mardi 28 mai 2013

Inquiétude & Certitudes - mardi 28 mai 2013


Mardi 28 Mai 2013

Hier

Un mot de Jean-Claude C. en réponse à ma question sur le mariage homosexuel [1]. Je me suis pas senti depuis longtemps autant jumeau de quelqu’un dans une appréciation de nos situations politiques. – Un autre de mes camarades « de classe », avant-hier [2], également si juste : Daniel G. Tous deux immergés dans l’humanitaire, le bénévolat, le grand angle de la justice sociale et d’un mondialisme de solidarité. Nos enfances jésuites des années 1950. Et maintenant, les Français du XXIème siècle… avançons-nous ? l’insécurité, thème de vingt ans. Le racisme, thème de dix ans. Le chômage à nouveau irrépressibble depuis cinq ans. L’illuminisme et la prétention théocratique depuis l’automne. Tout cela sent le cadavre.

Ce matin
Nuit et brouillard… notre pays, sans chefs valables depuis maintenant deux décennies : le portrait des gens de la décadence soit par escroquerie à tous égards, Edouard BALLADUR et depuis 1968, soit par une brigue haineuse et insensée amenant au pouvoir quelqu’un de vidé que l’on manipule et isole, Jacques CHIRAC et dont l’image restée favorable est un argument de plus pour l’inconscience collective nationale, soit une psychopathie faisant tellement de volume que chacun crut au mouvement dans un sens ou dans un autre, y compris l’étranger éberlué, tandis que s’installait une ambiance raciste et haineuse à droite, soit sans doute quelqu’un d’honnête mais sans structure et sans imagination, héritant d’une apathie politique désormais ancrée et d’une désertion explicite des élites économiques et intellectuelles, incapable surtout de mobiliser les Français, d’inventer le fait et le soutils du sursaut. La geste ces jours-ci, c’est la comptabilité budgétaire, une présence internationale évanescente en diplomatie, aveugle sans doute en opérations militaires devenues du maintien de l’ordre sans droit de suite, des procès d’Etat mettant en cause les plus grands personnages d’hier et d’aujourdhui mais sans aucune conclusion ni sanction, cela depuis les affaires chiraquiennes doublées maintenant du financement de trois élections présidentielles et de spoliation du trésor public… Illustrant notre état de déliquescence, les deux photos-portraits de MION, le nouveau directeur de Sciences-Po. portrait-robot à faire peur tant le type est métallique, vide d’âme (en tout cas sur photos. de complaisance) et une photo. de conférence « de méthode » à l’E.N.A. Le premier légendé comme la crème de l’élite française, la seconde comme la mûe d’une école désormais de managers. La France désormais sede vacante. Sans doute depuis 1993… l’Europe oubliée, l’Allemagne explication de notre décadence, et la culture désormais (après le : nous n’avons pas de pétrole mais nous avons des idées) d’un argument, le taux de natalité. Est-il de substance ? ou est-il de notre habitat et d’immigration récente ? Faute de nous ? un autre monde ? faute de nous, les natifs, les supplétifs sachant mieux que nous notre âme ?  La réalité étant que la première activité lucrative en France est devenu le soin aux personnes âgées et la plus grande intelligence de carrière étant le chacun pour soi, avec un employeur étranger dans la langue et selon les mœurs de l’uniformité. C’est sinistre.
Prier… car le dénuement et la désespérance en ambiance sont la grâce d’une prise de conscience de notre situation devant Dieu. Alors, du jour se fait, un transfert (au sens psychanalytique ?) s’opère, le fardeau change d’épaules, la solitude s’efface, les obstacles ne sont plus un destin mais seulement des obstacles. [3] Et l’on vient à ce qui reste en notre pouvoir propre : la liberté que Dieu nous a donnée, la disposition de ses dons. L’essentiel : notre salut, sera son œuvre. La nôtre est la foi, l’espérance, la charité.  La prière, présence à Lui, le travail, collaboration à Son travail.  Ne te montre pas les mains vides en présence du Seigneur. Accomplis tout cela parce que tel est son commandement…. Donne au Très-Haut selon ce qu’il te donne, sans être regardant, selon tes ressources. Car le Seigneur est celui qui paye de retour ; il te payera de retour sept fois plus que tu n’auras donné. Mais leçon d’humilité qui peut être notre avancée dans le bonheur : le Seigneur ne fait pas de différence entre les hommes… Beaucoup de premiers seront deerniers, et les derniers seront les premiers. Prière, adoration, attente, espérance, certitude. Certitude sur Qui est Dieu.

début de matinée

Evidences. L’échec de la décolonisation. C’est patent en Afrique subsaharienne. L’échec de la gestion soviétique du communisme et de la relation à la démocratie. Sur ce dernier point, responsabilité particulière – d’ordre génétique ? – de la Russie. Ces deux échecs sont des causes majeures de la crise morale du monde actuel, qui n’a plus de contrepoids ni à la corruption ni à l’idéologie libérale qui est tout, sauf libertaire, et qui est à l’évidence anti-sociale. Les deux logiques de lutte des classes et d’émancipation des peuples sont étranglées.. Nous n'avons plus d'élan, les ressorts humains collectifs ont été remplacés par de la machine à satisfaire la libido de quelques-uns. Nous vérifions que le collectif est le cadre du progrès individuel tandis que l'individualisme prépare et entretient l'oppression de tous ainsi que la peur et l'exigeance sans fin des nantis, en progression logarythmique...

Interrogations. – Le « jeunisme » n’a abouti qu’à faire vieillir la France par manque de mémoire de nbos acquis et de ce qui avait raté, par manque d’esprit de comparaison permettant d’évaluer le progrès non au futr mais au présent. Paradoxe, des ppulations vieillissantes dirigées par des « jeunes ». Un pays travaillé maintenant par le doute identitaire, mais conduit à ce doute et à cette militance par des immigrés – Jean-François Copé et Nicolas Sarkozy, à la seconde génération, et bien moins imprégné de France que les originaires de nos anciens colonies. Immigrés arrivant par le culot en politique parce que celle-ci ests devenue carrière professionnelle, et nullement passion de la France, souci  d’elle. – La parité homme-femme, la discrimination positive, etc… naturellement pour l’égalité des droits, il est nécessaire de légiférer et veiller, mais dans la pratique, cela n’a pas renouvelé la politique, cela l’a durci : les égéries et viragos du catholicisme intégriste dans l’actuel mouvement anti-Taubira. Nous sommes déjà, tristement, un pays qui ne sait pas débattre. Ces mois-ci, nous atteignons un nouveau degré de rigidité. Dans les relations entre adultes, c’est patent : les femmes, au moins en Europe occidentale censée de mœurs libérées et égalitaristes, les femmes se plaignent que les hommes sont mous, sans répondant ni consistance…


[1] - ----- Original Message -----
From: J-C
Sent: Monday, May 27, 2013 12:18 PM
Subject: Re:

Au sujet du mariage pour tous :
je ne vois aucune objection à cette loi, et en tout cas pas d'objections qui viendraient d'une lecture de la tradition évangélique (sans méconnaître combien la tradition chrétienne a été, et se trouve encore, pleine d'ostracisme, y compris dans son vocabulaire, et pas seulement au sujet des homosexuels).
Les manifestations à ce sujet m'inquiètent en revanche. Lorsqu'un divorce se manifeste de manière aussi ostentatoire, il faut du temps pour remettre de l'unité.
Je ne suis pas sûr que les chrétiens présents en ces recours hurlants soient du même monde que le mien. Le problème est que nous devons vivre en unité les uns avec les autres, sinon c'est le chaos. Et qu'il faut bien de l'arrogance pour croire que l'on a raison. Nous nous approchons, à tâtons, de la vérité. C'est déjà pas mal. Mais c'est impossible si le dialogue fait défaut. Une éthique de la discussion ou du débat nous manque cruellement. Comment construire un désaccord : c'est essentiel.
Je constate d'autre part que les personnes qui souffrent de la précarité et de la misère sont pour la plupart de ceux/celles que je connais très interrogatives sur le sujet : cela va trop vite pour eux...
Le principe (à mon avis fondamental) de la priorité au plus faible devrait nous faire tous réfléchir.
La pression est si forte que le gouvernement ne pouvait peut-être pas faire autrement.
Mais je pense qu'il y avait plus urgent que cette loi (que j'aurais voté si j'avais été député).
On dira que c'est en raison d'une promesse du candidat. Fausseté : il avait promis bien d'autres choses aussi. D'où vient cette priorité ?
Mettre en oeuvre, au niveau de la France et de l'Europe, et du monde, ce qui est nécessaire pour détruire la misère me semble infiniment plus mobilisateur pour un pays qui se meurt. A moins que justement son sang ne perçoive plus les urgences. Auquel cas, je m'interroge sur les motivations de notre natalité... Car que seront nos enfants et petits enfants ?
Je ne suis pas très optimiste sur les capacités intellectuelles de nos gouvernants, et très pessimistes sur leur intériorité, - ce sans quoi c'est la corruption (qui n'est pas que financière, bien sûr).
Amitiés.
J-C

[2] - ----- Original Message -----
From: D
Sent: Saturday, May 25, 2013 3:54 PM
Subject: RE: redondance en partie, oublié en premier envoi de l'évangile et de son commentaire & occasion d'ajouter un dialogue de ce matin --- Fw: il a donné aux hommes du jugement - textes du jour

Cher Bertrand,

De même que fréquemment l'on demande aux musulmans de se démarquer publiquement des excès de l'islamisme, de même c'est à l'église catholique et aux chrétiens de se démarquer publiquement des excès des manifestations contre le mariage pour tous. Mais je remarque que des évêques continuent à soutenir ce mouvement, comme des imams bornés soutiennent l'intégrisme. Dans les 2 cas, ils ne rendent pas service à la religion qu'ils prétendent représenter.
En ce qui concerne le gouvernement, je suis assez perplexe devant la capacité que l'on peut avoir pour réformer un pays aussi conservateur, alors qu'il y a des priorités très visibles, mais sur lesquels on ne peut pas grand-chose : le dumping social et fiscal à l'intérieur de l'Europe et à l'extérieur rend très difficile une réforme de la compétitivité « salaire », les 35 heures plombent le coût horaire, avec les RTT et les vacances, les syndicats enseignants sont d'accord sur une seule chose : empêcher le progrès, diminuer les heures de travail et augmenter les rémunérations. Les comparaisons européennes avec les rémunérations des enseignants dans les autres pays sont absurdes, car elles ne prennent pas en compte le temps de travail qui est en France très inférieur à tous les autres pays. Et pourtant, c'est à l'école qu'il faudrait pouvoir faire les plus grandes réformes, en la régionalisant et en donnant l'autonomie aux responsables d'établissements pour constituer leurs équipes et sanctionner les tricheurs. Mais c'est inimaginable en France.
L'affaire Cahuzac  a eu un grand mérite : elle secoue le cocotier des paradis fiscaux, qui sont un des adversaires les plus résolus des développements harmonieux et les alliés des prédateurs. Il faut espérer que lorsque le soufflé médiatique sera retombé, les politiques auront le courage de continuer l'action, malgré les centaines de millions que sont prêts à dépenser les prédateurs pour garder leur liberté et acheter les politiques et les fonctionnaires de Bruxelles. C'est une question d'intégrité personnelle, et ce n'est pas toujours gagné. Et on peut toujours redouter que Bruxelles, sous l'influence du lobby anglo-saxon, renonce à tout, comme Bruxelles est prêt à renoncer, au nom du libre-échange, à la protection de notre santé vis-à-vis des produits agroalimentaires américains. Si tu peux m'expliquer pourquoi l'Europe s'engage dans cette absurde libre-échange avec les États-Unis, cela m'intéresse. Ce sera une grande victoire pour Monsanto.
Bref, difficile de jeter la pierre à ce gouvernement qui fait ce qu'il peut dans un pays de râleurs drogués au Tranxene, où un certain nombre de managers se croient d'autant meilleurs qu'ils sont insupportables pour leurs équipes, et où la plupart des syndicats tirent leur légitimité de l'obstruction économiquement analphabète.
Bon courage
D

----- Original Message -----
From: D
Sent: Saturday, May 25, 2013 5:37 PM
Subject: RE: redondance en partie, oublié en premier envoi de l'évangile et de son commentaire & occasion d'ajouter un dialogue de ce matin --- Fw: il a donné aux hommes du jugement - textes du jour

Non, je n'ai pas tenté de rentrer en politique, car je ne me sens à l'aise avec aucun parti, et que le jeu électoral, bien qu'il soit le moins pire des systèmes, demande un tel effort d'éducation que rares sont les pays qui arrivent à le faire fonctionner normalement.
La plupart des politiques refusent de voir les 7 facteurs qui font que le monde actuel est totalement nouveau, et qu'il faudrait être très créatif pour trouver des pistes pour nos enfants . Quand j'écoute les politiques de droite ou de gauche, aucun ne prend en compte la totalité des 7 facteurs, et en particulier la contradiction entre l'explosion démographique et l'augmentation faramineuse de la productivité. D'où une fuite en avant vers la consommation et la production de biens pour créer de l'emploi, mais cette fuite ne rattrapera jamais l'augmentation de la productivité. Il faut inventer autre chose, comme le propose Pierre Rahbi et le mouvement des colibris, par exemple, qui sont sans doute parmi les seuls conscients de la totalité des facteurs.
1.       l'explosion démographique : C'est, et de loin, le facteur le plus important, et celui qui est le moins pris en compte. On ne multiplie pas impunément la population mondiale par 7 en I siècle. Les conséquences : urbanisation galopante qui change complètement les modes de vie, pression sur les ressources, pression sur le logement, difficultés de voisinage… Quand j’allais au collège en 6e, je courais pendant 3 km entre la maison et le collège à 7 heure et demie du matin. Il n'y avait personne sur les trottoirs. Ce serait impensable aujourd'hui. J'entrais au Louvre comme on rentre chez soi sans faire la queue… Exemple d'autres conséquences :Accession au mode de développement occidental de centaines de millions de Chinois, de centaines de millions d'Indiens, d'où une surconsommation de ressources que la planète ne peut plus fournir, et une surproduction de polluants ou de gaz  à effet de serre que la planète ne peut plus absorber, d'où le réchauffement, d'où la courbe spectaculaire de l'augmentation des catastrophes naturelles, d’où… Et puis encore : course-poursuite entre la population et le développement, lorsque par exemple la population du Maroc est multipliée par 3 en 50 ans, comment faire face pour l'éducation, le logement, la santé, l'emploi ? Les causes de cette explosion démographique: diminution drastique de la mortalité infantile et augmentation de l'espérance de vie, avec le frein des églises et des religions sur la limitation des naissances. Humanae Vitae n'a pas été rapportée, ce qui n'est pas très grave en Europe, mais qui continue à faire des ravages en Afrique, aux Philippines…
2.       La limitation des ressources : nous avons compris intellectuellement que les ressources étaient limitées, mais nous n'en tirons pas les conséquences pratiques pour notre vie quotidienne. Ceci est vrai bien sûr pour les pays développés, mais également pour les pays autres : guerre de l'eau en Palestine, en Turquie, génocide au Rwanda,  (350 habitants kilomètre carré), énergie bien sûr, même si le gaz de schiste semble apporter une solution provisoire et ultra polluante…
3.       la globalisation, qui permet entre autres le transport de milliards d'informations, de dizaines de milliers de conteneurs, de centaines de millions de voyageurs d'un point à un autre, globalisation facilitée par les dérégulations inconscientes des années 80 (Thatcher Reagan Clinton) : ces dérégulations ont été faites avec un cadre de référence du XIXe siècle, où le monde se restreignait à l'Europe et aux États-Unis, où il fallait 3 mois pour aller en Chine, où les titres bancaires étaient en papier que l'on stockait dans son armoire. Les dérégulations ont été faites juste avant l'explosion des réseaux, qu'il s'agisse d'Internet, ou des réseaux de télévision par satellite, qui ont permis à 90 % des 7 000 000 000 d'habitants: de contempler le mode de vie occidental et qui ont généré des frustrations infinies, cause, entre autres, des printemps arabes.
4.       Le changement de dimension des télécommunications, qui a permis la cotation continue des titres boursiers, sur le monde entier, et, conjugué avec le développement exponentiel de l'informatique, la création de produits boursiers sophistiqués, la manipulation des comptes à terme, l'accès de beaucoup à des millions d'informations plus ou moins vraies ou plus ou moins manipulées, le transfert ultrarapide des compétences et la fin de l'avantage compétitif par la connaissance : une technologie trouvée aux États-Unis se transfère très rapidement en Birmanie
5.        l'émergence d'une race de prédateurs (les traders, les salles des marchés, les grands patrons rendus fous par la communication et par l'idée que d'autres sont mieux payés qu’eux, un certain nombre de cadres dits « supérieurs » qui ont perdu toute pudeur…). Non seulement ces prédateurs dévorent la richesse collective, mais ils créent aussi un sentiment d'injustice et de frustration car leur richesse est étalée par les médias.
6.       Les progrès extraordinaire de la productivité et de l'organisation industrielle. Une voiture qu'il fallait 1400 heures à construire est maintenant construite en une vingtaine d'heures. La consommation étant la condition de l'emploi, il va falloir consommer 10 fois plus pour créer le même nombre d'emplois. Il y a un moment où cela devient absurde, et où l'on bute sur les ressources (énergie, matières premières). Ce facteur de la productivité est pris en compte par les politiques en voulant améliorer la compétitivité, ce qui se justifie dans un monde de concurrence pour des ressources rares, mais qui n'a pas de sens car c'est une fuite en avant. Certains pensent s'en tirer par l'innovation, mais là aussi, c'est la fuite en avant, vers de nouveaux produits dont l'utilité est discutable. L'exemple des laboratoires de pharmacie est très significatif.
7.       Face à la mondialisation, un communautarisme de diaspora qui remet en cause l'État-nation, qu'il s'agisse d'un certain nombre de juifs qui ne se reconnaissent plus comme français tout en habitant en France, et soutiennent Israël plus que leur pays, qu'il s'agisse d'un certain nombre de musulmans se reconnaissant dans la Oumma plus que dans leur pays, des kurdes, des peuls, des Arméniens,… Face à ces diasporas identitaires et a ces frustrations collectives, l'Europe, ingouvernable à 27 et dépourvue de projet court après l'élargissement pour justifier l'existence des fonctionnaires en charge. Tant que les Anglais resteront dans l'Europe, les chances d'évolution positive sont faibles.
8.       Tous ces facteurs sont interconnectés, et font système. Le premier à une inertie extrêmement forte, alors que les autres évoluent très rapidement, ce qui les rend difficilement maîtrisables.

On voit le ridicule des comparaisons avec la situation de 1788, avant la révolution française, avec la crise de 29, avec quelques situations historiques que ce soit : le monde a complètement basculé vers autre chose au cours de la 2e moitié du XXe siècle, et la démarche politique doit s'inscrire dans ce contexte radicalement nouveau.

Amicalement
D

[3] - Ben Sirac le sage XXXV 1 à 12 ; psaume L ; évangile selon saint Marc X 28 à 31

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