Cher
ami, Monsieur le Secrétaire général,
la macro-économie, soit ! cela se répare et évolue, ne dépend pas toujours ni automatiquement de nous seuls. Les comptes de la cuisinière, mais la cuisine elle-même et les provisions ?
L'an dernier : Alstom énergie (et le confort financier de Bouygues déjà gavé avec le "pentagone à la française", marché truqué), l'aéroport de Toulouse, le Club-Méd. pour ce qui est le plus voyant sinon le plus scandaleux.
Maintenant : Areva, pertes record... est-il affiché... prochaine charrette ? alors que nous avons éludé, en position de force, les approches de Siemens qui a conclu ensuite avec la Russie...
L'exemple de nos rois : augmenter le royaume en superficie, en population, en patrimoine. Leur responsabilité : en conscience et devant Dieu seulement, mais très efficacement pour leur souci du royaume. Il n'y a aucune sanction aujourd'hui pour qui dilapide nos actifs nationaux : ni en entreprise, ni en fonctionnement des pouvoirs publics. Ces deux leit-motiv : les réformes, prendre ses responsabilités. Quelle abstraction... à laquelle concourt notre "mise à toutes les sauces" des valeurs de la République.
Le discours d'Istres. Evoquer François Mitterrand qui, avec Charles Hernu, a maintenu notre force de dissuasion. Très bien, mais ne pas prononcer le nom du général de Gaulle..., sauf lecture trop rapide de ma part.
Voeux de bonne journée.
la macro-économie, soit ! cela se répare et évolue, ne dépend pas toujours ni automatiquement de nous seuls. Les comptes de la cuisinière, mais la cuisine elle-même et les provisions ?
L'an dernier : Alstom énergie (et le confort financier de Bouygues déjà gavé avec le "pentagone à la française", marché truqué), l'aéroport de Toulouse, le Club-Méd. pour ce qui est le plus voyant sinon le plus scandaleux.
Maintenant : Areva, pertes record... est-il affiché... prochaine charrette ? alors que nous avons éludé, en position de force, les approches de Siemens qui a conclu ensuite avec la Russie...
L'exemple de nos rois : augmenter le royaume en superficie, en population, en patrimoine. Leur responsabilité : en conscience et devant Dieu seulement, mais très efficacement pour leur souci du royaume. Il n'y a aucune sanction aujourd'hui pour qui dilapide nos actifs nationaux : ni en entreprise, ni en fonctionnement des pouvoirs publics. Ces deux leit-motiv : les réformes, prendre ses responsabilités. Quelle abstraction... à laquelle concourt notre "mise à toutes les sauces" des valeurs de la République.
Le discours d'Istres. Evoquer François Mitterrand qui, avec Charles Hernu, a maintenu notre force de dissuasion. Très bien, mais ne pas prononcer le nom du général de Gaulle..., sauf lecture trop rapide de ma part.
Voeux de bonne journée.
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