Vendredi 28 Juin 2013
Prier…[1] dialogue très complet entre Dieu et Abraham, bénédiction des deux postérités, rite juif de la circoncision, autant de princes dans la descendance d’Ismaël que de tribus d’Israël. Abraham n’a que des demandes a minima : Accorde-moi seulement qu’Ismaël vive sous ton regard ! Le souci de notre père dans la foi, le père de tous les croyants en Dieu unique et miséricordieux, est seulement le salut et la piété de son fils. Chronologiquement, l’Islam vient après le judaisme et le christianisme au point de vue de l’histoire des religions, mais biologiquement Ismaël est bien le premier né d’Abraham. Quant à Ismaël, j’ai bien entendu ta prière. Reste le décisif : voici le pacte d’Alliance qui sera observé entre moi et vous… Tu observeras mon Alliance, toi et ta descendance, de génération ern génération… Quant à mon Alliance, c’est avec Isaac que je l’établirai, avec l’enfant que Sara va te donner l’an prochain à pareille époque… Je suis le Dieu Tout-Puissant : marche en ma présence et sois parfait. Dieu se présente, Dieu apparemment dit l’impossible, notre perfection, la fécondité d’un couple et surtout d’une femme aussi âgée. La vieillesse d’une humanité, d’une destinée quand Dieu n’y intervient pas, n’y est pas présent. Comme si cela dépendait de nous, de loi ? Marche en ma présence. C’est bien que nous en avons le moyen … la prièer. Dieu perceptible … le Seigneur lui apparut… Lorsque Dieu eut fini de parler avec Abraham, il disparut à ses yeux. La foi, le lépreux, l’homme avant Dieu dans sa vie, l’homme laissé à lui-même ? l’homme rencontré. Fde grandes foule se mirent à le suivre et voici qu’un lépreux s’approcha : « Seigneur, si tu le veux, tu peux me purifier ». Amen. Je ne cherche pas ici la relation entre deux chemins vers Dieu : Islam et christianisme, puisqu’ils mènent à Dieu et qu’Abraham a souhaité que commencent tous ces chemins, et nous en a donné la clé, l’orée : la foi. Voici comment sera béni l’homme qui craint le Seigneur. Et persone n’est potentielleme,nt pu a priori à exclure : lorsque Jésus descendit de la montagne, de grandes foule se mirent à le suivre. Jésus, nouveau Moïse, les tables d’une autre loi, et une humanité qui le suit au lieu de fabriquer le veau d’or. Débat aujourd’hui entre la crise financière, égarement de nos systèmes d’économie, et les intégrismes des Frères musulmans, des djihadistes ou des « on ne lâche rien, jamais, jamais », apprêtant leurs banderoles pour les médias dédiés au Tour de France…. égarement des lectures religieuses… Prier, travailler, marcher. Heureux qui craint le Seigneur et marche selon ses voies ! Tu te nourriras du travail de tes mains : heureux es-tu ! A toi, le bonheur !
Quintessence de tous nos dérèglements : les échos médiatiques du jour. D’abord, ceux qui nous gouvernent. Le président de la République et le Premier ministre se trouvent, au même moment, hors de la métropole. Sarkozy avait commis quelques fois la même erreur. Un véritable vide constitutionnel si « quelque chose » arrivait. Cette manie maintenant de gouverner et de consulter par téléphone portable en dialoguant avec d’autres et sur un théâtre donné, avec tel ordre du jour, intervenir médiatiquement de l’étranger sur la scène intérieure : on ne peut mieux mépriser ses hôtes étrangers que de penser et parler pour d’autres qu’eux, et de rester mentalement dans l’hexagone rivés aux sondages d’opinion. – Procédures qui sont présentées en boucle comme déjà des décisions. Tapie mis en examen mais le pénal – la bande organisée – ne devrait pas aboutir et Sarkozy ne devrait pas être inquiété à la fois parce qu’il est intouchable pour tout ce qu’il a commis étant président, sauf haute trahison, et ce n’en serait pas une que de voler l’Etat dont on est le chef élu pour cinq ans. Au civil, l’Etat prendrait déjà des garanties pour que le patrimoine reste suffisant pour rembourser quand aura abouti l’annulation de l’arbitrage : c’est ce qui est dit mais ce n’est pas ce que je prévois. Manifestement, cette insistance de ses avocats et probablement de lui, lundi prochain, quand il parlera comme déjà annoncé, pour dire que pendant sa garde à vue il n’a pas balancé des politique, c’st un appel à la protection par Sarkozy et autres. L’appel d’Alain Delon en 1971 à Georges Pompidou : implicitement, c’était rappeler une dette que je n’ai identifiée qu’en travaillant pour ma biographie de Ciuve de Murville, l’affaire Markovic. – Enfin, le parquet requiert à Bordeaux le non-lieu pour Sarkozy et Woerth dans l’affaire Bettencourt : aucune charge relevée, tandis que les lampistes Barnier et de Maistre, eux, plongent. Les trois juges dont Gentil suivront-ils ces « réquisitoires » qui sont des absolutions et la rééligibilité de l’ancien président pour 2017.
Après les mots et allusions – selon des ministres en exercice – envers l’Allemagne, maintenant c’est la mise en cause mutuelle : France-Barroso et maintenant Hollande-Barroso, un désastre. Naguère, Brandt s’était oublié devant un parterre SPD à dénoncer un veillard obstiné bloquant la construction européenne : de Gaulle. Couve de Murville parvint à arranger les choses. Le futur chancelier allemand avait en fait dit la pensée du successeur potentiel du Général.
La mort probable de Nelson Mandela pendant la visite d’Obama. Le jeu est trop facile, celui de la chauve-souris, noir quand on veut, blanc quand on veut. Les visites de bagne, de prisons, Gorée et la cellule du héros de la lutte anti-apartheid, alors qu’il y a Guantanamo, l’Afghanistan et l’Irak… bien actuels. Pour moi, l’homme-phare pour la chute du système Malan inventant le « separate but equal » en 1948, c’est De Klerk, l’Afrikaaner qui se rend compte et qui ouvre le jeu. Bien entendu, il fallait en face un chef charismatique. De Klerk eut aussi l’intelligence de le discerner.
Farce que la « garantie » jeunesse : les 600 millions pour 300.000 jeunes en France, traitée comme « les pays du sud ». Où sont les 160 milliards du « volet croissance » dont s’est targué Hollande pour ratifier le traité budgétaire que nous ne pourrons respecetr même avec la rallonge de deux ans. Pas le moindre début de réflexion sur le financement des dettes souveraines. Il est mais pas répété… que nous venons en deux mois de nous endetter de trente milliards de plus… Quant à la dotation « jeunes », c’est à peu près ce qui va être retiré par l’Etat aux collectivités locales et l’arbitrage Tapie est d’un ordre de grandeur voisin.
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