jeudi 27 juin 2013

Inquiétude & Certitudes - jeudi 27 juin 2013

Jeudi 27 Juin 2013


                               Prier… toi qui les sauves, visite-moi : que je voie le bonheur de tes élus ; que j’aie part à la joie de ton peuple, à la fierté de ton héritage. Le tour à tour de la pauvreté, de la dépression, de la chute mais aussi du salut, de la compassion. Le mystère cependant : je ne vous ai jamais connus. Ecartez-vous de moi, vous qui faites le mal ! Quel mal ? dans cette version du « jugement dernier », Jésus ne le définit pas mais dans d’autres, c’est notre comportement vis-à-vos d’autrui qui équivaut à Le bien traiter ou à L’ignorer lui. Deux simples recommandations : il faut faire la volonté de mon Père qui est aux cieux… tout homme qui écoute ce que je vous dis là et le met en pratique est compatable à un home prévoyant qui a bâti sa maison sur le roc. Faut-il dans le récit des naissances d’Ismaël puis d’Isaac, les deux descendances d’Abraham, l’Islam, le judéo-christianisme (ou le judaïsme seul, car le christianisme n’a d’ancêtre que par adoption) voir des qualifications pour la suite. Peut-être. L’indication aussi que la stérilité n’était que le fait de Sara, machisme alors ? J’y vois seulement la sollicitude divine. Agar passe d’un sort heureux : la maîtresse de son maître, l’enfant de lui, mais sans héritage, et à le briguer et à déranger l’ordre social, elle tombe dans le malheur. Elle n’en est tirée que par Dieu. – Humblement, je ne peux que prier et espérer. Quand les circonstances, quand tant dans la vie, quand mon regard d‘âme s’arrête à chaque rencontre pour y rencontrer certes la vie et le sourire, sinon ce ne seraient pas des rencontres, ce ne serait que des indifférences d’un passant à un autre, ou la haine des voisinages, indifférence et haine si souvent ressenties, indifférence et haine aussi des circonstances anonymes mais ambiantes, structurantes de nos états de vie. Il n’en surgit que l’ultime orientation de nos personnalités : la prière. Sauvé au titre d'une appartenance...

La dégénérescence continue. La manif.pour tous est allée au Parlement, s’y est fait entendre, la France pays de la répression. Nicolas B. prisonnier politique.Une éminente historienne de la France contemooraine, tout en estilant que Hollande terlinera convenablelent son mandat, donne tort au ouvert cette bataille du « mariage pour tous » qui divise les Français. Je récuse tout cela en bloc ; La Nouvelle Zélande a adopté cette législation en trois joiurs, la Chambre des communes britannique en un après-midi, et hier la Cour suprême des Etats-Unis l’a légalisée, il n‘y a que nous pour si mal gérer les procédures parlementaires et se passionner d’une manière si adventiste et excessive. Nos officiers d’Indochine revenus… en Afriqued u nord… persuadés d’avoir trouvé chez les Vietminh les clés de la « guerre révolutionnaire » et de la stratégie destinée à « faire basculer » l’oipinion publique en faveur de l’illégalité, opposée à une légitiité que décernent ou p des groupes imposant leurs référénces.



Dans ces circonstances, bouclage d’une mûe du marché commun agricole. Le Foll venu au devant des critiques, ni mauvais ni bon oour exposer une certaine modulation des aies en fonction du capital de chacun. Mais évocation de ce qui m’a échappé la semaine dernière. Barroso nous aurait traités, aurait traité la France de pays réactionnaire, il s’agit de notre exception culturelle. A l’évidence, nous n’avons pas su définir celle-ci et la présenter d’une manière qu’elle puisse être la cause de beaucoup sinon de tous, de tous ceux dont la la,gue, l’identité, la tradition sont menacées. Le français pas du tout une supériorité qui se défendrait en tant que telle, mais l’exemple que chacun face à l’anglais façon japonaise, put rester lui-même et techniquement continuer de progresser. Barroso évidemment a eu tort alors même qu’il parle un excellent français et que les élites portugaises, « de mon temps », étaient francophones. (1975-1979). Nous avons très mal joué certainement et nous ne faisons plus valoir notre soif d’indépendance sur les vrais sujets et dans les véritables théâtres.

L’Allemagne en manque de 1.500.000 emplois à pourvoir, dont 200.000 rien que poour les ingénieurs, seraut le bassin d’emploi résiduel de l’Europe. Donc appel à l’immigration du fait de sa pyramide démographique. Paradoxalement les discours nationaux ne fleurent que la souveraineté nationale ou des Etats, mais les circonstances sont telles que c’est le fédéralisme européenne ou la mort en détail de chacun de nous. Le « sommet » en cours à Bruxelles créerait une garntie jeunesseq : chaque Etat membre tenu de donner au jeune demandeur dans les quatre mois de son inscription au chômage ou un travail ou une formation également rémunérée. Financement à six milliards, les macro-économistes estiment, au contraire, le besoin à vingt milliards.

 

Aucun commentaire: