Re: TR: « La famille
est une priorité, ensemble agissons ! »
c'est au couple de résister
à ce qui en chacun tend à le désagréger
Le 27/11/2014 10:36, LANDRU Sophie a écrit :
Bonjour à tous,
Je vous transfère ce message qui me semble important et urgent.
N’hésitez pas non plus à adhérer aux AFC, avec internet c’est facile et rapide, ça ne coûte pas grand chose et ça leur donnera du poids pour les négociations avec le gouvernement.
C’est, il me semble, un devoir citoyen et chrétien de défendre la famille.
N’hésitez pas non plus à adhérer aux AFC, avec internet c’est facile et rapide, ça ne coûte pas grand chose et ça leur donnera du poids pour les négociations avec le gouvernement.
C’est, il me semble, un devoir citoyen et chrétien de défendre la famille.
En communion de prière pour la famille,
Sophie.
De : Bertrand de Vulpillieres [mailto:vulpillieres7@yahoo.fr]
Envoyé : jeudi 27 novembre 2014 00:47
À : bertrand de vulpillieres
Objet : La famille est une priorité, ensemble agissons !
Envoyé : jeudi 27 novembre 2014 00:47
À : bertrand de vulpillieres
Objet : La famille est une priorité, ensemble agissons !
Chers amis,
Il est encore temps d’agir
pour manifester votre désaccord avec la déconstruction de la politique
familiale.
Vous trouverez ci-après le
pourquoi, le comment, et les moyens d’action.
Ne tardez pas: le vote final
par l’Assemblée Nationale du Plan de Financement de la Sécurité Sociale
(PLFSS) 2015, (comprenant entre autres: la
proposition d’une mise sous condition de ressources des allocations familiales)
a de grandes chances d’être avancé au 1er décembre.
Manifestez-vous ! C’est
important.
Merci
amicalement,
Bertrand de Vulpillières
(06 19 30 76 17)
|
Ensemble agissons !
|
La politique
familiale est en danger : agir aujourd'hui est nécessaire !
Ces dernières semaines, la politique familiale à
la française est profondément remise en question.
Le rythme s’accélère : après la réduction du quotient familial ou
la fiscalisation des majorations
familiales de retraites, voici maintenant le remaniement du congé parental et la proposition
d’une mise sous condition de ressources des allocations familiales. Jusqu’où iront-ils?
Ensemble, agissons pour préserver la politique
familiale !
Afin de manifester votre désaccord avec la
déconstruction de la politique familiale, nous vous proposons 3 actions :
Je participe à la
manifestation virtuelle Le F$L - Famille à Solidarité Limitée
Pendant des décennies, cette politique familiale
a été notre meilleur investissement et un levier puissant pour l'emploi, le
financement des retraites, la consommation... Quand d’autres pays européens peinaient à renouveler les générations, la France affichait encore,
elle, un des meilleurs taux de
fécondité (2,01 enfant par femme en 2012 ; 1,99 en 2013).
Sous prétexte de redressement
économique, le gouvernement procède actuellement à la déconstruction de la
politique familiale !
Les Associations Familiales Catholiques agissent
depuis toujours pour promouvoir la politique familiale et la famille.
Pour en savoir plus sur nos actions, cliquer ici.
Maintenant, il faut aller plus loin !
Les familles sont à la peine. Pour elles, les AFC doivent peser aujourd’hui auprès des pouvoirs publics. C’est donc le moment d’être généreux.
Faisons bouger les lignes !
|
De : Bertrand Fessard de Foucault [mailto:b.fdef@wanadoo.fr]
Envoyé : jeudi 27 novembre 2014 20:57
À : LANDRU Sophie
Objet : Re: TR: La famille est une priorité, ensemble agissons !
Envoyé : jeudi 27 novembre 2014 20:57
À : LANDRU Sophie
Objet : Re: TR: La famille est une priorité, ensemble agissons !
Ce qui menace la famille vraiment,
Sophie, c'est la rupture du couple.
Fraternellement.
Fraternellement.
Le 28/11/2014 10:49, LANDRU Sophie a écrit :
Lorsque les familles
ne se sentent plus reconnues, plus soutenues, plus aidées… cela n’encourage pas
de nouvelles familles à se créer. Il ne faut pas penser à nous seuls, qui avons
le bonheur d’avoir une famille, mais aux générations qui viennent, qui
rencontreront des difficultés que nous n’avions pas à l’époque, en plus de
celles que nous connaissons, et qui n’auront peut-être ni le goût, ni la
possibilité de fonder une famille !
N’êtes-vous pas d’accord ?
De : Bertrand Fessard de Foucault [mailto:b.fdef@wanadoo.fr]
Envoyé : vendredi 28 novembre 2014 11:51
À : LANDRU Sophie
Objet : c'est au couple de résister à ce qui en chacun tend à le désagréger --- Re: TR: La famille est une priorité, ensemble agissons !
Envoyé : vendredi 28 novembre 2014 11:51
À : LANDRU Sophie
Objet : c'est au couple de résister à ce qui en chacun tend à le désagréger --- Re: TR: La famille est une priorité, ensemble agissons !
Chère Sophie,
c'est le couple et non l'Etat ou même l'Eglise, qui fait la famille. Qu'il y ait une politique nataliste, c'est effectivement affaire publique (la loi de 1920 qui l'a initiée était une mpolitique, pas une morale), elle n'est pas en cause. Les crèches, la proximité de l'école, une législation très sévère pour le respect des congés maternité et parentaux, le travail aux jeunes dès la sortie du système scolaire, c'est cela qui permet les enfants et accentue la propension à en concevoir. Le déclin du mariage et la propension aux divorces et "recompositions" familiales ont déjà plusieurs décennies, ce n'est pas une politique d'Etat, c'est une évolution des moeurs, des sensibilités et aussi des progrès biologiques (allongement de la vie, précocité des jeunes) autant que la dégradation des solidarités sociales et des équilibres économiques.
S'il y carence et responsabilité de l'Etat, c'est dans la conduite de notre économie et dans l'indigence de nos dirigeants à susciter une Europe à la mesure de ce que notre époque requiert, à tous égards. Il n'y a aucune agression contre la famille.
En revanche, depuis la campagne présidentielle de 2012, commencée à la bougie en fond d'abside d'une chapelle romane (Sarkozy, candidat), jusqu'à la salle imposant au même, il y a quelques jours de prononcer ce qu'il n'avait pas prévu de dire : abrogation de la loi Taubira, il y a un mouvement en France qui tend à contrôler l'ensemble de la "droite" du Front national à l'UDI en passant par une part de l'UMP dont l'avenir dira si elle est majoritaire, et qui est tout simplement totalitaire et réactionnaire d'ambition, avec comme habileté de se couvrir de valeurs et de religion, avec le soutien avoué de quelques évêques - c'est comme cela que je lis les "méditations" de la neuvaine pour la France - et de prêtres "intégristes". C'est nouveau. Ce n'est pas un renouveau de la foi. Quand l'Eglise était quasiment au pouvoir avant 1789 en France, y avait-il plus de foi ? qu'aujourd'hui ? Pour l'heure, "c'est parti pour" une tentative durable et protéiforme d'embrigadement en faisant croire à une ambiance agressive contre Dieu, l'Eglise, la "vie", la famille, l'école, la liberté de ... etc... de faire croire à une persécution programmée et résolue de tout ce qui serait chrétien, sinon divin. C'est fou, même si cela "marche". C'est un détournement de la crédulité.
Je crois que c'est une confusion dramatique. La question de France est en ce moment celle d'un pays qui a perdu le sens et le goût de la démocratie, qui du coup n'a plus d'élites morales et désintéressées, et qui - encore du coup - est incapable de restructurer son économie.
Je crois à la ferveur de chacun, au goût de Dieu, voire à la piété, de chacun, ravivée éventuellement par des exercices collectifs, et j'essaie d'approfondir une culture religieuse à la fois informée de l'actualité mondiale, et se fondant sans cesse sur la Bible, la liturgie quotidienne, la prière. Voilà pour les chrétiens. Qui ainsi fondés peuvent ne pas imiter pour certains, certains des intégristes musulmans assoiffés d'imposer leurs idées et leurs moeurs aux autres. Ce qui convertit autrui, c'est ce qui nous oblige à nous convertir nous-mêmes : la charité, le dévouement que le fondement en soit ou non explicite. En revanche, nous savons bien, quant à nous, d'où nous viennent toute force et toute inspiration.
Je compte bien aller, dès que nous aurons de nouveau deux voitures, aux exercices de Kério.
J'ai toute confiance dans l'avenir et de notre pays, et de l'Europe, et de l'Eglise en France.
Affection.
N B le pape François aux "représentants des nouvelles communautés" réunis au Vatican le samedi 22 novembre :
L'homme d'aujourd'hui vit de sérieux problèmes d'identité et des difficultés à faire ses propres choix. C'est pour cela qu'il a une propension à se faire conditionner, à déléguer aux autres les décisions importantes. Il faut résister à la tentation de se substituer à la liberté des personnes, de les diriger sans attendre qu'elles mûrissent réellement... Un progrès moral ou spirituel obtenu en s'appuyant sur l'immaturité des gens est un succès apparent, destiné à faire naufrage.
c'est le couple et non l'Etat ou même l'Eglise, qui fait la famille. Qu'il y ait une politique nataliste, c'est effectivement affaire publique (la loi de 1920 qui l'a initiée était une mpolitique, pas une morale), elle n'est pas en cause. Les crèches, la proximité de l'école, une législation très sévère pour le respect des congés maternité et parentaux, le travail aux jeunes dès la sortie du système scolaire, c'est cela qui permet les enfants et accentue la propension à en concevoir. Le déclin du mariage et la propension aux divorces et "recompositions" familiales ont déjà plusieurs décennies, ce n'est pas une politique d'Etat, c'est une évolution des moeurs, des sensibilités et aussi des progrès biologiques (allongement de la vie, précocité des jeunes) autant que la dégradation des solidarités sociales et des équilibres économiques.
S'il y carence et responsabilité de l'Etat, c'est dans la conduite de notre économie et dans l'indigence de nos dirigeants à susciter une Europe à la mesure de ce que notre époque requiert, à tous égards. Il n'y a aucune agression contre la famille.
En revanche, depuis la campagne présidentielle de 2012, commencée à la bougie en fond d'abside d'une chapelle romane (Sarkozy, candidat), jusqu'à la salle imposant au même, il y a quelques jours de prononcer ce qu'il n'avait pas prévu de dire : abrogation de la loi Taubira, il y a un mouvement en France qui tend à contrôler l'ensemble de la "droite" du Front national à l'UDI en passant par une part de l'UMP dont l'avenir dira si elle est majoritaire, et qui est tout simplement totalitaire et réactionnaire d'ambition, avec comme habileté de se couvrir de valeurs et de religion, avec le soutien avoué de quelques évêques - c'est comme cela que je lis les "méditations" de la neuvaine pour la France - et de prêtres "intégristes". C'est nouveau. Ce n'est pas un renouveau de la foi. Quand l'Eglise était quasiment au pouvoir avant 1789 en France, y avait-il plus de foi ? qu'aujourd'hui ? Pour l'heure, "c'est parti pour" une tentative durable et protéiforme d'embrigadement en faisant croire à une ambiance agressive contre Dieu, l'Eglise, la "vie", la famille, l'école, la liberté de ... etc... de faire croire à une persécution programmée et résolue de tout ce qui serait chrétien, sinon divin. C'est fou, même si cela "marche". C'est un détournement de la crédulité.
Je crois que c'est une confusion dramatique. La question de France est en ce moment celle d'un pays qui a perdu le sens et le goût de la démocratie, qui du coup n'a plus d'élites morales et désintéressées, et qui - encore du coup - est incapable de restructurer son économie.
Je crois à la ferveur de chacun, au goût de Dieu, voire à la piété, de chacun, ravivée éventuellement par des exercices collectifs, et j'essaie d'approfondir une culture religieuse à la fois informée de l'actualité mondiale, et se fondant sans cesse sur la Bible, la liturgie quotidienne, la prière. Voilà pour les chrétiens. Qui ainsi fondés peuvent ne pas imiter pour certains, certains des intégristes musulmans assoiffés d'imposer leurs idées et leurs moeurs aux autres. Ce qui convertit autrui, c'est ce qui nous oblige à nous convertir nous-mêmes : la charité, le dévouement que le fondement en soit ou non explicite. En revanche, nous savons bien, quant à nous, d'où nous viennent toute force et toute inspiration.
Je compte bien aller, dès que nous aurons de nouveau deux voitures, aux exercices de Kério.
J'ai toute confiance dans l'avenir et de notre pays, et de l'Europe, et de l'Eglise en France.
Affection.
N B le pape François aux "représentants des nouvelles communautés" réunis au Vatican le samedi 22 novembre :
L'homme d'aujourd'hui vit de sérieux problèmes d'identité et des difficultés à faire ses propres choix. C'est pour cela qu'il a une propension à se faire conditionner, à déléguer aux autres les décisions importantes. Il faut résister à la tentation de se substituer à la liberté des personnes, de les diriger sans attendre qu'elles mûrissent réellement... Un progrès moral ou spirituel obtenu en s'appuyant sur l'immaturité des gens est un succès apparent, destiné à faire naufrage.
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