Vendredi 25 Avril 2008
Prier malgré tout, dans la détresse, l’incrédulité qu’arrivent les secours, un rien d’estime d’autrui, un début de fécondité, la lumière d’une perspective… prier selon l’exemple de celui que je visite sur un lit d’hôpital…. prier en communion avec les miens et ce qu’ils me manifestent, les miens au féminin duel… Jésus en fin de sa courte vie terrestre et la pensée humaine pour tous ceux qui lui étaient proches, qu’Il avait appelés et qui lui manquaient. La grâce de Dieu qui est avec vous ; restez-y fidèles. La conclusion de l’évangile de Marc, abrupte et simple, l’ « ascension » : enlevé au ciel… quant à eux… c’est rude, mais les disciples si angoissés, si incrédules pendant la vie terrestre du Christ ne semblent pas en souffrir. Le Seigneur travaillait avec eux. Et l’Eglise ainsi fondée devient une force commune, à notre disposition : je vous écris ces quelques mots… pour vous encourager et pour attester que c’est vraiment la grâce de Dieu qui est en vous. Pierre signe ainsi l’une des lettres qui nous sont restées, une vie de lutte spirituelle et très concrète aussi, sinon surtout. Le texte lu chaque soir à Complies. Mais un conseil final : déchargez-vous sur lui de tous vos soucis, puisqu’il s’occupe de vous., qu’il développe cependant par ce tableau des luttes que nous avons à soutenir : il vous affermira, vous fortifiera, vous rendra inébranlables. Vienne le secours… vienne la communion. [1]. Exprimez votre amour mutuel en échangeant le baiser de paix.
Chant maintenant du coucou, mais le jour est encore sans couleur. Fasse le ciel qu'il en trouve.
Le commentaire est général sur l’entretien présidentiel d’hier. 49% de Français ont été convaincus, le sondage que publiera demain Le Figaro, n’est pas détaillé sur les ondes : combien ont suivi l’émission en totalité, combien sont sans opinion ? mais ce chiffre est tout de même excellent puisque Nicolas Sarzkoy partait de 72% de déçus, il a donc progressé de vingt points… André C. que j’interroge, qui dit n’avoir pas voté pour le président régnant, tout simplement parce qu’il ne vote jamais, assure que celui-ci fait ce qu’il peut et que ce n’est pas facile.
Prier malgré tout, dans la détresse, l’incrédulité qu’arrivent les secours, un rien d’estime d’autrui, un début de fécondité, la lumière d’une perspective… prier selon l’exemple de celui que je visite sur un lit d’hôpital…. prier en communion avec les miens et ce qu’ils me manifestent, les miens au féminin duel… Jésus en fin de sa courte vie terrestre et la pensée humaine pour tous ceux qui lui étaient proches, qu’Il avait appelés et qui lui manquaient. La grâce de Dieu qui est avec vous ; restez-y fidèles. La conclusion de l’évangile de Marc, abrupte et simple, l’ « ascension » : enlevé au ciel… quant à eux… c’est rude, mais les disciples si angoissés, si incrédules pendant la vie terrestre du Christ ne semblent pas en souffrir. Le Seigneur travaillait avec eux. Et l’Eglise ainsi fondée devient une force commune, à notre disposition : je vous écris ces quelques mots… pour vous encourager et pour attester que c’est vraiment la grâce de Dieu qui est en vous. Pierre signe ainsi l’une des lettres qui nous sont restées, une vie de lutte spirituelle et très concrète aussi, sinon surtout. Le texte lu chaque soir à Complies. Mais un conseil final : déchargez-vous sur lui de tous vos soucis, puisqu’il s’occupe de vous., qu’il développe cependant par ce tableau des luttes que nous avons à soutenir : il vous affermira, vous fortifiera, vous rendra inébranlables. Vienne le secours… vienne la communion. [1]. Exprimez votre amour mutuel en échangeant le baiser de paix.
Chant maintenant du coucou, mais le jour est encore sans couleur. Fasse le ciel qu'il en trouve.
Le commentaire est général sur l’entretien présidentiel d’hier. 49% de Français ont été convaincus, le sondage que publiera demain Le Figaro, n’est pas détaillé sur les ondes : combien ont suivi l’émission en totalité, combien sont sans opinion ? mais ce chiffre est tout de même excellent puisque Nicolas Sarzkoy partait de 72% de déçus, il a donc progressé de vingt points… André C. que j’interroge, qui dit n’avoir pas voté pour le président régnant, tout simplement parce qu’il ne vote jamais, assure que celui-ci fait ce qu’il peut et que ce n’est pas facile.
Objectif atteint… critique et acompagnements portent sur deux points.
La Chine et le Tibet… cascade de nouvelles selon lesquelles des « émissaires du Dalaï-lama » vont être reçus à Pékin, mais sans que l’ordre du jour soit précisé. Les connaisseurs disent que d’une part les différentes conditonnalités posées par les Chinois au Dalaï-lama sont remplies par celui-ci depuis plus d’une dizaine d’années, et d’autre part que cette rencontre n’est pas la première et qu’aucune dans le passé n’a changé quoi que ce soit sur le terrain.
Le second point est le financement du revenu de solidarité qui serait pris sur la prime à l’emploi, en sorte que les très pauvres seraient par les plus pauvres et pas par les nantis. Laurent Fabius avec clarté, parce qu’il a mis en place cette prime, dénonce le passe-passe. Reste à connaître maintenant si Martin Hirsch va être complice de ce mensonge. La réponse est prévisible, il restera au gouvernement, si petite soit la place qu’il y occupe.
Avec le recul, il apparaît que Nicolas Sarkozy s’est une fois de plus conduit en Premier ministre, interprétant son élection personnelle comme un mandat de programme et pratiquant nos institutions comme si c’étaient celles des Etats-Unis. Les deux sujets de son niveau et de son ressort et dont d’ailleurs le fond lui appartient puisqu’il en a décidé le changement : notre relation avec l’O.T.A.N. et la révision constitutionnelle, n’ont pas été traités ou seulement à la sauvette, par prétérition, très incomplètement. Question : les élus se laisseront-ils faire, vont-ils tomber dans le panneau de quelques modifications rétablissant un peu l’équilibre en faveur du Parlement pour leur faire accepter l’enjeu de fond, l’intervention du président de la République devant eux et donc la confusion des responsabilités gouvernementales et présidentielles, et la manière de mettre les unes et les autres en jeu.
[1] - 1ère lettre de Pierre V 5 à 14 ; psaume LXXXIX ; évangile selon saint Marc XVI 15 à 20
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