jeudi 21 août 2014
Inquiétude & Certitudes - jeudi 21 aoûit 2014
Jeudi 21 Août 2014
Prier… paradoxale parabole des invités à la noce. Le roi, faute que son banquet soit honoré par ceux qu’il avait nominativement appelés, « ratisse » large, puis jette dehors l’un des convives de hasard au miotif qu’il n’est pas en tenue. Un roi qui célébrait les noces de son fils (à remarquer que s’il est question d’éoouse dans l’Ancien Testament, le Cantique, Osée et d’autres et dans l’Apocalypse, et dans les lettres apostoliques, le Nouveau Testament n’évoque que l’époux, majuscule ou pas, et les noces ont toujours pour héros le fils ou un homme…)… Il envoya ses serviteurs pour appeler à la noce les invités, mais ceux-ci ne voulaient pas venir… Les serviteurs allèrent sur les chemins, rassemblèrent tous ceux qu’ils rencontrèrent… La leçon est pourtant que certes, la multitude des hommes est appelée, mais les élus sont peu nombreux. Le mauvais vouloir des invités originels, masscre des envoyés, puis massacre des assassins. Il y a aussi le méli-mélo : les mauvais comme les bons, sans que le crière de distinction soit donné, et enfin un homme qui ne portait pas le vêtement de noce … « Mon ami, comment es-tu entré ici, sans avoir le vêtement de noces ? » L’autre garda le silence… est-ce pour sa tenue ? est-ce pour son silence ? il est jeté, pieds et poings liés, dehors dans les ténèbres, là où il aura des pleurs et des grincements de dents. Comprendre ? la édception du roi est certaine, le fils n’apparaît pas, la fiancé non plus. Le récit est rude, assassin et violent. Il est vrai que nos époques, ce que nous vivons chacun, le sont aussi… C’est l’Ancien Testament, comme souvent, qui console aujourd’hui… j’irai vous prendre dans touets les nations… je vous donnerai un cœur nouveau, je mettrai en vous un esprit nouveau. J’enlèvera votre cœur de pierre, et je vouis donnerai un cœur de chair. Je mettrai en vous mon esprit… Est-ce une roboiisation, une expropriation de soi, thème fréquent de la science-fiction d’aujourd’hui, lavage de cerveau ? Non, c’est une relation nouvelle, la fidélité, la terre ancestrale, l’alliance : vouss erez mon peuple et moi je serazi votre Dieu. L’évangile focalisait sur un individu, l’Ancien Testament « joue » collectif. Je reste aujourd’hui sur ce mystère. C’est le mystère qui incline à la pirère et l’alliance claire et ouverte qui provoque l’action de grâce. Le bonheur peut être grave, circonstancié : le salut.
début de matinée
Je répète depuis plusieurs années que notre crise n’est pas économique mais politique et morale. Morale, les copportements de nos dirigeants, toutes occupations ou fonctions confondues, puisque chefs d’entreprises et élus font du recel, du cumul et que la satisfaction de leur libido passe avant le bien commun, que l’exercice de fonctyions quelles qu’elles soient n’est plus même discerné clairement. Il s’agit du durer làoù ‘lon se trouve. Politique, parce que non seulement les dirigeants n’ont plus le sens de la sanction, sans la possibilité de laquelle pour faillitre il n’y a pas d’exercice vrai d’une responsabilité : avoir à répondre des conséquences de ce que l’on fait et de ce que l’on dit… non seulement la politique n’est plus l’art d’entrainer le peuple et de el fare participer, notamment en lui donnant la décision pour de grandes choses et à intervalles pas éloignés d’une consultation à l’autre… mais nos institutions elels-mêms sont fossiles. Le clivaged roite/gauche n’existe plus à la fois parce que les deux termes ne sont plus définis, et donc pas différenciés, et aussi parce que la soi-disant alternance droite/gauche n’est plus que celle des personnes « au pouvori » mais plus dutout celle des idées, des comportements, des actions. A cela s’ajouten,t des faux semblants de la démocratie. Le plus catastrophique de tous a été l’abrègement à cinq ans de la durée du mandat présidentiel. La rigidité du système, la coincidence organisée des « majorités présidentielle et parlementaire ont rendu ‘lensemble de notre régime non-représentatf et insensible aux évolutions de l’opinion. La fonction présidentielle est minorée, le seul personnage qui compte et qui aborbe toutes les autres respopnsabilités gouvernementalmes, nonobstant les textes et l’esprit de leur écriture originelle, est le président de la République, lequel s’use volontarirement en accaparant aussi bien la décision que ses apparences médiatiques. Enfin, deux nouvelles mœurs nous stérilisent. Les primaires paraissent à première vue une saine application, de la démocratie : les candidatures ne s’auto-proclament pas et ne se cooptent pas. Soit ! mais cela donne le désastre socialiste : Aubry eût été meilleure et Valls avec quatre fois moins de suffrages à l’intérieur du parti est Premier ministre, tandis que Montebourg n’a qu’une seule prérogative, « la ramener » ce qui ne fait pas davantage gouverner à gauche, ne fait privilégier aucune de ses suggestions et dans la forme qu’il a fait sienne, fait fuir tout investiseurs et tout homme d’entreprise. On perd sur les deux tableaux. La non-élection de Raffarin à la présidence du Sénat, au lieu de Larcher qui l’emporta, est un cas d’école. Dans le groupe UMP, il était minortaire, mais candidat de son parti pour le fauteuil, il aurait eu des voix des autres groupes et son élection aurait été bien plus consensuelle que celle d’un homme de parti (qu’il est d’ailleurs peu, il a d’autres défauts…). Les primaires sont de l’entre-soi et suppose que l’on ne sortira pas d’un rapport de forces mpéravalnt, c’est finalement le parti et non la persnne qui est élu, or une personne peut attirer autrement et parfois davantage que le parti…
Otages et djihad. Les Américains auraient tenté un sauvetage cet été mais les otages n’étaient pas à l’endroit indiqué. Obama et Kerry font chorus sur ce cancer qu’est l’Etat islamique et l’évidence qu’il faut l’éradiquer totalement. La question de son attraction sur des jeunesses européenens n’est pas évoquée. Surtout, et comme d’habitude, mais ne le faisons-nous pas nous-mêmes en Afrique ? les Etats-Unis jouent perso. Cette condamnation de l’Etat islamique et cette nécessaire recomposition du Proche-Orient autant qu’une attitude enfin claire sur Gaza et sur l’ensemble de la question de Palestine devraient se faire, se pratiquer, se formuler à tous. Dans les textes d’
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