Vendredi
24 Janvier 2014
matin
Les
réformes inutiles ou que personne ne demande et celles qu’on ne fait jamais ou,
dont du haut de l’Olympe (« la » politique…) on ne disccerne pas le
besoin ni n’entend la
réclamation. Exemple : l’aggomération de Vannes va
distribuer des bacs, un par habitant avec jour de collecte du contenu de ces
bacs dont je ne sais pas la matérialité, couvercle ou pas, contenance ou
pas ? remplaçant ce qui donnait satisfaction : de grands conteneurs,
non loin des habitats en campagne. Pour notre part, avec nos chiens, il va
falloir les enfermer les jours de collecte, etc…… En revanche, l’écoulement des
aux pluviales par exemple
Les
deux François, l’homonymie de prénom fait déjà gagner une ou deux lignes aux
commentateurs. Une demi-heure de conversation, sans doute figée avec trop de
témoins et preneurs de note. Demander au pape du lobbying international… pour
la Syrie et autre, sinon l’Iran de manière à faire plaisir à Israël…alors que
la France, membre permanent du Conseil de sécurité, pourrait provoquer un débat
sur les chrétiens au Proche-Orient et ouvrir une jurusprudence : les
communautés non-étatiques, comment ls défendre et les faire représenter
internationalement. Evidemment, toutes les minorités revendiquant d’exister, ou
les Etats subordonnés type Tchéténie, les Roms évidemment pour qui l’Union
européenne doit inventer une citoyenneté indépendante de tout Etat national,
etc… de l’invention donc. Du côté de l’Eglise, d’autres obsessions que les
législations nationales qui n’auraient pas à tant traiter d’éthique, de
biologie et de défense in abstracto de la vie s’il n’y avait d’abord des
politiques sociales, protégeant les gens de tels dilemmes que l’avortement. La percée
par laquelle l’Eglise, en France et dans les pays dits développés et
démocratiques où cependant le pouvoir est souvent loin du peuple, apporterait
quelque chose de décisif, précisément pour la démocratie serait de militer pour
le vote de conscience dans toute assemblée, et pour la prise en compte du vote
blanc pour tout scrutin, celui-ci étant chargé de recueillir assez de voix pour
un quorum, faute de quoi il ne serait pas valide. La réalité, c’est la tyrannie
de majorités supposées ou de gouvernants abusant des manettes et de la
possession d’état. Ce que ne justifie nullement une sagesse rarement
rencontrée. Le despotisme n’est plus chez nous totalitaire, mais il n’est pas
non plus éclairé.
après-midi
Depuis
quelques jours, je renoue aec une réflexion périodique commencée au moment des
Jeux de Pékin qui coincidaient avec une recrudescence de l’asphyxie du Tibet
par des immigrations exogènes massives. N’y aller que sportivement, mais pas
politiquement, le chantage aux contrats montrant d’ailleurs que ceux-ci ne
répondent pas à un besoin mais à une politique, ce qui les rend fragiles.
Soutenir au maximum les dissidents. L’Union soviétique était presque perméable
depuis la fin des années 1960, politiquement la Chine ne l’est toujours pas. En
Afrique, il est avéré que nos deux intrerventions « pour la bonne
cause » sont soutenus par des régimes peu recommandables fondés selon des
coups militaires. Comment faire ? réponse : être. Ne plus privilégier
des politiques d’Etat à Etat qui nous corrompent à notre tour, pas seulement
financièrement : depuis Nucci et le Carrefour du développement, une
trentaine d’années ou pas loin, nos ressortssants corrompent et se laissent
corrompre (Guéant) , mais moralement, car nous entrons dans le jeu des
concessions du mal pour pallier le pire, croyons-nous, et nous ne faisons
qu’aider la contagion.
Une politique vis-à-vis des peuples et singulièrement des
personnes : droit d’asil certes mais même soutiens. Le salut du monde est
dans l’Etat de droit, la transparence, la démocratie. Les
dissidents de ces régimes totalitaires sont l’avenir de leur peuple et aussi
notre chance, car nous sommes depuis le traité de Marrakech et dans l’ambiance
qui le fit conclure, les perdants de la donne actuelle, à tous égards.
Certainement, une voie à réfléchir, des mises en place européennes, des exposés
clairs en Assemblée générale des Nations Unies et au Conseil de sécurité.
Je
lis alors le Monde du 23 courant: la corruption en Chine,
la « commercialisation du pouvoir politique ». Il en ressort deux
choses, trois même si l’on compte le préalable qui est de constater que l’ombre
nécessaire pour amasser indûment des fortunes et gérer des influences, est le
mieux fournie par des régimes totalitaires. Plus précisément, deux points donc.
Ce sont des territoires britanniques qui sont les paradis fiscaux les plus
recherchés, évidente parenté d’intérêts, de manières et de circuits : Hong
Kong, la Cité de Londres et ces Antilles. Cette même Grande-Bretagne qui n’a
presque jamais joué le jeu européen, sauf peut-être les trois ans d’Edward
Heath. Donc, la question de confiance : vous changez, vous abattez
vous-même le pan le plus important de la spéculation financière mondiale et
vous n’êtes pas constamment en exception d’Europe (le « juste retour »
depuis 1984 à Fontainebleau). Second point, l’exposé des résultats
d’exploitations de centaines de milliers de documents par ICI (sigle
développé ? anglo-saxon) par le Monde cite, pour mémoire le directeur financier de la campagne
présidentielle de Hollande dont le nom avait été tu dans l’heure de son énoncé
en Mars-Avril dernier, et souligne aussi qu’à Bercy (Tracfin, notamment,
quoique Tracfin n’y soit pas logé physiqument) comme au Quai la chasse à
l’investissement chinois suspect n’est « pas une priorité ». Ce
seraient les Russes et d‘autres. Manque de coopération des institutions
chinoises ? peur de représailles commerciales ? A mon sens, nous
aurions… nous aurons des surprises : l’U.M.P., Raffarin principalement.,
intérressés financièrement à la pénétration chinoise… Et il y a ces contrats de
l’E.D.F. et maintenant l’actualité Peugeot, même si ce n’est pas principalement
de la fraude.
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