mercredi 28 septembre 2016

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wikipédia – à jour au 29 septembre 2016, 08 :02 – consulté BFF à 08 :46

 

Shimon Peres

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Shimon Peres
(he) שמעון פרס
(ar) 
شمعون بيرس
Shimon Peres en 2009.
Shimon Peres en 2009.
Fonctions
15 juillet 200724 juillet 2014
(7 ans et 9 jours)
Élection
Premier ministre
Prédécesseur
Successeur
4 novembre 1995N 118 juin 1996
(7 mois et 14 jours)
Président
Gouvernement
Peres II
Législature
13e
Prédécesseur
Successeur
13 septembre 198420 octobre 1986
(2 ans 1 mois et 7 jours)
Président
Gouvernement
Peres I
Législature
11e
Prédécesseur
Successeur
22 avril21 juin 1977
Intérim
(1 mois et 30 jours)
Président
Législature
8e
Prédécesseur
Successeur
Biographie
Nom de naissance
Szymon Perski
Date de naissance
Lieu de naissance
Date de décès
28 septembre 2016 (à 93 ans)
Lieu de décès
Nationalité
Parti politique
Mapaï (1959-1965)
Rafi (1965-1968)
Parti travailliste (1968-2005)
Kadima (2005-2007)
Diplômé de

Signature de Shimon Peres(he) שמעון פרס(ar) شمعون بيرس


Shimon Peres



Shimon Peres (en hébreu : שמעון פרס Prononciation du titre dans sa version originale Écouter, en arabe : شمعون بيرس, né Szymon Perski le 2 août 1923 à Wiśniew (en Pologne à l'époque, actuellement Vishnyeva en Biélorussie) et mort le 28 septembre 2016 à Ramat Gan (Israël), est un homme d'État israélien.
Après une carrière diplomatique entamée après la guerre d'indépendance israélienne, il devient haut-fonctionnaire au service du gouvernement israélien comme directeur adjoint, puis directeur général du ministère de la Défense entre 1953 et 1959. Après cette période, il commence une longue carrière politique.
Successivement membre du Mapaï, du Rafi, de l'Alignement, du Parti travailliste et de Kadima, il siège comme ministre au sein de douze gouvernements, ce qui lui confère une longévité inédite. Il occupe à trois reprises la fonction de Premier ministre (en 1977 par intérim, de 1984 à 1986, de 1995 à 1996). Respecté à l'étranger, Shimon Peres a reçu, avec Yasser Arafat et Yitzhak Rabin, le prix Nobel de la paix 1994 pour sa participation aux pourparlers de paix avec les Palestiniens qui menèrent aux accords d'Oslo.
Soutenu par Kadima, il est élu à la présidence de l'État d'Israël à l'issue de l'élection présidentielle du 13 juin 2007, devenant ainsi le premier ancien chef du gouvernement désigné chef de l'État dans l'histoire d'Israël. Il prête serment le 15 juillet 2007 pour un mandat de sept ans à l'issue duquel, en 2014, il met un terme à sa carrière politique, à près de 91 ans.
Après la mort d'Ariel Sharon en janvier 2014, Shimon Peres était le dernier survivant de la génération des pères fondateurs de l'État d'Israël.

Sommaire

Biographie

Shimon Peres en 1936.

De la Pologne à Israël

La famille de Szymon Perski émigre vers Tel Aviv en 1934, alors que ce dernier est âgé de 11 ans. Il suit des études à l'école de Geula de Tel Aviv, puis à l'école agricole de Ben-Shemen.
En 1947, Shimon Peres s'enrôle dans la Haganah, prédécesseur de l'Armée de défense d'Israël, dont il devient un dirigeant.
Il est nommé, en 1953, directeur général du ministère de la Défense, quatre ans après sa rencontre avec le Premier ministre David Ben Gourion. À cette fonction, il s'implique particulièrement dans l'achat d'armes pour le jeune État d'Israël, ce qui contribue à en faire la 6e puissance atomique mondiale2.
Il se rend en France en 1954 et fait la rencontre d'Abel Thomas, directeur général du ministère de l'Intérieur, qui lui présente Maurice Bourgès-Maunoury. Ensemble, ils mettent en place une coopération entre les services de renseignements dans la lutte contre l'ennemi commun égyptien, accusé par la France de soutenir les indépendantistes algériens. En 1956, Bourgès-Maunoury devient ministre de la Défense dans le gouvernement Guy Mollet. Une étroite coopération franco-israélienne s'amorce. Les efforts de Peres sont efficaces et il réussit à acquérir, auprès de la France, le premier réacteur nucléaire de Dimona et, auprès de l'avionneur français Marcel Dassault, le Mirage III, un avion de combat à réaction.

Vie privée

En 1945, Shimon Peres épouse Sonya Gelman, née en 1923 et morte en 2011 ; de cette union naissent trois enfants : une fille, Himara Walden-Peres, linguiste, et deux fils, Yoni et Chemi, président de Pitango, une importante société israélienne de capital risque.
Il est le cousin germain de Lauren Bacall3, née Betty Joan Perske, actrice américaine de cinéma hollywoodien.

Carrière politique

Ascension

Shimon Peres (à gauche),
dans les années 1960.
En 1959, il est élu pour la première fois député à la Knesset, le Parlement israélien, sur la liste Mapaï (composante du Parti travailliste). Il est constamment réélu depuis.
Shimon Peres est vice-ministre de la Défense de 1959 à 1965, au moment de son implication dans l'affaire Lavon avec Moshe Dayan. Avec celui-ci, il quitte le Mapaï de David Ben Gourion pour former un nouveau parti, le Rafi, qui se réconcilie avec le Mapaï en 1968.
En 1969, Peres est à nouveau nommé ministre et, en 1970, il devient ministre de l'Immigration, des Transports et des Communications. Après avoir été brièvement ministre de l'Information, il est nommé ministre de la Défense dans le gouvernement d'Yitzhak Rabin, de 1974 à 1977.

Premier ministre d'Israël

Shimon Peres en 1986.
Bien qu'il n'ait jamais mené son parti à une victoire aux élections, Shimon Peres a assumé, à trois reprises, la charge de Premier ministre.
Devenu chef du Parti travailliste, il occupe cette fonction par intérim, d'avril à juin 1977, à la suite de la démission d'Yitzhak Rabin. Mais la gauche perd les élections législatives cette année là (en), et Shimon Peres devient le chef de l'opposition jusqu'en 1984.
Il redevient Premier ministre en septembre 1984, à la tête d'un gouvernement de coalition avec le Likoud. Dans le cadre d'un accord avec Yitzhak Shamir, il cède comme prévu sa place à ce dernier, en octobre 1986. Il occupe alors la fonction de vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangères jusqu'en 1988. À ce poste, il tente en vain de trouver une solution à la question palestinienne, conjointement avec la Jordanie.
Ministre des Finances au sein d'un nouveau cabinet de coalition, Shimon Peres retourne dans l'opposition de 1990 à 1992. Cette même année, battu par Yitzhak Rabin à la direction du Parti travailliste, il est de nouveau nommé ministre des Affaires étrangères, et se bat en faveur de négociations sur l'avenir des territoires occupés, avec l'OLP de Yasser Arafat. En 1993, Shimon Peres est l'un des artisans des accords d'Oslo. Cela lui vaut, l'année suivante, de se voir décerner le prix Nobel de la paix, avec Yitzhak Rabin et Yasser Arafat.
Quelques minutes avant l'assassinat du Premier ministre Yitzhak Rabin, le 4 novembre 1995, Shimon Peres se trouve aux côtés de ce dernier. Alors qu'Yigal Amir s'apprête à les abattre tous les deux, le Premier ministre retourne remercier les organisateurs de la manifestation en faveur du processus de paix israélo-palestinien, tandis que Peres, hésitant, décide finalement de partir4. Yigal Amir se résout à lui laisser la vie sauve, et conserve ses munitions pour Yitzhak Rabin.
À la suite de cette mort brutale, Peres redevient Premier ministre et réaffirme sa volonté de poursuivre le processus de paix. Il décide d'avancer de six mois le scrutin (en) qui doit désigner le Premier ministre israélien au suffrage universel par les citoyens. Pendant la campagne électorale, pendant qu'il cumule le rôle de Premier ministre et celui de Ministre de la Défense, il lance l'opération militaire "Raisins de la colère" dans le Sud du Liban. Le bombardement de Cana, où 106 civils qui s'étaient abrités auprès de la FINUL moururent sous les bombardements israéliens, met un terme à l'opération. L'image de Shimon Peres est fortement endommagée à l'étranger, mais l'impact national est également important5. Les semaines précédant l'élection, la cote de popularité de Shimon Peres s'effondre. Son adversaire Benyamin Netanyahou met alors l'accent sur le mauvais bilan des travaillistes en matière de sécurité. Le 29 mai 1996, le Premier ministre sortant est battu de justesse par le candidat du Likoud, qui recueille 50,5 % des voix. Pour beaucoup, cet échec signe le glas de sa carrière politique.

Traversée du désert

Shimon Peres aux côtés de Yasser Arafat en 2001.
Shimon Peres continue d'agir en tant qu'« ambassadeur » non officiel d'Israël, grâce au prestige et au respect dont il jouit dans l'opinion publique internationale et dans les cercles diplomatiques. Il s'efforce de contrecarrer l'activité de propagande des cercles internationaux pro-palestiniens[réf. nécessaire]. L'année de sa défaite, le président de la Confédération suisse, Jean-Pascal Delamuraz, lui décerne le « prix de la fondation » lors du forum de Crans-Montana. En 1997, il fonde le Centre Peres pour la paix, et reste un défenseur résolu des accords d'Oslo et de l'autorité palestinienne, en dépit des deux Intifadas.
Nommé ministre de la Coopération régionale par Ehud Barak le 6 juillet 1999, il subit un nouvel échec personnel lors de l'élection présidentielle de 2000, lorsqu'il est battu, à la surprise générale, par Moshe Katsav. Contre toute attente, il accepte la fonction de vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangères dans le gouvernement Ariel Sharon. Shimon Peres défend le droit pour Israël à une politique de sécurité, répond aux critiques internationales contre la « barrière de sécurité » élevée par l'État israélien. Il soutient la politique d'Ariel Sharon dans sa volonté d'utiliser les forces armées israéliennes pour contrecarrer la « guerre de la terreur », engendrée par les nombreux palestiniens transformés en bombes humaines, et pour déraciner l'infrastructure politique et militaire de la « résistance » palestinienne et de ses réseaux terroristes. Il qualifia toutefois l'assassinat, en juillet 2002, de Salah Shehadeh (Hamas), de « tragédie », en raison de l'importance des pertes civiles lors de ce bombardement. Il a très longtemps tardé à admettre l'idée d'un État palestinien souverain et ne reconnaît pas le fait de l'occupation israélienne, restant sur la position officielle (« territoires disputés »), ni l'idée d'un retrait de la totalité des territoires occupés.[réf. nécessaire] Il prend position en faveur de la guerre d'Irak de 2003, lors du Forum économique de Davos, où il déclare, notamment, que « la guerre contre le terrorisme commence par Saddam Hussein », et que la guerre en Irak « serait une très bonne chose pour la reprise de l'économie mondiale »6.

Du Parti travailliste à Kadima

En 2005, Shimon Peres est battu à l'élection interne du Parti travailliste, qui désigne Amir Peretz comme son nouveau dirigeant. Celui-ci précipite des élections législatives anticipées, en annonçant le départ des travaillistes du gouvernement Sharon.
Le 5 janvier 2006, moins de 24 heures après l'hospitalisation du Premier ministre Ariel Sharon à la suite d'une hémorragie cérébrale, un des responsables de Kadima affirme sous certaines conditions que Shimon Peres devrait être nommé Premier ministre. Mais celui-ci annonce sur Aroutz 1, le 9 janvier, qu'il n'a pas l'intention de redevenir Premier ministre, même si cela lui était proposé. En revanche, il devient le numéro 2 (derrière Ehud Olmert) de Kadima, nouveau parti à vocation centriste créé par Sharon en vue des élections anticipées de mars 2006. Le 15 janvier 2006, il démissionne de son poste de député pour lever les obstacles juridiques à la poursuite de sa carrière au sein de son nouveau parti7.
Après la victoire de Kadima, il devient vice-Premier ministre du gouvernement de coalition qu'Ehud Olmert forme avec les travaillistes. Il a également le porte-feuille de ministre du Développement régional chargé de la Galilée et du désert du Néguev.

Président de l'État d'Israël

Shimon Peres à Davos en 2007.
Shimon Peres et Barack Obama en 2009.
Candidat à l'élection présidentielle de 2007, il arrive en tête du premier tour à la Knesset le 13 juin en obtenant 58 voix contre 37 pour Reuven Rivlin, le candidat du Likoud et 21 pour Colette Avital, présentée par le Parti travailliste. Aucun des trois candidats n'atteignant la majorité absolue de 61 voix requise pour être élu dès le premier tour, un second tour a lieu le même jour. Dès l'annonce des résultats du premier tour, ses deux concurrents se retirent de la course et déclarent leur soutien à Peres, lui laissant la voie libre. Il est élu président par 86 voix contre 238.
Le 15 juillet 2007, Shimon Peres est investi président de l'État d'Israël après avoir prêté serment devant les membres de la Knesset pour un septennat. Il succède à Moshe Katsav, qui l'avait battu sept ans plus tôt, lors du précédent scrutin présidentiel. Le nouveau chef de l'État doit alors restaurer le prestige de la fonction du président de l'État d'Israël, mis en cause par des scandales de mœurs impliquant l'ex-président Katsav.
Le 13 novembre 2007, Shimon Peres est le premier dirigeant l'État d'Israël à prononcer un discours devant la Grande assemblée nationale de Turquie9.
En novembre 2008, le président Peres reçoit, des mains de la reine Élisabeth II, les insignes de l'ordre de Saint-Michel et Saint-George lors d'une cérémonie organisée au palais de Buckingham, à Londres. Lors de la cérémonie, le chef de l'État israélien s'est dit « très ému de recevoir, en tant qu'émissaire d'Israël, un tel honneur ».
En janvier 2009, au Forum économique mondial de Davos, en Suisse, Shimon Peres et le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdoğan ont une violente discussion autour de l'intervention israélienne à Gaza. Le chef du gouvernement turc, énervé, déclare qu'il se « souvient très bien de ces enfants qui sont morts sur la plage ». Le président israélien réplique alors qu'il « faut savoir se mettre à la place des autres : que feriez-vous si des dizaines, des centaines de roquettes s'abattaient sur Istanbul ? ». Erdoğan décide alors de prendre ses affaires et de quitter le débat, acclamé par ses partisans de l'AKP qui voient en lui un héros. L'opposition turque rappelle cependant que l'État d'Israël reste un allié et que le Premier ministre Erdoğan a manqué de respect à un prix Nobel de la paix.
Le 18 février 2009, Shimon Peres entame des consultations pour la formation d'un nouveau gouvernement. Dès lors, il se dit favorable à une grande coalition. Le 24 février, il ouvre la 18e Knesset. Le 20 mars, Peres rencontre au Beit HaNassi, la résidence présidentielle, le vainqueur désigné des élections législatives, Benyamin Netanyahou et le charge de former un gouvernement. Le 31 mars, Netanyahou est nommé Premier ministre et est investi le lendemain par la Knesset.
En février 2009, le pape Benoît XVI, en visite officielle en Israël est salué par le président Peres au Beit HaNassi.

Après la présidence

Shimon Peres avec la journaliste Samantha Power en 2016.
Retiré de la vie politique, il continue de voyager à l'étranger10.
Réputé infatigable, il est cependant victime de deux alertes cardiaques en janvier 201610. Le 13 septembre 2016, après une rencontre avec des dirigeants d'entreprises de nouvelles technologies israéliennes et vingt-trois années jour pour jour après la signature des accords d'Oslo, Shimon Peres est victime d'un accident vasculaire cérébral majeur qui le laisse dans un état critique11,12. Il meurt le 28 septembre 2016 des suites de cet AVC, au centre médical Chaim Sheba13.
Ses funérailles prévues le 30 septembre à Jérusalem se dérouleront en présence de plusieurs dirigeants de la planète dont le président français François Hollande et son prédécesseur Nicolas Sarkozy, le prince Charles, le président allemand Joachim Gauck et le président américain Barack Obama et son prédécesseur Bill Clinton.

Détail des mandats et fonctions politiques

Prix et distinctions

Shimon Peres recevant le Prix Nobel de la paix le 12 décembre 1994, aux côtés de Yitzhak Rabin et Yasser Arafat , « pour leurs remarquables avancées dans les négociations de paix entre Israël et la Palestine »

Publications

  • David et sa fronde, éd. Stock, Paris, 1971
  • L'héritage des Sept, éd. Stock, Paris, 1981
  • La force de vaincre, entretien avec Joëlle Jonathan, éd. Centurion, Paris, 1981
  • Le temps de la paix, éd. Odile Jacob, Paris, 1993
  • Combat pour la paix, éd. Fayard, Paris, 1995
  • Le voyage imaginaire : Avec Théodore Herzl en Israël, éd. Éditions, Paris, 1998
  • Mon dernier rêve. La double hélice, éd. Baker Street, Paris, 1999
  • Que le soleil se lève, éd. Odile Jacob, Paris, 1999
  • Un temps pour la guerre, un temps pour la paix, éd. Robert Laffont, Paris, 2003
  • Un chemin vers la paix, entretien avec Christiane Vulvert, éd. Timée, Paris, 2006
  • 60 Ans de conflit israélo-arabe : Témoignages pour l'Histoire, avec Boutros Boutros-Ghali, éd. Complexe, Paris, 2006
  • Pensées et poèmes, éd. Éditions des Catalogues Raisonnés, Paris, 2008
  • Ben-Gurion: A Political Life, éd. Schocken Books, Berlin, 2011
  • Avec nous, après nous..., avec Jacques Attali, éd. Fayard, Paris, 2013

Bibliographie

Notes et références

Notes

  1. Par intérim du 4 au 22 novembre 1995.
  2. Il célébrait son anniversaire notamment en suivant le calendrier hébreu, à la date du 20 Av, qui correspondait au 2 août lors de sa naissance en 1923, qui correspond au 4 août en 2007, au 21 août en 2008 et au 10 août en 2009 : cf. Greer Fay Cashman, « Peres turns 84 today… and on Shabbat », The Jerusalem Post, 1er août 2007.

Références

  1. Sa fiche sur le site internet du Premier ministre d'Israël [archive].
  2. « Biographie de Shimon Peres » [archive] sur le site de TF1-LCI
  3. Brigitte Dusseau, Agence France-Presse, « Décès de Lauren Bacall, actrice mythique de l'âge d'or d'Hollywood » [archive], sur La Presse, le 12 août 2014.
  4. « Yitzhak Rabin, le “camp de la paix” frappé au cœur », Marianne, n°644, août 2009
  5. Shimon Pérès le guerrier, piégé par sa stratégie [archive], Libération, 19 avril 1996.
  6. Afsané Bassir-Pour, « Une marche vers la guerre jugée inéluctable par les autres participants », Le Monde,‎ 27 janvier 2003 (ISSN 0395-2037, lire en ligne [archive]).
  7. « Shimon Peres quitte la Knesset » [archive], Le Nouvel Observateur, 18 janvier 2006
  8. (en) « Peres elected Israel's president », BBC News,‎ 13 juin 2007 (lire en ligne [archive]).
  9. (en) Aviram Zino, « Peres in Turkey: I am here to advance peace », Ynetnews,‎ 13 novembre 2007 (lire en ligne [archive]).
  10. a et b http://www.ladepeche.fr/article/2016/09/28/2428091-israel-ex-president-nobel-paix-shimon-peres-est-mort.html [archive]
  11. « L'état de Shimon Peres s'améliore mais reste critique | TVA Nouvelles » [archive], sur www.tvanouvelles.ca (consulté le 14 septembre 2016)
  12. http://www.liberation.fr/planete/2016/09/14/shimon-peres-entre-la-vie-et-la-mort_1496775 [archive]
  13. http://www.euronews.com/2016/09/28/former-israeli-president-shimon-peres-dies-aged-93-following-a-stroke-two-weeks [archive]
  14. « Prix Félix-Houphouët-Boigny : Lauréats 1993 » [archive], UNESCO (consulté le 28 septembre 2016).
  15. « Israël-Palestine : vingt pays invités à Paris pour relancer le processus de paix », Le Parisien,‎ 21 avril 2016 (lire en ligne [archive]).
  16. Willy Legros, « RA1998 : Présentation de M. Yasser Arafat et M. Shimon Peres » [archive], Université de Liège (consulté le 28 septembre 2016).
  17. (en) « The Club Of Budapest Awards » [archive], Club de Budapest (consulté le 28 septembre 2016).
  18. (en) « Shimon Peres gets honorary knighthood », Spartanburg Herald-Journal, vol. 163, no 525,‎ 20 novembre 2008, p. 33 (lire en ligne [archive]).
  19. (en) Anshel Pfeffer, « Shimon Peres: State President, Nobel Laureate and Now - Knight », Haaretz,‎ 21 novembre 2008 (lire en ligne [archive]).
  20. (en) États-Unis. « An Act to award the Congressional Gold Medal to Shimon Peres », Public Law 113-114 [lire en ligne [archive] (page consultée le 18 septembre 2016)]

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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