. . . à l’Institut Pierre MENDES FRANCE, 13 heures
15 à 16 heures + Dossiers après l’exercice du pouvoir : ALPHAND, il était
question d’un voyage aux Etats-Unis en Mai 1958… MCM des interventions en Avril
1968, deux pelures vertes sans substance… Simon NORA, tête chercheuse pour PMF
quand il est au cabinet de JCD, u Institut franco-soviétique d’étude des
systèmes et des contributions en 1955-1957, il est au ministère des Finances au
service des études et autres, après avoir été en 1956 sous-directeur au Trésor.
Un entretien PMF-DG le 11 Avril 1956 ? – Le livre anthologie et
témoignages sur Georges BORIS : maitre d‘œuvre LEGATTE, idée de PMF,
souscripteurs…TINE, VALLON, PERROUX, un SIMON de la Cour d’appel de Paris.
Olivier GUICHARD, un GREGH, SG adj. Pour l’économie et les finances à l’OTAN,
Air France, une Simone GROS, DUVERGER… les souscriptions ont été ongues et
modestes à parvenir : 1960-1963, un Pierre DAC : est-ce
l‘humoriste ? des gens qu’il a aidés à Londres pendant la guerre, René
CASSIN… pas d’enfants ? une nièce : Antoinette BORIS et une liste des
souscripteurs.
Je
rapproche un grand papier de NORA ? et datant de printemps de 1956 ?
de l’article dans 20 minutes, le journal gratuit, éd. d ce matin :
sur les classes moyennes mécontentes en ce moment, dictatoriales et
prioritaires à l’époque. Observations valant encore aujourd’hui, mais surtout,
intelligence et culture du papier, en regard vg. le rapport PISANI-FERRY…
dialectique puissante du papier, description d’un pays « à la masse »
mais discernement de chances décisives. Aujourd’hui, le discours est en sens
contraire. Faire croire qu’on est un grand pays, que la mondialisation etc.
sont un atout pour la France mais ne discerner et en fait n’avoir aucune chance
nouvelle, aucune piste vraiment de notre époque. Les papiers qui font penser
par prolongation, par perspective, par analogie, par réminiscence, qui mettent
en mouvement et qui mobilisent nos stocks de culture, de savoir et aussi qui
prennent autrement les problèmes que nous nous posons ou qui nous sont posés.
Nous n’avons actuellement aucun exposé vrai des doctrines à l’oeuvre ou
dominantes, nous n savons même pas si, précisément, il en existe : en
théorie ? en pratique ? encore aujourd’hui. Je n’ai pas lu – et pour
cause – les papiers actuels, tels que ceux proposés au PR ou au PM, voire à
MOSCOVICI, mais je gage qu’ils rigidifient, ne font pas penser, ne libèrent pas
mais imposent… à plus forte raison, ils n’ouvrent pas des choix, aucune
alternative que l’adaptation, l’obéissance. En 1956, le « mouvement
Poujade » pour l’économie, comme le serait depuis vingt ans le Front
national pour la politique ?
PERROUX
aussi proche de PMF avant 58 que de DG après 58. PMF se tenant au courant et
intervenant en coulisse comme inelligenc et autorité morales en 56-57. Un
second grand papier NORA sur la réforme de l’administration économique :
Décembre 1956. Le fond implicite est que pour celui-ci l’Etat et ses jeunes
hauts-fonctionnaires sont les véritables défenseurs d’un capitalisme bien
entendu. Ce second papier NORA – près de soixante ans – montre que nous n’avons
rien trouvé de mieux, que de ne pas le faire ou d’en abandonner les prémisses
ou les analogies finalement mises à l’œuvre, notamment sous DG et GP : à
vérifier dans le fonctionnement du Plan.
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