jeudi 21 novembre 2013

appels à la désobéissance civique - ce que je reçois

La marée monte.

Front anti-fiscalité (écotaxe, TVA, charges sociales, etc...), chantage aux enfants et à la familiphobie, autres délires de la persécution, mais appels de divers horizons et en diverses matières à l'illégalité.
Nous avons eu depuis 1981, la contestation de l'Etat par le pseudo-libéralisme économique (celui-là même qui a produit la mondialisation) qui forma en 1986 l'a contradictoire plate-forme de la droite si longtemps dirigiste (VGE). Nous avons depuis le début de 2012, la contestation de l'Etat au nom de la loi morale, assimilée à la loi naturelle sinon divine.
Les deux crises se rejoignent : crise d'autorité politique, contestation de la légitimité-même de l'Etat.
 

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From: Objection
Sent: Thursday, November 21, 2013 4:24 PM
Subject: OBJECTION

Pour vous inscrire et/ou faire circuler largement, surtout auprès des professionnels de santé que vous connaissez, auprès des maires et adjoints réfractaires, auprès des notaires, auprès des parents et des professeurs pour l'organisation d'une résistance dans le monde scolaire.
 


Pharmaciens et professions de santé, maires et officiers d'État civil sont confrontés au défi de l'objection de conscience, les uns depuis des années, les autres depuis des mois. Si les enseignants sont touchés, notamment les professeurs de SVT, les notaires, les assistantes sociales, les parents et les élèves voient également l'étau se resserrer, avec l'éducation au gender pour les uns et l'accompagnement des couples de même sexe pour les autres...

Un week-end pour se former à une action efficace
Si vous vous sentez concernés par ce phénomène et souhaitez vous former, nous vous proposons un week-end de formation intensif mêlant échanges et apports théoriques tout autant que pratiques.
Des personnalités et des experts (médecins, philosophes, juristes…) interviendront pour décrypter le phénomène de l'objection de conscience, expliquer quels en sont les enjeux moraux et resituer l'ensemble dans le contexte de la cohabitation démocratique des droits. Seront également proposés des tables rondes par professions ainsi que des ateliers spécialisés qui seront l'occasion à la fois d'échanges (informations, témoignages) et de mises en situation concrètes par profession...
Les inscriptions sont ouvertes
Vous pouvez dès à présent vous inscrire et retrouver le programme en ligne.
Attention, le nombre de places est limité. Merci donc de faire suivre cet email avec discernement, en vous assurant de la bonne volonté des personnes que vous inciterez à s'inscrire.
Choisissez votre tarif d'inscription
Le coût du week-end comprend l'assistance aux deux journées de formation ainsi les déjeuners pour les deux jours. Nous proposons un tarif réduit pour permettre aux étudiants et aux personnes en difficulté financière de participer. Ce tarif ne couvrant pas la totalité des frais d'une personne pour le week-end, nous remercions par avance les personnes qui auraient la possibilité de choisir le tarif de soutien.
Vous pouvez également faire un don à l'association pour nous aider dès maintenant dans l'organisation de ce week-end. Nous espérons que vous pourrez y participer.

Découvrez notre action en visitant notre site :www.objectiondelaconscience.org

 



----- Original Message -----
Sent: Thursday, November 21, 2013 11:03 AM
Subject: Va-t-on laisser euthanasier les enfants ?

Va-t-on laisser euthanasier les enfants ?
Communiqué d'Alain Escada, président de CIVITAS :
En Belgique comme en France, les parlementaires préparent de nouveaux textes de loi à propos de l’euthanasie. Comparer la situation de ces deux pays n’est pas sans intérêt car la Belgique a le triste privilège d’avoir toujours sur la France une « longueur d’avance » en matière d’effondrement moral et éthique.
La Belgique a déjà légalisé l’euthanasie des adultes. Elle envisage maintenant d’autoriser l’euthanasie des mineurs. Il est probable qu’un vote en commission du Sénat se déroule la semaine prochaine, validant ainsi la présentation d’un texte de loi aux deux assemblées parlementaires belges.
Depuis quelques mois, les principaux médias ont participé au conditionnement des esprits. Télévisions, radios et presse écrite ont abondamment diffusé les témoignages de quelques mamans, toujours les mêmes, affirmant que le regard de leur enfant gravement malade traduisait leur souhait d’en finir avec la vie. Il n’est bien sûr pas question de stigmatiser le désarroi de mamans devant la souffrance prolongée de leur enfant. Mais entendre une maman prétendre qu’un enfant de cinq ans a la maturité suffisante pour comprendre ce que signifie l’euthanasie et décider seul de son sort laisse pantois. Il n’est pas besoin d’être un grand spécialiste de l’enfance pour savoir qu’un enfant de cet âge n’a pas conscience des conséquences de la plupart de ses actes, notamment en ce qui concerne le danger. Mettre en garde un enfant en lui disant « Attention, c’est chaud, ça brûle ! » ne sera souvent suivi d’effet qu’après que l’enfant ce sera confronté à cette source de chaleur dont il ne comprend pas encore la conséquence douloureuse. Autant dire que la mort est pour l’enfant une notion encore bien plus mystérieuse. Et ce d’autant plus que l’enfant est de plus en plus confronté à des jeux où la mort d’un personnage signifie simplement la fin de la partie et le fait de pouvoir en recommencer aussitôt une autre.
Le débat qui agite les parlementaires belges ne se situe déjà plus, sauf très rare exception, entre partisans et opposants de l’euthanasie des mineurs. Les différends essentiels parmi les députés et sénateurs se limitent à deux. Le premier porte sur le fait que le texte de loi ne prendrait en compte que la souffrance physique pour permettre l’euthanasie des mineurs alors que certains voudraient étendre les motifs à la souffrance psychologique. Le second concerne l’accord ou non des parents alors que le projet initial prévoit l’accord nécessaire des parents pour euthanasier les enfants et non pour les adolescents sans que la limite entre l’enfance et l’adolescence ne soit clairement établie.
L’euthanasie des mineurs est hélas quasiment déjà acquise en Belgique avec le soutien probable de la grande majorité des parlementaires et sans véritable opposition perceptible ni du monde politique ni de l’Eglise, hormis quelques déclarations de principe, d’ailleurs signées en commun avec les représentants des autres cultes, restées relativement confidentielles.
Pas une association, pas un collectif, n’a disposé jusqu’à présent de quelques moyens ni soutiens de l’Eglise catholique de Belgique pour mobiliser et batailler contre ce projet infâme. Sauf heureuse surprise, il n’y aura pas de défaite des catholiques belges car ils n’auront tout simplement pas livré bataille, offrant d’emblée à l’adversaire la victoire par forfait.
Comment la Belgique a-t-elle pu en arriver là ? Sans doute parce que ce pays est rongé par le matérialisme et le relativisme. La responsabilité incombe également à cette hiérarchie de l’Eglise catholique de Belgique qui fuit le combat et cherche la paix dans la compromission et le reniement.
Venons-en maintenant à la France et voyons que les causes du déclin accéléré de la Belgique en matière morale et éthique affectent également la société française. Dès lors, ce n’est plus qu’une question de temps avant de connaître la succession des mêmes fléaux et le phénomène se constate déjà. A moins de prendre conscience des dangers et d’opérer un sursaut inattendu, ce qui demande à un grand nombre d’entre-nous d’assumer un engagement sans concession.
Nul ne peut plus ignorer l’engrenage infernal auquel conduirait le vote en France d’une loi autorisant l’euthanasie. Nul ne peut non plus ignorer la rafale d’initiatives iniques visant à détruire la Famille et la Chrétienté, dont cette théorie du genre, idéologie abjecte et démoniaque. Une seule question se pose : allez-vous laisser faire ? Si votre réponse est non, il faut en accepter le prix car on ne s’oppose pas à de tels fléaux en faisant dans la demi-mesure. Le temps est venu de faire des choix ! De ces choix dépendent l’avenir de l’humanité et de la civilisation, rien moins…

Campagne contre la théorie du genre - On ne lâche rien !
Cette vidéo doit faire le buzz.
Transmettez-la à tous vos amis, diffusez-la sur vos blogs, sites et sur les réseaux sociaux !

Réquisitoire contre la théorie du genre

    Alain Escada, président de CIVITAS, a publié un véritable réquisitoire implacable contre la théorie du genre. Cet ouvrage, rédigé de façon à être accessible à tous et à dévoiler toutes les conséquences de la théorie du genre, est vendu au prix modique de seulement six euros de façon à permettre sa plus large diffusion. Lisez-le ! Diffusez-le !

Alain Escada entame une tournée de conférences pour présenter cet ouvrage et combattre la théorie du genre.
Aidez-le à s'exprimer dans toute la France !
Après Annecy, Grenoble et Nantes, bientôt :
Caen (14): 9 novembre au Prieuré St Jean Eudes – 1 rue des Prébendes – Gavrus    19 heures
Domezain (64): 15 novembre à l'Ecole St Michel Garicoits – Le Trinquet - Domezain – 20 heures
Bordeaux / Bruges (33): 16 novembre - Salle Jeanne d’Arc – 19 Av Charles de Gaulle – Bruges – 20h30
- Paris : Salle des catéchismes de St Nicolas du Chardonnet - 20h
 et le 16 janvier, Toulouse.

Une offre promotionnelle est proposée. Son précédent ouvrage "Mariage homosexuel, homoparentalité, etc - Décryptage d'une révolution sexuelle" vendu à 12 euros et son nouvel ouvrage "Théorie du genre - L'idéologie qui voulait détruire la Création et libérer toutes les perversions humaines" vendu à 6 euros, sont proposés à la vente ensemble pour seulement douze euros les deux + trois euros de frais d'envoi.
Achat en ligne ici ou par chèque à envoyer à notre secrétariat CIVITAS - 17 rue des Chasseurs - 95100 Argenteuil.

Ces campagnes coûtent énormément d'argent. Aidez-nous à mener le bon combat !
Civitas  -  France Jeunesse Civitas
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Campagnes contre l'antichristianisme depuis 2011.
Campagnes contre la dénaturation du mariage et de la parenté depuis novembre 2012.
Maintenant, campagnes contre la théorie du genre ainsi que contre la PMA et la GPA...
Tout cela coûte fort cher et l'argent est indispensable pour faire entendre la voix des catholiques !

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