteuse générale du budget à utiliser la procédure de « seconde délibération » (possibilité de demander un 2e vote sur un article déjà voté) jusque-là considérée dans l’usage comme prérogative du seul Gouvernement17.

Après les élections municipales de 2014, elle siège au conseil municipal de Montauban ainsi qu'à la communauté d'agglomération du Grand Montauban.

​Réélection législative en juin 2017

Article détaillé : Élections législatives de 2017 en Tarn-et-Garonne.

Elle est réélue députée du Tarn-et-Garonne lors des élections législatives de 2017 avec 55,02 % des suffrages exprimés contre 44,98 % à Pierre Mardegan, candidat de La République en marche18.

Le 8 juillet 2017, elle intègre la direction collégiale du PS19.

​Présidente du groupe socialiste à l'Assemblée nationale (depuis 2018)

Elle soutient la candidature d'Olivier Faure au poste de premier secrétaire du Parti socialiste avant le 78e congrès du parti qui a lieu du 7 au 8 avril 2018 à Aubervilliers20. Après son élection puis son investiture à la tête du parti, elle est élue le 11 avril 2018 à sa succession à la tête du groupe Nouvelle gauche recueillant 21 voix contre 7 à Guillaume Garot. Elle devient ainsi une des premières femmes élues présidant un groupe parlementaire à l'Assemblée nationale française21. La première femme élue présidente de plein exercice d'un groupe parlementaire en France est Marie-Thérèse Goutmann qui présida le groupe communiste au Sénat de 1975 à 197822. Quant à Barbara Pompili, elle fut coprésidente (statutairement présidente en alternance) du groupe écologiste à l'Assemblée nationale de 2012 à 2016, de même que Cécile Duflot de 2015 à 2016.

Sous son impulsion, le groupe parlementaire est rebaptisé « Socialistes et apparentés » le 10 septembre 201823. Opposée à la suppression de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF) et à son remplacement par l'impôt sur la fortune immobilière (IFI), elle tente sans succès de mettre en place un référendum d'initiative partagée pour rétablir l'ISF24. Cette tentative initiée début 2019 par le PS de recourir au référendum d'initiative partagée n'aboutit pas faute de réunir les 185 soutiens de parlementaires25.

À l'initiative de Valérie Rabault et du sénateur socialiste Patrick Kanner, une autre procédure du référendum d'initiative partagée (RIP) est officiellement lancée le 10 avril 2019, quand 248 parlementaires de l'opposition, un projet de rassemblement transpartisan entre parlementaires de gauche et de droite, à l'exclusion de l'extrême-droite, déposent une proposition de loi (« visant à affirmer le caractère de service public national de l’exploitation des aérodromes de Paris ») afin que le groupe ADP (anciennement Aéroports de Paris) soit considéré comme un service public. C'est la première fois qu'une telle procédure aboutit. La proposition a lieu alors que la privatisation du groupe est envisagée par le projet de loi relative à la croissance et la transformation des entreprises26,27,28,29. La proposition de RIP échoue cependant, recueillant 1,09 million de signatures au 12 mars 2020 sur les 4,71 millions nécessaires30.

Elle est candidate en 11e position sur une liste à Piquecos pour les élections municipales de 202031. Elle est élue conseillère municipale de Piquecos le 15 mars 2020, au premier tour des élections32.

Le 15 décembre 2020, elle interpelle à l'Assemblée nationale le Premier ministre Jean Castex sur les intentions du gouvernement vis-à-vis d'une éventuelle privatisation d'Électricité de France33.

Elle est candidate victorieuse aux élections départementales de 2021 dans le canton d'Aveyron-Lère du Tarn-et-Garonne34.

En vue de l'élection présidentielle de 2022, elle soutient d'abord Bernard Cazeneuve35, puis Anne Hidalgo36. Elle s'oppose ensuite à tout accord électoral entre le Parti socialiste et La France insoumise pour les élections législatives37.

En mai 2022, BFM TV révèle que l'Elysée lui a proposé le poste de premier ministre d'Emmanuel Macron, pour son second mandat. Elle confirme cette information et dit avoir refusé, se disant « fidèle à ses convictions » et refusant de porter le projet de réforme des retraites, qu'elle qualifie de « marqueur de droite inutile »38.

​Détail des mandats et fonctions

​Au sein du Parti socialiste

  • 2002 – 2005 : membre du bureau fédéral de la fédération des Français de l’étranger ;

  • Octobre 2012 – avril 2017 : première secrétaire de la fédération du Tarn-et-Garonne ;

  • Juillet 2017 – avril 2018 : membre de la direction collégiale du PS.

​Au niveau local

​À l'Assemblée nationale

​Ouvrages

​Notes et références

​Notes

  1. Groupe Nouvelle Gauche jusqu'au 10 septembre 2018

​Références

  • « Qui est Valérie Rabault, première femme à s'occuper du budget à l'Assemblée ? », Le Monde.fr,‎ 15 avril 2014 (lire en ligne [archive], consulté le 8 décembre 2018)

  • « Biographie de Valérie Rabault - Groupe Socialistes et apparentés », Groupe Socialistes et apparentés,‎ 31 mai 2018 (lire en ligne [archive], consulté le 14 novembre 2018)

  • Tristan Quinault-Maupoil et Sophie de Ravinel, « La course pour la direction du PS est lancée », Le Figaro, samedi 27 / dimanche 28 janvier 2018, page 6.

  • « À l'Assemblée nationale, les socialistes redeviennent "socialistes" », LCP-Assemblée nationale,‎ 10 septembre 2018 (lire en ligne [archive], consulté le 12 septembre 2018)

  • Conseil constitutionnel, Décision no 2019-1 RIP relative à la proposition de loi visant à affirmer le caractère de service public national de l’exploitation des aérodromes de Paris, à venir (lire en ligne [archive]).

  • Anne Debrégeas et David Garcia, « Qui veut la mort d’EDF ? », Le Monde diplomatique, no 803,‎ février 2021, p. 1

  • Jannick Alimi, « Présidentielle 2022 : à Villeurbanne, Anne Hidalgo franchit une marche de plus », Le Parisien,‎ 12 juillet 2021 (lire en ligne [archive]).

  • « Législatives 2022 : entre résignation et rejet d’une alliance avec LFI, les députés socialistes feront campagne sur leur nom », Le Monde.fr,‎ 3 mai 2022 (lire en ligne [archive])





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