samedi 30 août 2014

Inquiétude & Certitudes - samedi 30 août 2014

Samedi 30 Août 2014 Prier... ce qu'il y a de fou dans le monde, voilà ce que Dieu a chioisi pour couvrir de confusion les sages ; ce qu'il y a de faible dans le monde, voilà ce que Dieu a choisi pour couvrir de confusion ce qui est fort ; ... ce qui n'est rien, voilà ce que Dieu a choisi pour détruire ce qui est quelque chose . Il me semble, selon ce que je lis ici et selon ce que je vis, que la leçon vauit immédiatement plus encore pour les événements que pour les personnes. Les événements sont les témoins et les messages de Dieu. Les plus douloureux sont une porte que nous devons ouvrir pour le bonheur, ils sont une orientation vers le bonheur en voies et moyens. La joie de notre coeur vient de lui... Nous attendons votre vie du Seigneur, il est pour nous un appui, un bouclier. La parabole des talents, l'événement compe épreuve de notre réactivité, en apparence, de notre relation avec le maître, avec Dieu, en réalité... Je savais, dit "le mauvais serviteur" que tu est homme dur... j'ai eu peur. La conclusion : tu as ce qui t'appartient. Le talent confié qui est rendu, sonne comme le salaire convenu entre le maître et les ouvriers de la première heure. En réalité, c'est tout différent. Pour le travail à la vigne, la démonstration porte sur la libéralité de Dieu et des rétribtuions personnelles sans relation avec nos mérites supposés ou revendiqués. Dans la parabole des talents, Dieu attendait de ses serviteurs le déploiement de toutes leurs capacités, une substantielle augmentation de la dotation initiale, pas tant pour lui, le maître, Dieu, que pour ceux qui en ont mission et capacités. L’Opéra comique à la Rochelle, puis à Brxuelles. Le gouvernement Valls II déjà le ventre en l’air. Christiane Taubira ravit à la vedette à Montebourg, épuisé et plat, devenu même prudent quoique se disant homme d’Etat… la garde des Sceaxu dit avec simpliciét que nous avons laissé les Français perdre l’espoir, que nous ne savons plus donner de l’espace au débat, et ainsi de suite. Réaction du Premier ministre hué à sa descente de train et aux abords de l’ « université d’été » (traitre, démission) : ce n’est pas un événement et la garde des Sceaux qui a renouvelé l’expression de son accord au président de la République et à moi, n’est d’ailleurs ps socialiste… n’empêche. Martie Aubry : communication impeccable, un simple communiqué pour contrer la quasi-abrogation de la loi Dufflot sur le logement. Valls s’écrase dans la soirée (il afait imprudememn pris à son compte personnel en ne faisant pas commenter par le nouveau ministre du Logement ces reletures d’un texte pourtant promulgué) : l’expérimentaion du blocage des loyers (soi-disant contraire à l’investisement en logements neufs) initialement à Paris seulement, est autorisée aussi à Lille… « Sommet » extraordinaire de l’Union européenne, avec présence du président krainien. Des sanctions économiques encore et toujours tandis qu’il est avéré maintenant – photos aériennes et autres – que non seulement des milliers de soldats de l’armée régulière russe sont au combat dans l’est de l’Ukraine, mais aussi des chars… pas d’exemple : l’Ethiopie envahie par Mussolini, le bloc continetal contre l’Angleterre… que la pression économique ait eu un résultat politique ou militaire, au contraire. Obama résolu à ne pas intervenir militairement. La stratégie de Poutine marche donc et sans frais. Un gouvernement autoritaire est insensible à la pression de l’opinion, et celle de la Ruissie est nationaliste pour autant qu’elle s’exprime. La voie démocratie, à propos de ‘lUkraine, deviendrait trahison en temps de guerre. Pour l’Occident forcément reconstitué face aux défis russe, chinois et djihadiste – ce qui est une impasse totale pour l’avenir des relations internationales et une certaine démocratie mondiale – le dilemme est mental : est-on ou non dans un processus des années 30, celui des annexions hitlériennes avec ajourd’hui des colombes. L’llemagne démocratique principalement mais pesant du poids de l’ex-DDR, où Poutine dirigea le KGB, devenant germanophone, selon Le Monde, et Merkel, élevée dans un système où le russe était langue obligaoire. Le mirage du grenier à blé s’y ajoute. La diplomatie allemande n’est plus en sous-main. Les confins orientaux de l’Europe la passionnent de nouveau explicitement. – En regard, la cooptation du chef du gouvernement polonais comme président du Conseil européen tandis que la pâle candidate italienne succède à l’aussi pâle Ashton. – Hollande obtienu autre « sommet » extraordinaire, prévu pour se tenir en Italie le 7 Octobre : croissance et emploi. Déjà vu au printemps de 2012 et même en complément du traité d’Amsterdam que la gauche revenant au pouvoir en 1997 ratifia, moyennant un simulacre de priorité à ‘lemploi… et ainsi de suite. Macronet Castries, le patronat, bien plus idéologue que el PS, qui n’est plus porteur de rien, car les primaires donnent le pa aux candidats lesquels n’ont aucune férérence à faire sérieusement au programme du parti. – Y en a-t-il eu un depuis le programme de 1972 ? Bons aphorisme d’Herin Emmanuelli à al Rchelle. Que va dire Ségolène Royal dans ce qu’elle voulait comme base électorale ? maintenant qu’elle a ccepté au plus mauvais moment dans la combinaison la plus décriée à gauche, un portefeuille qu’elle n’assume pas sur les questions difficiles ou pratiques.

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