mardi 9 septembre 2014
Inquiétude & Certitudes - mardi 9 septembre 2014
Mardi 9 Septembre 2014
Toujours englué dans ma compilation pour notre avocat nantais, cela à une semaine juste du dernier délai pour conclure. Péremption de mes projets d’écriture politique, de la déconfiture de FH aux probables votes de censure et au retour de NS aux commandes de l’UMP. – Prier… le Seigneur aime son peuple, il donne aux humbles l’éclat de la victoire. Toute la trame des psaumes, qui est la psychologie des évangiles, est l’amour divin pour nous, et nous-mêmes pris et vécus comme peuple. La personnalité, l’individualité, ce n’est pas d’abord ni initialement nous-mêmes, quoique – par situation biologique – nous le ressentions ainsi, donc en termes de solitude et de responsabilité, toutes deux pouvant nous sembler écrasantes, non ! personnalité, indivudalité, liberté suprême, c’est Dieu. Et cette puissance unique nous aime, elle est accessible et nous sommes vis-à-vis d’Elle un ensemble. Notre destin ? au nom du Seigneur Jéus Christ et par l’Esprit de notre Dieu, vous avez été lavés, vous avez été sanctifiés, vous êtes devenus des justes. Sauvés, indistinctement. Abstraction, éther ? non, Dieu fait homme : Jésus s’en alla dans la montagne pour prier, et il passa la nuit à prier Dieu. Lui aussi, seul. Et relationné à Dieu, son Père, autant qu’à nous, individuellement, personellement. Le jour venu, il appela ses disciples, en choisit douze, et leur donna le nom d’Apôtres. Liste, appel après la nuit du discernement, du ressourcement. Appel en plein jour et nommément. De Simon, auquel il donna le nom de Pierre à Judas Iscariote, celui qui fut le traitre. Puis, force de ces images, de cette chronologie, de ces mouvements du plus solitaire à la plus grande assemblée possble… Jésus descendit de la montagne avec les douze Apôtres (Moïse, les tribus d’Israël, le dialogue avec Yahvé) et s’arrêta dans la plaine. Il y avait là un grand nombre de ses disciples, et une foule de gens… multitude, diversité, bigarrure de la Pentecôte et du grand début… des gens venus de toute la Judée, de Jérusalem, et du littoral de Tyr et de Sidon. Attraction divine selon des normes humaines… qui étaient venus l’entendre et se faire guérir… La foi ? toute la foule cherchait à le toucher, parce qu’une force sortait de lui et les guérissait tous. Rationalité des attitudes et des espérances, des comportements qu’inspire la foi. Une immense dialectique, une aimantation générale, fondant les soucis et drames individuels en une anticipation de la parousie et de l’éternité. – Sollicitude ressentie cette aube, l’instrument que je suis, utilisé à plein, mon éveil par la clarté de pleine lune du lever au coucher de celle-ci. Silence total et travail. Prier, prosterné, mes aimées, celels et ceux qui… notre pays… les drames de ce monde attendant de ‘lhumanité, de nos générations, ce que nous négliegons de faire… d’être… Prier pour notre conversation et pour l’augmentation de ma foi. – Ce soir, commencer de lire ces carnets, édités ces semaines-ci par Mgr. Diwicz : saint Jean Paul II, archi-simple, « comme nous » mais avec la foi simple et constante, dans l‘intimité de brèves notations à l’occasion de la prière, d’exercices spirituels, de liturgie, ou par improviste . « Je suis dans les mains de Dieu » L’homme que j’ai connu, qui m’a reçu, son secrétraire particulier d’alors, la sainteté, évidence que c’est la seule façon de vivre, d’être vivant et de continuer… Le thé pour ma chère femme, sa respiration, deux de nos chiens m’ayant succédé à son côté… deux autres couchés dans le couloir, la lune enfin disparue, le jour probable mais pas encore venu, la couverture que je tire sur le corps de notre fille qui devait avoir froid, s’agitait et se calme, toujours le pouce… Grâce, douceur. Croire, espérer, aimer. Je suis dans les mains Dieu, comme tous, nos saints parmi nous. Prier… Prier avec toutes, tous. Croire à notre salut. Au salut. Toute la vie du Christ parmi nous, puis ceux que nous aimons et reconnaissons comme saints, comme réussite de la docilité à Dieu, attestent ce salut. Prier.
matin
Cas de Thévenaud. Il ne se poserait pas si ln’y avait pas eu cette révision constitutionnelle de 2008. Les électeurs tout de suite si le suppléant le veut bien ou attendre la fin de la législature et le scrutin suivant. – Valls : moi ou le chaos, très justement relevé par Cécile Duflot dont il m’apparaît certain qu’elle reviendra au pouvoir, et alors vraiment. La bataille probable va se faire entre femmes : Ségolène Royal s’est diminuée en entrant au gouvernement et aurait dû prendre un « vrai » portefeuille, l’Education. Ou alors faire de l’actuel, un ministère des industries nouvelles autant que des énergeis nouvelles. Ce qu’elle ne fait pas. Les femmes sincères et de poids sont actuellement, donc, Duflot, et évidemment Taubira.
Curieusement, Marine Le Pen semble seule çà envisager la censure et l’anticipation ensuite de l’élection présidentielle. C’est elle qui voit clair, au moins sur les rapports de force et ce qu’il se passe dans l’esprit des Français.
Rien sur l’est ukrainien, ni sur Gaza. Le décisif pour l’équilibre dans ce grand est de l’Europe, c’est la Turquie, c’est elle qui fait équilibre en Islam aux monarchies pétrolières et en puissance militaire c’est elle qui fait équilibre à Israël.
Et que se passe-t-il pour Alstom ? pour Lafarge ? et la Commission est-elle composée ?
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