wikipédia – à jour au 6 septembre 2016
Alternative pour l'Allemagne
(de) Alternative für Deutschland |
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Présentation
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Portes-paroles
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Fondation
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Siège
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Schillstraße 9
10785 Berlin |
Positionnement
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Idéologie
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Groupe au
Parlement européen
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Adhérents
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20 120 (janvier 2016)2
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Site web
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Présidents de groupe
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Représentation
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0 / 631
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Députés
régionaux
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120 / 1 844
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Créé après des politiques présentées comme « sans alternative » menées lors de la crise de la dette dans la zone euro, il est surnommé le « parti des professeurs » car comptant parmi ses membres fondateurs de très nombreux professeurs d'économie, de finances publiques et de droit4.
Se présentant comme anti-euro5 mais pas anti-Europe6, sa proposition phare est la dissolution progressive de la zone euro pour aboutir à de petits blocs d'unions monétaires plus homogènes afin de soutenir les économies moins compétitives, de réduire les risques d'une nouvelle crise de la dette et d'éviter d'autres plans de sauvetage contreproductifs7.
Il crée la surprise en ne ratant que de peu l'entrée au Bundestag lors des élections législatives de septembre 2013, six mois seulement après sa création, en obtenant plus de 2 millions de voix soit 4,7 % des suffrages8.
Considéré comme un parti « anti-establishment » et classé plutôt du côté de la droite conservatrice, son appartenance à la tendance populiste est discutée — l'AfD rejette cette classification, tout en déclarant n'être « ni de gauche ni de droite ». Il adhère en juin 2014 au groupe des Conservateurs et réformistes européens, qu'il quitte en avril 2016 après la scission de l'Alliance pour le progrès et le renouveau l'année précédente.
Sommaire
- 1 Histoire
- 1.1 Fondation
- 1.2 2013 : l'entrée manquée au Bundestag
- 1.3 2014 : Premières percées électorales
- 1.4 Depuis 2015 : changement de cap et conflits internes
- 2 Idéologie
- 3 Résultats électoraux
- 4 Structure
- 5 Portes-paroles
- 6 Références
- 7 Liens externes
Histoire
Fondation
Débuts
En 2012, plusieurs personnalités conservatrices font savoir qu'elles se lancent dans la création d'un parti démocrate et résolument anti-euro. Les principaux instigateurs de cette initiative sont Bernd Lucke9, un économiste de l'université de Hambourg qui a claqué la porte de la CDU en 2011 en raison de la politique européenne de la chancelière Angela Merkel, Konrad Adam, ancien journaliste à la FAZ, et Alexander Gauland10, ex-responsable politique de la Hesse11. L'AfD est issue des classes aisées et a pour créateurs des essayistes, des professeurs d'économie et des hauts fonctionnaires à la retraite ; elle a clairement pris ses distances avec les mouvances d'extrême droite12.Cette alliance collective, issue de l'Association pour soutenir l'alternative électorale (Verein zur Unterstützung der Wahlalternative 2013), est fondée à la mi-septembre 2012, puis se transforme dès le 6 février 2013 en un parti politique. Le 11 mars suivant, l'AfD se lance dans la politique à Oberursel, près de Francfort3. Le congrès fondateur se tient le 14 avril à Berlin afin d'élire ses dirigeants et ses candidats pour les législatives de septembre. Bernd Lucke est élu comme l'un des trois porte-parole du nouveau parti13,14. Parmi leurs soutiens, Joachim Starbatty, un juriste qui attaque régulièrement la politique européenne du gouvernement devant le Tribunal constitutionnel fédéral de Karlsruhe et, surtout, Hans-Olaf Henkel, ancien président de la BDI (Bundesverband der Deutschen Industrie), la fédération allemande des industries et d'IBM, de 2000 à 200515, s'affirment comme les plus médiatiques.
Les membres du parti sont unis par le sentiment que l'Allemagne a trop payé pour les autres, notamment dans les fonds de secours pour la zone euro, et réclament le retour du Deutsche Mark, qui était jusqu'à l'adoption de l'euro la seule expression de fierté nationale ou de patriotisme acceptée en Allemagne. Le parti affirme en avril 2013 compter dans ses rangs quelque 7 500 adhérents[réf. nécessaire]. Il ne demande pas tant que l'Allemagne quitte la zone euro, mais que ceux qui ne respectent pas la discipline budgétaire puissent le faire16.
Composition et orientations
Au bout de 3 mois, en mai 2013, l'AfD compte 10 476 membres dont 2 795 étaient précédemment membres d'autres partis : 1 008 de la CDU, 220 de sa branche bavaroise, la CSU, 587 du FDP, 558 du SPD, 143 Pirates et 106 Verts17. En février 2014, ce chiffre atteint 17 52218.2013 : l'entrée manquée au Bundestag
Affiche électorale de l'AfD (Alternative für Deutschland)
pour les élections fédérales allemandes de 2013. Il y est écrit :
« Ayons le courage de faire face aux vérités / Les Grecs souffrent / les
Allemands payent / les banques encaissent. / www.alternativefuer.de ».
La principale difficulté pour l'AfD lors de sa première campagne fédérale a
été de se faire connaître du grand public et ce avec un budget composé
uniquement de dons, car n'ayant participé à aucune élection précédemment, l'AfD
n'a eu droit à aucune part des 130 millions d'euros alloués aux partis
politiques pour l'année 201319.
Cette difficulté a été accentuée par le fait que les partis établis ont préféré
ignorer l'AfD plutôt que de débattre ses positions pour éviter de faire sa
publicité20,21.Si, selon un sondage Infratest d'avril 2013 pour Die Welt, 24 % des Allemands peuvent s'imaginer voter pour ses candidats en septembre22, la plupart des observateurs sont sceptiques sur une véritable percée du nouveau mouvement23 et les sondages électoraux jusqu'en mai 2013 ne le créditent pas de plus de 3 %24
La plupart des électeurs ont probablement entendu parler de ce parti pour la première fois lors des premiers résultats le soir du vote25.
Il provoque la surprise en obtenant 4,7 % des votes aux élections fédérales de septembre 2013 et échoue de peu à faire son entrée au Bundestag26. Plusieurs analyses réalisées le jour du vote mettent en évidence des transferts de voix vers l'AfD en provenance de tous les partis politiques, notamment Die Linke et la CDU, mais aussi d'électeurs qui s'étaient abstenus en 2009. La plupart des votes viennent cependant du Parti libéral-démocrate (FDP), pourtant clairement favorable à l'euro27.
2014 : Premières percées électorales
Lors de ses premières élections européennes l'AfD obtient 7,0 % des voix28. Sept eurodéputés du parti font ainsi leur entrée au Parlement européen : Bernd Lucke, Hans-Olaf Henkel, Bernd Kölmel, Beatrix von Storch, Joachim Starbatty, Ulrike Trebesius et Marcus Pretzell.Lors des élections régionales en Saxe, en Thuringe et dans le Brandebourg, le parti franchit la barre éliminatoire des 5 % et obtiennent des sièges dans les parlements régionaux29, dans lesquels l'AfD constitue à chaque fois la quatrième force politique.
Depuis 2015 : changement de cap et conflits internes
En juillet 2015, Frauke Petry, représentante de l'aile droite30, est élue présidente par 60 % des suffrages face au fondateur du parti, Bernd Lucke31. Aussitôt, cinq des sept députés européens du parti, tous issus de l'aile libérale, Hans-Olaf Henkel32, Ulrike Trebesius33, Bernd Lucke34, Bernd Kölmel35 et Joachim Starbatty36 annoncent leur départ du parti et fondent l'Alliance pour le progrès et le renouveau.En janvier 2016, un sondage du Meinungsforschungsinstitut pour Bild am Sonntag donne 12 % d'intentions de vote à l'AfD, un record pour le parti37.
Lors des élections régionales de mars 2016, l'AfD réalise une poussée importante, obtenant des élus dans plusieurs parlements régionaux38.
En avril 2016, les deux élus européens du parti quittent le groupe parlementaire des Conservateurs et réformistes européens (CRE)39,40. Marcus Pretzell rejoint Europe des nations et des libertés (ENL)41 tandis que Beatrix von Storch intègre le groupe Europe de la liberté et de la démocratie directe (ELDD)42.
Une nouvelle crise interne éclate en juillet 2016 quand Wolfgang Gedeon, un élu du parti au Bade-Wurtemberg, publie un livre intitulé Der grüne Kommunismus und die Diktatur der Minderheiten (« Le communisme vert et la dictature des minorités ») dans lequel il écrit notamment que « le judaïsme du Talmud est l'ennemi intérieur de l'Occident chrétien » et s'étonne que les Allemands trouvent normal d'avoir érigé au cœur de Berlin un mémorial de l'Holocauste43. Dès lors, certains cadres du parti, à l'instar de Jörg Meuthen, souhaitent l'exclusion de Wolfgang Gedeon quand d'autres, comme la présidente Frauke Petry, ne cherchent pas à s'en dissocier. Au final, le groupe parlementaire du parti au Bade-Wurtemberg éclate44.
Les élections législatives régionales de 2016 en Mecklembourg-Poméranie-Occidentale enregistrent un nouveau succès pour le parti qui avec 21,4 % arrive en seconde position et devance la CDU d'Angela Merkel45,46,47.
Idéologie
Le parti est présenté de diverses manière par les chercheurs et les commentateurs. Il est ainsi régulièrement présenté comme un parti « anti-establishment »48, classé à droite49 et d'inspiration conservatrice50. Son appartenance à la tendance populiste est débattue51, parfois considéré comme un populisme « bon teint »22 mais plus fréquemment un « populisme de droite » (en allemand Rechtspopulismus), notamment par ses détracteurs de gauche mais se différencie cependant des partis populistes européens, à divers titres48.L'AfD rejette pour sa part ces classifications tout en déclarant, à travers Bernd Lucke, n'être « ni de gauche ni de droite »52. Si le parti préconise la sortie de l'euro dans une rhétorique aux slogans « accrocheurs » et « populistes »49, il n'entend cependant pas renoncer à l'intégration européenne53 affirmant ne pas être « anti-Europe » mais « anti-euro »54.
Euro
L'AfD s'étant initialement créé en réponse à la crise de l'euro et à la politique de sauvetage présentée comme « sans alternative » menée et soutenue par la CDU, le SPD, le FDP et les Verts, l'euro joue un rôle capital dans son programme: la monnaie unique nuit à l'Europe et la divise, tel est le message clef[réf. nécessaire]. D'après l'AfD, la monnaie unique ne peut pas convenir à tous les pays qui l'ont adopté car la zone euro est beaucoup trop hétérogène économiquement. Il nuit actuellement aux pays du Sud de l'Europe car la monnaie unique est trop forte pour leur permettre d'être compétitifs ce qui empêche toute chance de relancer leur économie, annihile les chances d'un éventuel désendettement et anéantie toute perspective55. Il nuirait également aux pays qui doivent s'endetter pour injecter des sommes colossales dans les différents fonds de soutien qui maintiendraient artificiellement le statu quo55.La solution proposée par l'AfD est de respecter enfin le traité de Maastricht et de limiter l'action de la Banque centrale européenne à son mandat initial, en particulier de respecter la clause no bail-out qui interdit à un pays de payer les dettes d'un autre et d'arrêter les rachats massifs d'obligations d'États surendettés par la BCE. N'ayant d'autre choix pour éviter une faillite inévitable, un certain nombre de pays opterait mécaniquement pour une sortie progressive de l'euro ce qui leur permettrait de retrouver une certaine compétitivité et une marge de manœuvre grâce au taux de change.
La zone euro se réduirait ainsi à une entité plus petite et plus homogène55. Le retour au deutschemark est présenté comme une option parmi d'autres mais n'est pas présenté comme la solution ni comme une fin en soi56.
L'AfD propose un référendum sur le sujet57.
Europe des nations
L'AfD se dit favorable à une Europe d'États souverains55 avec un marché commun55. Elle défend la maîtrise du budget par les seuls parlements nationaux et refuse toute Union de transfert ou toute forme de super-État européen.Démocratie directe
L'AfD soutient que les décisions politiques importantes, telles les transferts de compétences du niveau national au niveau européen soient prises par référendum d'après le modèle suisse (votation et initiative populaire)58.Traité transatlantique
Bien que favorable au libre-échange en général, l'AfD se positionne clairement contre le traité transatlantique TTIP55. Les motifs sont l'absence totale de transparence du processus, la portée du traité bien au-delà du seul libre-échange, les risques de détérioration des standards européens sur les droits des consommateurs, la protection de l'environnement, la santé et finalement l'atteinte à la démocratie-même par la possible entrave de prise de décisions d'instances élues démocratiquement sur des sujets inclus dans ce traité55. L'AfD s'oppose également à l'Accord sur le commerce des services et à l'Accord économique et commercial global57.Immigration
D'un discours initial à l'origine uniquement consacré à la question de l'euro, l'AfD a évolué vers des positions opposées à la politique migratoire d'Angela Merkel, en particulier dans le contexte de crise des réfugiés. Ce changement est également lié à l'arrivée à la tête du parti de Frauke Petry en juillet 2015, incarnant une ligne plus national-conservatrice que son prédécesseur Bernd Lucke, auquel elle s'était opposée, et séduit davantage les électeurs dans les scrutins régionaux, en particulier dans l'Est du pays59.Résultats électoraux
Élections au Bundestag
Année
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Voix
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Mandats
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Tête de liste
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4,7 %
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0 / 631
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Élections européennes
Année
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Voix
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Mandats
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Tête de liste
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7,0 %
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7 / 96
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Élections régionales
Représentation de l'AfD dans les Länder
·
dans l'opposition
·
non représentés
Résultats
électoraux dans les Landtage
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Année
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2013
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4,1
(0) |
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2014
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12,2
(11) |
9,7
(14) |
10,6
(11) |
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2015
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5,5
(4) |
6,1
(8) |
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2016
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15,1
(23) |
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20,8
(18) |
12,6
(14) |
24,3
(25) |
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Structure
La loi imposant les grandes lignes dans la structure des partis, l'AfD est organisé de manière classique avec une direction nationale et des branches au niveau des Länder puis des échelons inférieurs.Portes-paroles
- Konrad Adam, Bernd Lucke et Frauke Petry (6 février 2013 - 4 juillet 2015)
- Frauke Petry et Jörg Meuthen (depuis le 4 juillet 2015)60
Références
- (en) Wolfram Nordsieck, « Parties and Elections in Europe » [archive] (consulté le 25 juin 2015)
- (de) « AfD: Warum fahren Männer so auf die ab? » [archive], 25 janvier 2015
- « Les eurosceptiques allemands se lancent en politique » [archive], Le Monde, 5 mars 2013.
- (en)« Des rebelles quittent Merkel pour créer un front anti-euro » [archive], The Sunday Times, 17 mars 2013
- (en)« German Election: Angela Merkel's Lead Tightens » [archive], News.sky.com, 27 décembre 2013
- (en)« German party says 'no' to the euro, 'yes' to the EU » [archive], Deutsche Welle, 11 mars 2013
- (de)Wahlprogramm Parteitagsbeschluss vom 14.04.2013 [archive]
- (de)Endgültiges Wahlergebnis Bundestagswahl 2013 [archive], Bundeswahlleiter.de
- « En Allemagne, un nouveau parti demande la sortie de l'euro » [archive], Les Échos, no 21391, 7 mars 2013, p. 8.
- « Les eurosceptiques allemands font leur parti » [archive], Liberation.fr, 10 avril 2013.
- « L'Allemagne, aussi, cède à l'euro-scepticisme avec l'aggravation de la crise » [archive], La Tribune, 5 mars 2013.
- Patrick Saint-Paul, « L'Allemagne peut-elle se passer de l'Europe ? » [archive], Le Figaro, lundi 22 avril 2013, p. 15.
- « Surprise, surprise... » [archive], revue de presse, 15 avril 2013.
- « L'Allemagne et Merkel doivent compter avec un nouveau parti anti-euro » [archive], L'Express, 19 mars 2013.
- « L'Euroscepticisme touche-t-il l'Allemagne ? » [archive], EurActiv.fr, 5 mars 2013.
- Nicolas Barotte, « Henkel, du patronnant au camp anti-euro », Le Figaro, samedi 17 / dimanche 18 mai 2014, page 6.
- (de) « AfD zählt 2800 Überläufer » [archive], n-tv.de, 5 mai 2013.
- (de) « Steigende Mitgliederzahlen » [archive], AfD Kompakt, 28 février 2014.
- Financement des partis, Festsetzung der staatlichen Teilfinanzierung für das Jahr 2013 [archive]
- (en)"Letter From Berlin: Anti-Euro Party a Growing Challenge for Merkel" [archive], Der Spiegel, 14 mai 2013.
- "The Rise of Germany's Tea Party" [archive], Foundation for Defense of Democracies, 3 mai 2013.
- Patrick Saint-Paul, « L’Allemagne se dote d'un parti eurosceptique » [archive], Le Figaro, 12 avril 2013.
- « Ce nouveau parti qui veut séduire les Allemands hostiles à l'euro » [archive], Challenges.fr, 14 avril 2013.
- Voir par exemple les études du même institut de sondage Infratest [archive].
- Tendance des recherches du mot AfD sur Google en Allemagne [archive]
- Sébastien Vannier, « Élections allemandes : la surprise des anti-Euro » [archive], lexpress.fr, 22 septembre 2013.
- (de) Oliver Georgi, « „Wir sind die Erben der FDP“ » [archive], faz.net, 22 septembre 2013.
- (de) « Übersicht » [archive], sur www.bundeswahlleiter.de (consulté le 22 décembre 2015)
- David Philippot, « Allemagne : les eurosceptiques s'ancrent à l'Est », Le Figaro, 15 septembre 2014 (lire en ligne [archive])
- (en) « Germany's euroskeptic AfD elects conservative leader Petry » [archive], sur dw.com, 4juillet 2015 (consulté le 9 juillet 2015)
- « Le parti eurosceptique allemand AfD met la barre à droite » [archive], sur Lesechos.fr, 5 juillet 2015 (consulté le 7 juillet 2015)
- (de) « Henkel verlässt die AfD » [archive], sur faz.net, 5 juillet 2015 (consulté le 7 juillet 2015)
- (de) Peter Höver, « Lucke vs. Petry: AfD in SH in Turbulenzen » [archive], sur shz.de, 6 juillet 2015 (consulté le 7 juillet 2015)
- (de) « Bernd Lucke tritt aus der AfD aus » [archive], sur welt.de, 8 juillet 2015 (consulté le 9 juillet 2015)
- (de) « Austrittswelle erfasst die AfD » [archive], sur faz.net, 6 juillet 2015 (consulté le 9 juillet 2015)
- (de) « Tübinger Professor enttäuscht über Kurs und Stil der AfD » [archive], sur tagblatt.de, 5 juillet 2015 (consulté le 9 juillet 2015)
- (de) « Umfrage: AfD steigt auf zwölf Prozent » [archive], sur Spiegel.de, 31 janvier 2016 (consulté le 15 février 2016)
- Nathalie Versieux, « En Allemagne, la droite dure fait son entrée dans les parlements régionaux » [archive], liberation.fr, 13 mars 2016.
- (de) « AfD-Abgeordnete von Storch wechselt in UKIP-geführte Fraktion » [archive], 9 avril 2016.
- (en) « ECR group kicks out German far-right MEPs » [archive], sur Politico, 8 mars 2016 (consulté le 9 avril 2016).
- « Allemagne: un député AfD s'allie au FN français au Parlement européen » [archive], sur LExpress.fr (consulté le 30 avril 2016).
- (de) « Von Storch kommt ihrer Abschiebung zuvor » [archive], sur Frankfurter Rundschau, 8 avril 2016 (consulté en 9 aril 2016).
- « Allemagne: crise au sein du parti AfD après des propos antisémites » [archive], sur Le Figaro, 6 juillet 2016 (consulté le 6 juillet 2016).
- (de) « AfD gegen AfD gegen AfD » [archive], sur Zeit, nil (consulté le 6 juillet 2016).
- « Allemagne : le parti d'Angela Merkel vaincu par les populistes [archive] », lefigaro.fr, 5 septembre 2016.
- (en) « German voters are rejecting open-door immigration policies. When will Angela Merkel start listening? [archive] », telegraph.co.uk, 4 septembre 2016.
- Jean-Louis Thiériot, « Immigration, mondialisation : Pourquoi l'AfD a battu Angela Merkel dans son fief [archive] », lefigaro.fr, 5 septembre 2016.
- (en) « What is the alternative? Europe waits as Angela Merkel faces a new anti-establishment party » [archive], The Economist, 18 mai 2013.
- (en) Martin Walker, « Spring in Europe » [archive], United Press International, 13 mai 2013.
- Voire « bourgeois-conservateur », cf. Oskar Niedermayer cité par Anna Jikhareva, « Grosse Sympathien für die Anti-Euro-Partei » [archive], Der Bund, 9 avril 2013.
- Voir à ce sujet, par exemple, les opinions contradictoires des chercheurs Alexander Häusler (« Die Gefahr liegt in der Verrohung der Politik » [archive], Tagesschau.de, 12 mars 2013) ou Oskar Niedermayer (« Grosse Sympathien für die Anti-Euro-Partei [archive] », Der Bund, 9 avril 2013).
- (de) « AfD gegen Verletzung demokratischer Grundsätze » [archive], Zeit.de, 14 avril 2013.
- Katinka Barysch, « Populism making euro crisis 'more combustible' » [archive], Public Service Europe, 22 avril 2013.
- (en) Quentin Peel, « German elections: Merkel has more Europe in mind » [archive], Financial Times, 8 mai 2013.
- Programme de l'AfD pour les élections européennes de 2014 [archive], voté le 22 mars 2014.
- (de)Communiqué du 21 mai 2014 [archive] de l'AfD à la suite de l'article paru dans Focus online.
- Laurent de Boissieu, « De quel parti français se rapproche le programme de l'AfD allemande? » [archive], sur ipolitique.fr, 5 septembre 2016 (consulté le 5 septembre 2016).
- (de)Lignes directrices de l'AfD [archive], élaborées par votes en ligne par les membres en avril 2014, puis confirmées le 1. mai 2014
- « Allemagne : l'AfD, de la lutte contre l'euro au discours anti-réfugiés » [archive], lalibre.be, 13 mars 2016.
- (en) « Germany's euroskeptic AfD elects conservative leader Petry », Deutsche Welle, 4 juillet 2015 (lire en ligne [archive])
- Dernière modification de cette page le 6 septembre 2016, à 21:32.
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