. . . France 2 – présentartion Laurent DELAHOUSSE. « Un jour, un destin, François Hollande, Nicolas Sarkozy »…
Michel SAPIN, Bernard POIGNANT. La poignée de main sur le perron de l’Eyse, même taille, l’ambition dès la naissance. André SANTINI , on mangeait nos glaces au frusgtire. NKM : NS cherche à être là où on ne l’attend pas. NS force le destibnn il a fallu qu’il pousse. Tands que FH a toujours eu le peti coupe de pouce. NKM. Il est discret ATTALI avait su les mots de NS sur lui. Les deux femmes. – Le grêle des jambes chez NS, la tête qui branle, tandis que FH rst lisse.
FH choisit de ne pas raccompagner NS, c’eput factice, LOUYVRIER etc…. BAROIN :FH a une majorité, il pouvat attendre. FH fait payer à NS ce mépris que NS a eu pour lui pendant des années.
A 58 ans, ont chacun atteint leur obhctif. L’Elysée est l’aboutsseent d’un rêve dès le plus jeune âge. – Soir de 68, FH et son frère apprennent qu’il faut quitter Bois-Guillaume. Serge RAFFY : FH enfance très heureuse. Jacques VALENTIN. Il va falloir quiiter précipitamment. Pourquoi faut-il partir à toute vitrsse. Le père n’explique pas. Gilberte GEORGES, départ plutôt rapide. ORL avec clinqiue tournant très bien. FH a treize ans. Liste municipale du docteur H. extreme droite. ZA fait de l’immobilier. Il était lus constructeur que médecin. La rueur a fait savoir qu’il avait des problèes avec l’ordre des médecins. Le père fait le tri dans les affares deses fgants : la collection des Diky Toys sont etés par le père. Idem, les diques de son frère aîné. – Pa sun homme très cha00
Eureux qui aime le contact. Un peu glaçon, pa syttrès grpavieuix, au fond pas très heueux. FH n’aime pas le conflti, fac eà son père,il choisit l’esquive. Plutît que d’affronter ce père engagé à l’extree droite, il a toujours choisi de le contournr. Le frère aîné a choisi df’affronter. Philippe, le fils rebelle, et à François, la positon du fils modèle. Il utlsie l’humour. Pour être libre, il faut être sage. La grande alléie, c’est Nicole, sa mère. La personne la plus proche de lui, femme très intellgente,pleine d’intelligente, quelqu’un de très bon e huleur. – Appartement pas chaleureux. Calarades d’excellent milieu. Le lyécen veut exuster très vite au milieu de ses camarades. Se passionne pour la poliiqe, à gauche, comme sa mère. Se voit en leader. Ami Jean-Louis AUDRIN. Dans l’esprti de Frnçois c’étaity sérieux. Printemps de 1973, 184 av. Charles de Gaulle, NS arrive, après douloureux évnénement. François SARKOZY décrit le grand-mère, hôtel particulier. CHZUSSONNIERE. Pas l’adresse la plus prsiée de Neuilly : Elisabeth BALKANY. Un enfant de déckaassé. Modeste à Neuilly, plus difficle. Sentiment de déclassement, absence de son père que sa mère a quitté quand il avait quatre ans. Le père de NS ne facilte rn ein le bien-petre matériel et affectif de ses fils. Aait abadonné économiquement ses enfants. Etidiant en droit, il lance une procédure contre le père. Catherine NAY : a joué l’insolvable.Mépris du père pour mui, préférence pour les autres. Pal peut-être parce que plus petit, et plus de difficulés, il ressemble plus à s amère. HIRTEFEUX, citation de BARRES. Comme FH, NS s’appuie sur sa mère. Le frère François S. sourire à la DRUCKER. Ami : Jean-Marie CHAUSSINIERE. . Travail chez un glacier. NS choisit l’IDR, le gaullisme (Serge RAFFY : son grndpère le le portait sur ses épaules pour aller voir DG.
Service militaire. Vincennes Novembre 1976, FH visite dincroporation, les rois jours, réformé parce que myope. SAPIN, impensable qu’il e fasse pas le service miliaire. Sciences-Po. HEC, ENA. Jean-Louis AUDRIN, père de son ami, intevient. Janvier 1997, Cotequidam, élève-officier, retrouve ses camarades de l’ENA. Jean-Pierre JOUYET : charimse très orofond, animateur de la chambrée. Solidarité. Ranger. SAPIN : FH comptait sur moi pour rangre ses affaires. Balard, NS a service milotaire, passait la cireuse. Eric RAOULT : il est affecté au nettoyage des sols de la Cité de l’air. Pas la même conception. CHAUSSONNIERE : travailler tout en aisant le service miliraire. Fait son service ne quelques heures chaque jour. Service minimu, HORTEFEUX aussi. Dosponibiluté dont NS a besoin. Happé par la politique. RAOULT. – Texte connu sur sa harangue pour JC. A 23 ans. RAOULTN : il se donne, un malin, un patron. En Novembre 1980, ATTALI consttiue ‘léquipe de campaagne, visité par SR et FH. Ségolène très travailleuse et solitaire, grosse lunettes, parlant tr_s peu. JOUYET : était moins impiquée, plus en retrait dans cette prolotion. SAPIN : je la connaisians comme léève de l’ Ecole. Serge RAFFY, point commun de leur histoire SR et FH. Se ettenet au service de FM pour la campaagne. La star de l’époque est MR. FM le loser, le ringard, FH et SR le cbhoisisent. NS dirige le ciité de sotuien des ueuens RPR. – FH et SR conseillers offficueix à l’Elysée. Mais FH accepte propsition.
Bernard POIGNANT. FH aracbuté enHute-Corrèze oar désstement de Jacques DELORS. JOUYET et d’autres, le soutenir. Milieu impossile, en pline chiraquie. Pour cette première campagne, a rès vite conbscience de ne compter que sur lu. JC pas inquiet qu’on lui envoie. Mons connu que le abtrado de FM. Va faire un coup d’éclat. Aller à un meeting de JC, l’interpelle. 400 militants de JC qui regarde FH. Il a été défier JC qui était comme un dieu. Rentre à Paris, petite cellule de conseil à l’Elysée. De la reconquête… aton. 80.000 exemples. Qui était-ce ? il déstailiwer le camp. Idée de ce livre a germé en haut lieu, loin de ceux. L’ami de JA : André BERKOFF. Un ancien de droite qui voit passer la gauche. Bsoiend ‘aide sur les questions économiques. Je demande au plus droile de nous et oloémuste. C’est FH. Pour la voix, l’incarner, inreciew par vvoix oncncnue. C’est FH.
BERKOFF : FM adorait les situations. FH missions dans l’ombre. NS fait preuve d’audace et demande RDV à l’Elysée. Jeuen avocat gaulliste, admiration pour vous, veut petre PR. Sur téléphone, delande de RDV. JA le reçoit, lui fait visiter l’Elysée. PASQUA témoin du mariage NS. DEVEDIHAN : campagne en 15 jours pour la mairie, PASQUA successeur naturel de PERETTI. NS fait enqupete et se rend compte que les 2/3 des conseilles muncipaux rejettaient PASQUA. Fait campagne pour lui. PASQYA veurt le rappeler à la raison. Apple JC qui délègue Bernard PONS : Charles est gêné par un peit jeune, PONS le reçoit. NS sera maire.. Occuez-vous en acait dit pASQUA. Lu’n des conseillers, le préfet VIE, culotte coures. 49 votants, NS doit avoir 25 voix. NS vient de réussir son preier coup d’éckat.
FH parcours de l’ombre dabs les années du poucvor et la Corrèze. Les chemins se croisent en 1988. Assembéle Nationale 23 Juin 1988. HIREFEUX, son élément naurel pas les assembéles. NS et F H entrenet au même moment. SR veurse présnetr tardivement. FM lui en parle pendnat la cérémonie de sa rééelection, et cnfie à MERMAZ le soin. – Jeu télévisé SR et FH . tandis que NS avec deux enfants est en trainde se séoarer de Marie, pour Cécilia. Les deux cpuples MARTIN-SARKOZY par les enfants. Matie ignore la liaiosn de son mari avec Cécilia. Autonme 2988 Cécilia quitte MARTIN, NS met plus de temps. SR au gouvernement seinquiète du statut de FH. Lo,ngue intervieux dans Matvh de SR jeune minisyre Valéru MAZSSINNEAU future TRUERWEILER, FH n’zapparait suruuauenc phot. P. Julien DRAY expliquant FH. Elections de 1993, SR sauve sinsiège et FH perd son siège. Peu d’hommes poliuriques étaiten prêt à l’pépoque à s’effacer devant succès de leur éposue. Monsieur RIYAL renvoyé à l’anonymat de la Cur des Comptes.. NS linistre du Budget alors qu’on ne lu prosiau qu’e Cukrure, qu’Equipelent. Cécilia conseillèer de NS. NS choisit EB et le dit tpete à tpete à JC. BZAROIN : réelle affection de JC pour NS, véritabake blessure. NS a faut le mauvais choix, il incarne la traitrise. Premier revers.
En 1997, de nouveau la gauche, et c’est SR qui est ministre. 2002, c’est dur pour tout le monde. FH premier secréiare tout se joue atiur de lui et de SR. Julien DRAY t’es le nuémro un du PS, c’est la seule institution qui tient. – NS veut pêtre PM¸auonpination. Cécilia, LOUBRIER, RAOULT, reçoit tél. c’est non. JC a fait croire à NS. – GURANT NS s’y fait une iage de suvccès et de réussite. Dès 2003, NS candiat à la PR. Cherhce à prendre la tpete de l’UMP. Novembre 2004 élu troimphalement à la tpete de l’UMP alors qu’on ne lu prosiau qu’e Cukrure, qu’Equipelent. Parcours entièreent conseillé et fait par cécilia et publicitaire ATTIAS …FH en 2004 22 régiins sur 24, victoire : 30% le PS aux européennes. REBSAMEN . L’hmme de l’anéne Le Point en 2004 : FH…. – NS cumule Intérieur et présudence de l’UMP. 14 Mars 2005 : coup de Match, mettre ensemble FH et NS. Alain GENESTAR. Réunir en une les deyx hommes poliriques u moment. Cécila nnaulle l »opération ; tandis que FH se dit que ce sera faorable. A l’heure et discret FH, en retard et esorte des oricycliste : NS.. Ls siges avec els pieds. Complicxité enfe rivaux, le me :e page, échecs, coups bas, se sont férsjeés déj, se tutoient. Ils savent ce qu’ces. Valérie folle de rage parce que aps ifnormée de la photo. Les jour alistes associés à cette opération n’ont pas été mise au courant. La rage de Valérie dévoile qu’il y a liaiosn. GENESTAR la convoque, quitter de suivre le PS
Couples en crsie pour les deux FH et NS. Rueur du départ de Ccéilia avec publitaire Richard ATTIAS. – Question sur Cécilia. GUEANT, ous des deots trsguerriers, très grande sensibilité ? Il souffrait. Ces difficultés nous sommes en taind de els surmiontre, dois-je ne dire plus ? – Jourénes przlementaires du PS à Never, révélateur du cpuple SR et FH : qui sera candat, surpsie générale, SR annonce sa candidayre. FH n’a pas été mis au courante tédciouvre pdans Paris Match. Une éoreuve pour 2007. Il l’a trahi et elle ne voit pas pourquoi elle s’affecrerait devant lui. FH a laissé l aplace, impossible e rattaper le retard.
Campagne inédite, un homme/une femme et deux cpupes qui se défont. Nicolas BAZIRE. Les g… de la plupart. La fiert indible d’appartenir à une vieille grance etbelel agion, j’ame la France. GUEANT en même temps épreuve doulireur personnelle. Cécilia manque. IL attendu pendant toite la campag,e son soutien. Ils ne vivaient plus ensemble. Ilse disqiat, si je suis élu, elle ne pourra pas partir, un chelin decroix.. Accompané pendnat vingtna elle n’est pas là, elle n’a pas voté.- Passé un quart d’heure au Foquuet’ss, où Cécilia a oerganisé quelque chose, pas là. L’attendp pour aller à la Concorde. Elle n’arrive qu’à 22 heures 30. Premire apparition publique. – Au siège du PS, à lamême heure, SR et FH, la photo. poignante. SR va passer la main ? non, elle rst décidée à continuer et donc à prendre la place de FH. Ont vécu le même déchirement conjugal que NS. Julien DRAY guerre sourde.
La photo organisée par Cécilia, les deux enfants de chacu, et le fils commn : Louis. Tout le monde essaye d’y croire. Ilse dit : elle ne pourra pas partir.. – FH épilogue, soir des législatives. SR delmande aux journalistes de ne plus présenter FH comme son compagnon. Ne l’a pas prévenu. DEVEDJIAN et CHAUSSINIERE : il esaye n’y arrive aps. Communiqué de séoparation mutuelle par consentement mutuel. Cécilia veut que le mot de divirce soit communiqué. – Novelmbre 2008, FH quitte la dorection du PS. – 18 Mars 2009, obsèeus de Nicole HOLLABDE. Le père de François vit. Ncole H. a toujours cru à son fils. JOUYET. FH, tout le monde se moque de lui. Sondage 2009 pour primaire socialiste : FH à 3% derrière FABIUS à 4%. 22 Juin 2009, 60 ans de DSK, tout le monde invité, et FH pas invité. – Pour NS la menace est DSK. Cellule se met en place : des communicants, de jeuns militants, des patrons du CAC 40, écornéer DSK, le président des riches. Stratégéies intules 15 Mai 2011. C ’est Valérie T. qui réveille FH et lui apprend DSK… FH était convaincu de l’emporter sur DSK aux primaites socialisytes, es crouebs secroianeint, et cela lui aurait servi pour la pésidentielle.
JC en Corrèez, inaigure ue expositon, journée avec FH. Trois fois JC affirme qu’il votera pour FH. Après cet épisode, Bernadette et Claude ironts ‘excuser à ‘kElsyée. 9 Octobre. SR élmimiéne, soutenir FH ou AUBRY. Les enfants avaient décidé de soutenir le mieux placé. SR appelle à votre FH. – NS avait plutôt pensé qu’AUBRY seraut k’adevrsaire le plus difficile. NS pense qu’avec FH il oeut gagner. Aquilino MOREL et POOIGNANT, comme il travaille ses discours, deux jours à le faire, petite écriutre à l’encre bleue. Le Bnoruget. Aqulono MOREL, moment où il doit s’affirmer. – Danielle BACQUE, pour la première fois FH assuré. . MOREL et DRAY : a pris rtoute sa diension. – NS en Guyane éoque son reyrat de la vie poliutique. Camille PASCAL : première fois que nous entendons.
-- Maintenant … entendre FH das son « authenticité » du début de 2012 ou NS dire qu’il abandonne la politique s’il est battu.
Le débat … PUJADAS entends NS dire à FH : bonne chance. Laurence FERRARI. : NS dit j’ai froid. FH vous vouez ma place. – FERRARI, il se desossait intérieurement. Pendant le débat FH semble marquer les points. Il termine de faon de plus en plus ilpérieuse, et NS ne l’interrompt. NAY dans son campa, on sait alors qu’il a perdu. Dans l’après-midi du dimanche 6 Mai : HORTEFEUX, fatigué et serein.. SA garde rapprochée, lit le projet de son discours. Enlever : le jamais. Il ne fait pas le voix de ferler complètement la porte. Je ne suis pas JOSPIN. – Images de la Nbastulle. L ’accolade à SR, le baiser sur la bouche pour Vékéru T. La cérémonie d’investiture tandis que NS fait du jogging.
Face à face en 2017 ?
Ces conquêtes du pouvoir sont toujours inédites. Vérité de demain ?.
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23 heures … + Je pensais ne pas regarder. Edith me l’a suggérée. Puis scène de Marguerite, papa servie là-haut et pas moi. Nous sommes tous les trois. Notre fille endormie très vite. Sa chambre pas réorganisée à temps : ce sera demain matin. Elle dort dans notre grand lit de la chambre du hauit, celle de notre trinité pendant ses deux premières années – Contexte pour moi de paix totale : cette émission, le dépaysement tout aujourd’hui aux archives de Nantes : la Mauritanie selon les archives de notre représentation permanente à New-York, les moments clés de 1966, de 1960 et de 1958, le fond du dossier français pour la reve,dication marocaine, une sorte de fraternité intense (et efficace) de la France pour la jeune République islamique contestée et que chacun au sud ou au nord veut s’appropéir. Les synthèses de l’ambassade sur place ne donnaient pas une appréhension de ce qu’a pu vivre MoD, ayant à jouer de tant de registres et sur tant de scènes. Mais sensation de tout un groupe, tout u vivier de réels patriotes voulant gagner et qui ont gagné.
L’émission. Je savais en gros – comme tous ceux qui suivent tant soit peu les actualités – les événements de chacune des deux vies qui viennent de nous être racontées par un dizaine de témoins iu de compagnons, anciens ou actuels, de chacun des deux portraiturés. Elle est simple et convaincante. Les deux hommes sont jumeaux dans leur vie personnelle, dans les racines de leur ambition, dans les empêchements familiaux, dans l’obsessin politique, dans l’échec de vie sentimentale. Ils sont interchangeables sauf dans l’ordre chronologique de leur apparition dans l’histore contemporaine et dans leur gstion. Vie analogie, gestion analogue. Ce n’est évidemment pas dit, puisque c’est hors sujet du point de vue de l’émission. Mais dan,s l’état actuel de la France et la déliquescence du personnel politique – confirmée paar le bonheur puéril de chacun de ces « témoins » ou commentateurs, tous des vedettes et des acteurs poliriques, contents de faire un bout de rôle de plus, uniformément souriants. Trois types de visage, le ballon à la SAPIN ou POIGNANT, la sculpture à la LE FOLL , TAPIE» et les paasse-partout. L’immaturité de la plupart, l’admiration dans chaque équipe pour le patron. NKM et sa perspicacité pour chacun des deux, elle est de tous les interrogés la seule qui veut la place et l’aura peut-être. La photo de la discussion FH /SR au soir du 6 Mai 2007 est belle et pathétique. La conclusion ne peut être dite, ce genrfe de volonté-vocation pour être président de la République dès l’enfance nous produit un ratage dans l’exercice du pouvoir, qui ne tient pas à la médiocrité des personnes, mais au fait qu’elles sont suscitées par elles-mêmes et au culot et par des circonstances procurant la légitimité. En sorte que les présidents de maintenant sont d’une part présidentialistes ce qui fausse les institutions et prive le pays de tout recours et arbitrage, et d’autre part n’int d’autre titre que leur fonction et leur tempérament pour en imposer à leurs entourages, ce à quoi ils parviennent. Mais vis-à-vis des Français, c’est l’échec de l’un et de l’autre..
Quant à moi, j’ai le miroir de mon propre parcours et évidemment la raison de mon échec : je n’ai pas eu de carrière politique parce que je n’ai voulu qu’être le conseiller, l’ami et le dialoguant du pouvoir. Pas le premier ni le seul. Pourtant dans ma dernière année de collège à mes dix-sept ans ou en 1981, on me projetait au poivoir dans ma classe. Ma collaboration dans de grands quotidiens, si fréquente pendant dix ans, ne m’a pourtant pas mis en selle, je n’ai pas su pénétrer un appareil même le plus local ainsi la mairie d’un village de 3500 votants. Ce n’est pas que je n’ai pas essayé et à plusieurs reprises. Le coup électoral, je l’ai tenté mais je n’avais pas l’appareil d’un parti ni aucun adoubement. Dans les entretiens que j’ai eu avec tant de notoriété, je ne suis jamais tombé sur celui qui avait la décision de me donner des clés pour une conquête de quelque place qu’on eût été heureux de me voir obtenir.Pontarlier et la contradiction à Edgar FAURE, déutés sortant, sénateur nouvellement élu et président du conseil régiona, encadré du futur maire de Marseille et du ministre des Finances du moment : je l’ai fait en 1980. Obtenir l’investiture PS en candidat d’ouverture, je l’ai frôlé en 1989, je l’ai sollicité en 1997… n‘ai-je pas été assez tenace ni envahissant ? je me suis fait vider au bout d’une seule année de la section socialiste locale pour des motifs que je n’ai jamais sus, pas même exclu, ce qui eût amené chacun à s’epliquer, mais les convocations ne me parvinrent plus. Scandalisé plus que d’autres, connaissant à chacune de mes candidatures ou approches les dossiers et les paysages, les milieux du moment et de l’endroit, je n’ai été adopté nulle part. Trop dans les idées et une cohérence, une exigence mentale, le triomphe des idées et des convictions, pas tant l’exercice du pouvoir. Et pourtant, je suis heureux et ne regrette pas. Mon identité eut-elle été autre si j’avais été élu, puis ministre, puis durable en politique ? je n’en sais rien. La politique m’occupe beaucoup depuis mes vingt ans, mais en réflexion et propositions. Les politiques et les journalistes sèchent sur leur copie, celle pour laquelle ils sont mensualisés. J’écris au kilomètre (formule de Yann P. praticien des ateliers d’écriture…), mais surtout beaucoup d’autres « choses » aussi, et les gens de rencontre, et les miens de maintenant ou de mémoire sont de toujours ma vie..
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