mardi 2 septembre 2014
Inquiétude & Certitudes - mardi 2 septembre 2014
Mardi 2 Septembre 2014
Fatigue et indisponibilité du temps, le corps et le temps qui me sont mesurés, pris à ce que je ne veux pas et ne produisant pas ce que je evux, ne s’y prêtant pas ou plus. Mon ordinateur toujours en « réparation », mon bon vieux WindowsXP et son excellente messagerie outlook ne peuvent plus se réinstaller faute que Sony ait continué ses « drivers »… les sécuriéts, le piratage. C’est la parabole universelle, sous prétexte de progrès, la régression ou au moins la privation de ce qui fonctionnait ou était apprécié. Carte forcée, plus chère, de moindre envergure… L’excès de réseaux sociaux, d’information, de moyens de communication a augmenté l’insécurité à tous égards, engendré la passivité, la léthargie, le déclin de tout discernement et surtout encourage la désertion en masse de tout ce qui requerrait jugement, participation du plus grand nombre.
Prier… on était frappé par son enseignement parce que sa parole était pleine d’autorité… et la réputation de Jésus se propagea dans touite la région. Dieu fait homme Se présente à découvert ; Sa manière est tout humaine, Il parle bien, Il connaît Ses sujets (ne s’agit-il pas en effet de Lui-même et de son Père), mais ceux qui Le reconnaisent, ce sont précisément ceux qu’Il est venu vaincre ou remettre à Leur place, Lucifer pardonné, les démons ordinaires et autres maladies ou explications des maladies de Son époque…. Es-tu venu pour nious perdre ? je sais fiort bien qui Tu es. Jésus le chasse, simplement du corps d’un possédé. Tout cela en synagogue et le jour du sabbat. L’homme qui n’a que ses forces d’homme ne peut saisir ce qui vient de l’Esprit de Dieu… mais l’homme qui est animé par l’Esprit de Dieu juge de tout, et lui ne peut être jugé par personne. Jésus nous confère l’Esprit saint, et non seulement Il nous donne forces et jugement, mais Il nous délivre de ce qui nous est hostile et nous empêche de vivre et d’aller à Lui. Texte fort sur l’Esprit Saint – personne de la Trinité, Dieu-même – que nous donne Paul : l’Esprit Saint voit le fond des choses, et même les profondeurs de Dieu.
Le touche-à-tout de Hollande, aussi maniaque que celui de Sarkozy, absorbant les compétences et les possibilités d’image publique et d’autorité du ministre ou du Premier ministre, mais bien moins efficace. La voix du précédent était voyou, appelant sans cesse à un sens commun présumé, celle de l’actuel est toujours plaintive, quelqu’un qui pleurniche mais impose sa présence. Donc, la rentrée des classes avec Najat, en Seine-Saint-Denis, un lycée Louise Michels, héroïne s’il en est de la résistance populaire. Annonce d’un plan du numérique pour l’école, lequel pose aussitôt les deux problèmes de la formation des maîtres et de l’investissement en réseau et en matériel. C’est la contradiction manifeste de deux images de la France de ce moment-ci, l’une pour Bruxelles et les engagements budgétaires chiffrés, et l’autre en diverses démagogies, des baisses d’impôts, des exonérations de toutes sortes, des compensations, des mini-investissements. L’autre lacune, habituelle dans le domaine de l’éducation, c’est l’objectif poursuivi, il n’est pas clair, il y a une accumulation de soi-disant innovations qui sont vécus par le corps enseignant et par les enseignés comme des complications : les rythmes scolaires à l’évidence, la grasse matinée du mercredi, l’excellente distribution de la semaine de quatre jours en deux tranches… l’enseignement d’un minimum de connaissance de soi et de la physiologie humaine devenue une bataille dogmatique : la théorie du « gender » … et dans l’espèce de l’informatique : un modèle de société, de communication, d’acquisition des connaissances ?
Justement l’informatique. Mon ordinateur Sony faute que les « drivers » permettant le maintien et la réinitialisation de WindowsXP, m’oblige à changer de logiciel, moins commode et à abandonner outlook, l’excellente messagerie. Progrès… je ne ‘lai aps choisi, complixté du nouvel écran, fonctions multiples dont je n’ai aps besoin. La technique ne s’adapte pas et ne sert plus, au moins dans ce cas, l’homme, c »’est l’homme qui doit s’adapter à la technique. Conséquences pratiques dans la vie quotidienne. Et question pour le social, études d’Alfred Sauvy là-dessus.
La première partie du quinquennat jusqu’à ces jours-ci pour éphémérides les fermetures d’usine, et les destructions d’emploi : le chômage, l’amenuisement de notre patrimoine matériel et intellectuel. La seconde est en train de trouver son rythme : celui des provocations. Soit par la nomination de tel ou tel, à commencer par le Premier ministre actuel, puis maintenant par Emmanuel Macron jouant apparemment du christianisme social, des « grands ancêtres » de la gauche du « parler vrai » : Michel Rocard et Jacques Delors, mais qui a fait de la banque comme Francis Pérol (Rothschild) et Georges Pompidou, et même davantage : quelques centaines de millions en prises de participation et d’intérêt. Soit par des propos qui n’ont d’ailleurs aucune application pratique, mais heurtent des sensibilités étiquetées ou pas. Valls au MEDEF : j’aime les entreprises, Rebsamen à ses administrations : contrôlez plus étroitement vos chômeurs pour les sanctionner s’ils ne cherchent pas assez activement leur réemploi. Principe de suspicion, évidente tentation de truquer les statistiques assassine pour un gouvernement di de gauche et faisant de l’emploi la priorité des priorités. Jusqu’à ces jours-ci, il y avait effort et insuccès. Aujourd’hui, c’est la revendication d’une identité politique et psychologique. Le papier que je n’ai pas encore lu ni donc analysé, d’Emmanuel Macron pour Ouest France se titre : « être de gauche, c’est être efficace ». la formule doit s’appliquer à tout animateur, à tout dirigeant, mais elle ne caractérise pas la gauche dont la pétition et la raison d’être pour ceux qui en ont la sensibilité (et la situation la plus concrète) est la justice.
Ukraine, risques de guerre, dit-on. Ce qui indique que la guerre c’est selon nous, et non selon ce que subissent des gens qui ne sont pas nous et qui sont loin géographiquement et culturellement. Irak, djihad, Etat islamique : évidente légitimation du Kurdistan. Conjoncturellement : oui, comme supplétifs au sol, faite que les « Occidentaux » s’y risquent, mais à terme ? un Etat naissant comme l’Etat islamique, et bouleversant tout autant la carte et les stratégies puisque les Kurdes sont en Turquie, en Iran, en Syrie autant sinon plus qu’en Irak…
soir
Vaudeville… Julie Gayet gagne en correctionnelle contre Closer . Valérie Trierweiler fait paraître un livre après-demain, et l’Elysée communique n’être pas au courant. – Atrocité… nouvelle organisation médiatisée d’une décapitation par l’Etat islamique : un second journaliste américain, avec le prochain, un éventuel troisième, qui est britannique. Le bourreau étant le même, d’origine britannique. Supplication de la mère au « calife ». Obama en difficulté puisque samedi soir il avouait n’avoir pas encore de stratégie contre l’Etat islamique. Blabla sur nos ondes télévisées… à la veille du sommet atlantique en Estonie. Personne à terre encore. Pas de réplique vraiment militaire ni en Ukraine ni en Syrie ou en Irak.
nuit
Autant je ne vois au Proche-Orient que des issues actuellement utopiques : un Kurdistan arraché aux quatre Etats qui se le partagent juridiquement depuis les années 1920 et une Palestine unitaire où les droits et protections des Juifs et des Arabes sont assurés par les juridictions de droit interne d’un Etat laïc, mais de substance démographique multi-ethnique et muti-religieuse, avec éventuel appel à la Cour européenne des droits de l’homme, autant pour l’Ukraine, la crise va être de dénouement rapide : l’Union européenne avait déjà commis la bêtise depuis un an ou deux de proposer l’adhésion et d’en faire la base-même des émeutes et des séparatistes selon la succession des pouvoirs en place à Kiev, l’Alliance atlantique fait la même erreur en laissant entendre que l’adhésion de l’Ukraine est dans l’air, ce qui évidemment est le casus belli pour la Russie, déjà défiée par la pose du bouclier anti-missile, il y a dix ans. Le probable dénouement va être le scenario de 1968, celui du « second coup de Prague » : un coup d’Etat militaire à Kiev spontané, en fait organisé par le KGB et les éléments séparatistes qui doivent exister dans l’armée-même censément loyale au nouveau gouvernement ukrainien. Lequel est déjà en difficulté parlementaire. – Un « expert » en stratégie d’un de nos multiples instituts, sans doute subventionnés mais par qui ? montrait ces jours-ci dans Le Monde que Poutine a toujours un coup d’avance. C’est maintenant la dizaine de coups.
Le livre de Valérie Trierweiler : promis au sort de celui du Dr. Gubler, pour simple motif de vériét et aussi de curiosité populaire. Un homme de pouvoir, ne redoutant aucune révélation et dont la communication était – précisément – toujours en avance… de Gaulle, mettant en sus les rieurs de son côté.
Atroces exécutions par le djihad, art encore plus consommé que celui de Ben Laden pour la mise en scène, mais surtout « géniale » et diabolique cruauté, les exécutions ne sont pas pas faites par quelque pauvre type du fin fond de l’Irak, mais par un « british », lequel ne se trahit nullement mais est au contraire sciemment authentifié en tant que rallié « occidental » au califat. En regard, tout aussi atroces, la banalité des superlatifs dans le « commentaire » de chacune de nos capitales, des réunions de crise dans les mêmes, à des milliers de kilomètres des meurtres, pour au total ne rien faire que l’habituelle tactique des super-forteresses volantes de 1944 bombardant de très haut des objectifs militaires et perfectionnant ses communiqués-bilans depuis la guerre du Kosovo, dommages collatéraux. – Sauf erreur, la France, quoique coupable de ne aps avoir veillé à la démocratie dans ses anciennes possessions au sud du Sahara, a eu le courage de mettre ses soldats aux prises physiques avec l’ennemi et sur le terrain de celui-ci.
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