Débat sur TF1 – relayé par Le Point et R.T.L. – entre candidats à la
« primaire » de droite et du centre
Jeudi 13 Octobre 2016 – 20 heures à 23 heures 26
(mise au net des notes prises pendant – à
venir)
Hier, le débat organisé entre candidats à la primaire dite de la droite et du centre
Ce que je pense de la soirée d’hier et du débat pour cette primaire
dite de la droite et du centre. Un exercice long, deux heures vingt-six
minutes, et qui m’a lassé. Je suppose que je n’ai pas été le seul dans cette
sensation. Une inconnue de taille : y en aura-t-il un autre ? car
n’ont été évoquées sinon traitées que quelques interrogations, courantes mais à
mon sens pas fondamentales. L’argent public et donc la dépense publique et donc
les fonctionnaires qui sont la variable des gestions publiques
apparentes : ce syllogisme est évidemment un corset et fait bon marché de
toute l’économie publique, de l’attachement général au service public, et
réduit singulièrement l’examen du pays. La sécurité et l’immigration, de façon peu
ordonnée alors que le précédent point était au contraire trop cadré : en
vrac sur l’identité nationale, les valeurs, l’Islam, le daech, la laïcité.
L’ensemble, sans doute du fait de l’organisation de ce débat, donnait une
impression de grande banalité et aucun saillant. Chacun étant censé avoir
dix-sept minutes pour exprimer ses vues et proposotions, ne disposait en
réalité de rien qu’un test de personnalité dans une situation sans doute
inconnue jusques là par chacun des participants : l’égalité de statut pour
des personnalités, sans doute notoires, à l’exception d’un Jean-Frédéric
POISSON, que le téléspectateur a donc découvertes dans une posture insolite,
sans révérence et sans qu’aucune ne dispose de l’ordre du jour. D’habitude, les
entretiens sont centrés sur une seule personnalité, pour laquelle on a des
égards et qui, même fouaillée, a la maîtrise du jeu.
Qu’en ressort-il ?deux
« choses » à mon sens. Dans cette famille politique, à l’exception du
« centriste » qui viendrait de l’école BOUTIN, l’unanimité est faite
contre l’immigration, au moins quantitativement, et contre la fonction publique
d’Etat ou des collectivités locales. Une analyse sommaire semble partagée par
tous : on ne travaille pas assez en France, on y paye trop d’impôts et diminuer
les charges libèrera l’économie, donc dégagera de la croissance. Quant à
l’immigration, assimilée à la pratique de l’Islam, elle est un corps étranger à
la France. Ces deux thèmes et cette analyse me semblent irréalistes. Quels que
soient les textes, quelles que soient les vigilances, l’afflux du sud vers le
nord est un fait massif de notre époque. Il manifeste une évidence dont nos
origines communes à l’ensemble des pays européens devraient continuer de nous
pénétrer : il y a un continuum humain et stratégique entre l’Afrique,
l’Europe et le Proche-Orient. Il faut regarder l’ensemble, et la mise à niveau
économique, social et démocratique des rives orientale et méridionale de la
Méditerranée ne se fera pas en quelques années, mais elle se fera et nous ne pouvons
l’éviter. Cela domine nos sociétés et nos économies. Absente du débat, pas
parce que ce n’était pas un des thèmes explicites, mais parce que ce n’est le
cheminement et la dialectique de pensée d’aucun des candidats d’hier
soir : l’Europe, la nécessaire coopération, les nécessaires mises en
commun, l’évidente solidarité humaine culturelle et stratégique, qu’on la
veuille ou pas. Personne n’a montré quelque pointe que ce soit vers l’Europe,
sauf des allusions à Maastricht et aux fameux critères. Sans que ce soit
vraiment souligné, il est bien apparu qu’aucun des candidats n’imagine une
croissance économique franche, autour de 4 ou 5%, à l’horizon du prochain
mandat et même de celui qui suivra. On est donc dans le constat d’un chômage
durable. Un pays stagnant, qu’on ne soignerait que dans le détail : vg.
les retraites, vg. des impositions-phares comme l’ISF ou la TVA. Aucune
dynamique pour soulever le pays, l’enlever, en changer l’allure, et d’ailleurs
aucun candidat n’a vraiment rayonné une dynamique.
La deuxième chose que je retiens est
évidemment le test de personnalités. Il se fait de deux manières. Le maintien
de chacun, les idées un peu nouvelles ou un peu mieux dites. Je commence par
les idées. Les retraites à point quel que soit le statut économique me paraît
quelque chose à creuser : on y trouverait de la visibilité et de
l’universalité. De même, une relation au travail quel que soit le genre de
celui-ci qui serait juridiquement uniforme : le contrat. Plus de statut,
même les obligations statutaires des régimes publics ou parapublics peuvent
être contenues dans des contrats. Il faut reconnaître que ces deux
propositions, évidemment à approfondir, sont le fait d’une seule personnalité,
Nathalie KOSCIUSZKO-MORIZET (la seule femme aussi et la seule à porter du
rouge…). Thématiquement, je n’ai rien observé d’autres, le jeu entre
l’imposition directe et la TVA, que propose Jean-François COPE n’est pas
« bête » mais pas original non plus.
Les personnalités. C’était en fait tout
« l’intérêt » de cette mise à l’encan. Alain JUPPE, jugé favori par
les sondages et plus encore par les paris, les commentateurs et tout ce qui
contribue à une scène publique qui n’est pas forcément l’avenir ni l’impression
générale des Français, Alain JUPPE – pour moi – a été terne, âgé, laborieux,
sans éclat, rappelant souvent soit Jacques CHIRAC en élocution et pose, soit
Valéry GISCARD d’ESTAING en visage. Ce qui accentue la sensation de déjà vu, et
donc de périmé. Pétition : je suis prêt et déterminé. FH répétait qu’il
s’était préparé. Bruno LE MAIRE, pour
lequel j’avais tendance à incliner ces semaines-ci tout en ayant été souvent
sensible ces derniers mois à ses dérives vers l’extrême-droite, a confirmé ces
dérives : il manque de présence, cela tient autant à un visage peu expressif,
qu’à une totale absence d’autorité dans l’exposé. Tout s’est passé comme s’il
acceptait un report de destin s’il en a un, et qu’il passe son tour. NKM est
intéressante, originale. Ce qui ne veut pas forcément dire : attachante.
Je sais d’ailleurs que l’époque, soit du pays, soit de ma propre vie, n’est
plus aux relations personnelles avec la gent politique. A mes vingt-cinq-trente
ans, j’ai rencontré tout le monde, anciens ministres de tous bords, directeurs
de journaux, grands éditeurs. Ce me semble aujourd’hui impossible, sauf la
tentative que j’appelle mon ordalie et à laquelle je vais maintenant me
consacrer, sans regretter de m’y prendre apparemment très tard : au
contraire, je n’en serai que plus différent pour tous ceux, dans les domaines
politiques, médiatiques, éditoriaux, qui auront eu le temps de méditer et de
constater le peu de relief de notre géographie humaine en 2016-2017…
Evidemment, Nicolas SARKOZY est hors de
combat. Même s’il souligne n’avoir jamais été condamné en 37 ans de vie politique,
il est acquis qu’on peut le suspecter de presque tout, et d’ailleurs il est mis
en examen dans une dizaine d’affaires. Seul de son espèce, car, même si cela
n’a pas redit, la condamnation d’Alain JUPPE est en fait celui d’un
exécutant : la faute est à CHIRAC. Même s’il n’y avait pas cette situation
juridique, NS n’a rien à dire et n’a rien dit, qu’invoquer comme depuis 2012
son expérience et son énergie. Cela n’en fait pas l’homme de l’avenir, au
contraire. Restent les deux candidats qui m’ont plu. François FILLON s’est –
pour moi et pour ma chère femme – révélé. Le plus précis, le plus sérieux, le
plus complet, le plus autorisé, et de loin. Il ne « la ramène pas »,
ce n’est que mezzo voce qu’il a rappelé que la compétition est ouverte et non
pas binaire entre AJ et NS. Sans doute, il y a cet incident (grave ?) à
propos de sa démarche à l’Elysée, et accuse-t-il Jean-Pierre JOUYET de
mensonge. C’est un excursus que je crois mineur. Nous comptons, Edith et moi, participer aux
deux primaires, droite et gauche pour distinguer ceux que nous voulons en
joute. Les signatures au bas d’un code de valeurs ne nous embarrasserons pas,
nous sommes entre Français et il est certain que ces papiers à droite comme à
gauche seront honorables. Donc, FILLON pour la droite, ou… ou… la vraie
révélation, c’est ce massif Jean-Frédéric POISSON, très rad.soc. quoique
censément chrétien et centriste, candidat à la primaire auto-proclamé, mais
seul à parler Etat et à lier l’Etat à la France, et probablement le moins
éloigné d’une perspective européenne pour traiter chaque sujet. Il parle avec
clarté et son physique ni particulier ni banal impose et est adéquat.
L’ensemble de ces réflexions et de ce
qui a été vécu hier doit se situer dans un contexte précis, et une grave dérive
également. Le contexte précis est la confrontation de nos pauvres démocraties
et d’un Vieux Monde absolument pas organisé en tant qu’une union politique et
économique, avec deux dictatures qui ne s’embarrassent d’aucune procédure pour
la dévolution du pouvoir. POUTINE est maître de la Russie à vie, aussi
indiscutable chez lui que le furent les tzars et STALINE. Il ne quittera le
pouvoir que de mort naturelle ou violente : son visage sans la moindre
pilosité est boursouflé, comme in dit : « il ne fait pas santé ».
Quant à la Chine, l’argent et le pouvoir sont occultes, nous subissons
seulement le débordement du vase. S’il y a invasion à redouter, elle n’est pas
humaine et religieuse comme à tort c’est ressassé et redouté chez nous, elle
est économique et financière. L’humanité aboutit toujours au partage et à un
certain métissage, au moins à la mixité et à de nouvelles organisations des
relations, et il peut y avoir du bonheur ensemble. Tandis que la main-mise
financière sur l’Europe en vitrine et l’Afrique en matières premières, est une
prise de pouvoir par un système dont nous ne savons rien et sur lequel nous
n’avons aucune influence à vue humaine. La grave dérive est mentale, chez
nous : ces classifications droite-gauche. Elles ne sont nullement une hérédité,
une tradition française. Elles datent du départ du général de GAULLE et de
l’incompréhension qui a suivi s’agissant de nos institutions. Si celles-ci
organisent une bipolarité, elles n’imposent ni la permanence des agencements et
même de la composition de chaque pôle, elles organisent seulement la
possibilité de décider et d’exécuter. Cette grave dérive n’a pas été d’abord
dangereuse, car elle a permis un renouvellement des ayant-droits en politique,
et aussi elle a dégagé des alternatives de politiques économiques et sociales,
pas aussi saillantes et clivées qu’on le fait croire en raisonnant
droite-gauche, mais mentalement assez nettes. En fait, il manque, depuis la
mort de MITTERRAND des autorités morales en politique, et un exercice plein de
la fonction présidentielle : CHIRAC a été immobile puisque manipulé et peu
structuré, hors sa brigue du pouvoir. Le pouvoir obtenu, il n’a plus rien dit
ni fait sauf un discours presqu’ultime lors des graves échauffourées en
banlieue, contrant là un SARKOZY désormais aux manettes de toute la droite. Sur
NS, tout a été dit, il a été enfanté par l’absence de JC, il a donné cours aux
thèmes lepénistes, il a comme son prédécesseur, un seul actif : le
discours de Toulon à l’orée de la crise des subprimes et un bon réflexe, alors,
d’associer les Britanniques aux tenues monétaires et bancaires de l’Europe.
Alors François HOLLANDE, l’ébahissement devient maintenant total : ces
tomes et ces tomes de confidences. Pas inintéressants peut-être, trop copieux
pour être révélateurs de quoi que ce soit sinon d’un narcissisme stérile,
l’ensemble aurait dû ne paraître que dans dix ans, loin de l’exercice du
pouvoir. Ebahissement surtout d’occuper ainsi les médias, et surtout l’agenda
du chef de l’Etat, ces centaines d’heures à parler de soi, au lieu de
travailler personnellement, solitairement ou avec des ministres, ou même en
recevant des anonymes, voire un quidam tel que moi. Est-ce un suicide comme il
est dit maintenant ? je ne sais pas. Dans un tout autre genre, le
referendum absolument voulu par de GAULLE et qui aurait été gagné avant Noël
1968 mais fut perdu au printemps de 1969 pour avoir trop mijoté, a été présenté
ensuite comme un « suicide politique ». Je n’en suis absolument pas
d’accord : c’est au contraire la légitimation des prérogatives
présidentielles : le Président peut être sanctionné et donc amené à
démissionner, car on ne fait rien en politique – dixit DG d’ailleurs – sans
l’appui du peuple. Voilà…
Conclusion tranquille et triste, aucun
changement à espérer du fait de nos politiques. Ce sera le fait des
circonstances, surtout extérieures. Nous ne déclinons que parce que nous
subissons que parce que nous avons cessé de faire référence et de vouloir un
avenir pour nous et pour les autres. Du barbouillage, plus de chef d’œuvre.
Comment j'abordais ce débat.
17 heures 36 + Ce soir, donc, TF1, débat ou présentation des candidats à la primaire
« de la droite et du centre ».
Le premier exercice du genre eut lieu pour l(élection de 2012 à
l’initiative du Parti socialiste. Je savais d’avance pour qui voter à cette
première : Ségolène ROYAL, puis au second tour Martine AUBRY. Qu’ai-je
découvert alors ? une autorité certaine de FH, mais pour qui je ne votais
pas. Je lui « courais » après depuis son investiture, sans réponse de
sa part qu’un échange à la fin du colloque à l’Assemblée nationale consacré à
Jean-Marcel JEANNENEY auquel je participais en témoin (printemps 1972-été
2010). Je mis des noms sur des visages : BAYLET « démodé »,
VALLS suraigu mais pas attirant (trois ans à Matignon n’auront pas changé cette
première vue que j’eus). MONTEBOURG, les autres ne comptaient pas. FH domina
par sa position médiane sur le nucléaire, par sa démonstration de réduction du
chômage fondée il est vrai sur une bonne conjoncture, ce qui ne se vérifia pas.
J’étais décidé tant pour cette primaire que pour l’élection présidentielle
proprement dite. Je pense participer à la primaire de cette droite et de ce
centre que je n’aime pas, mais l’exposé des valeurs à signer – sauf surprise –
devrait me convenir comme sans doute celle du Parti socialiste. – JUPPE, déjà
mesuré nationalement pendant ses deux ans de gouvernement : nous lui
devons le début des réformes des retraites, jamais décisives, très mal
exposées, pas consensuelles et donc un mouvement social le plus important
depuis « Mai 68 ». Un comportement rigide. L’affaire de Saint-Bernard
qui l’opposa à l’Abbé Pierre à un point tel que celui-ci, publiquement,
l’accusa de lui avoir menti. Avant l’élection de JC, beaucoup de signes de son
hésitation à suivre celui-ci et une propension certaine à aller vers BALLADUR,
le Premier ministre d’alors. Enfin, mon expérience personnelle : premier
ambassadeur qu’il ait reçu à sa prise de fonctions au Quai d’Orsay, son
ignorance totale de la dialectique nucléaire, des capacités soviétiques et de
leur apparente dispersion politique et géographique en 1992. Il m’avait reçu
avec beaucoup de retard, accaparé par des réunions budgétaires. Accompagnant FM
(FILLON et LONGUET également du voyage…) à Almaty en Septembre 1993, il m’a
ostensiblement dédaigné : rencontre hors protocole et à l’insu du PR avec
NAZARBAEV et sans moi, repas avec le personnel de l’ambassade sans moi, et
épisode des œufs sur le plat souhaité mollet, par téléphone d’un de ses
collaborateurs à passée minuit… Il m’a fait rappeler du Kazakhstan, et c’est
« sous » lui et Dominique de VILLEPIN ? directeur alors de son
cabinet, que ma carrière a été brisée, ce qui pèse encore aujourd’hui sur notre
trésorerie au jour le jour : ma retraite forcée et très anticipée. Depuis,
il a maquillé son blog. pour en ôter son souhait que nous ne réintégrions pas
l’O.T.A.N. – SARKOZY, tout est dit et j’affirme qu’il a banalisé les thèmes du
FN et des LE PEN en les imposant à la droite dite de gouvernement, en
commençant de les pratiquer pendant son mandat, en les accentuant aujourd’hui.
Il est donc plus dangereux que Marine puisqu’apparemment respectable, ayant
droit de cité. – Jean-François COPPE a commencé en fin de mandat de NS a
joué la même partition pour le compte du président sortant : un colloque
de l’UMP sur l’identité nationale. Ayant tenté ensuite de communiquer avec lui
comme président de l’U.M.P., j’ai eu une réponse plus que ridicule, montrant
qu’il n’accueille pas, surtout pas les « papiers » de substance. –
François FILLON est honnête, sauf dans sa démarche auprès de JPJ : activer
la justice pour que soit mis hors jeu NS. Il a certainement atténué bien des
méfaits de NS en étant à Matignon. Il serait certainement convenable pour la
défense et pour la politique extérieure. – KOSCIUSZKO-MORIZET me serait assez
sympathique par son courage, la clarté de ses exposés et certainement un
travail personnel sur beaucoup de sujets, mais il y a le péché
originel : elle a volé sa circonscription à un excellent ministre, authentiquement
gaulliste de surcroit, et fils d’un très grand préfet : WILTZER. – Reste
Bruno LE MAIRE dont MC m’a dit du bien. Souvent il glisse à droite et même à
l’extrême-droite mais ce n’est pas sa nature et ce sont ses concessions
(d’ailleurs) maladroites pour « sortir du lot».
Je serai surtout attentif aux thèmes, à
ce que ceux auxquels je tiens absolument soient au moins évoqués sinon
traités : service militaire et civique, obligatoire et universel, donné en
exemple aux Européens… élection directe du président de l’Union européenne…
moratoire des dettes souveraines… réinvention et établissement de la
planification souple à la française… nationalisation du crédit… reconstitution
d’un secteur public industriel…
.
. . de retour chez nous et devant la télévision, TF1 – le débat pour « les
primaires de la droite et du centre », 20 heures 56 + L’exercice de ce soir
n’a pas pour enjeu de montrer qui est le meilleur pour les candidats de la
droite, ou de donner à ceux qui n’étaient pas encore dans la course une chance
vraie ou de se donner une chance de modifier un peu son image… le véritable
problème-enjeu, c’est que l’on va surtout voir une famille qui n’en est pas
une : aucun point commun que la « haine » à simuler ou à
exagérer contre la gauche, supposée être actuellement au gouvernement. La
réalité devrait être la mesure, la manifestation des haines entre concurrents,
ce soir. Evidemment, celui qui se grandira, sera celui qui à aucun moment ne
donnera cette manifestation, mais au contraire se montrera soucieux de la
cohésion de sa famille politique et de notre pays. Dans l’exercice, NS est a
priori le moins à l’aise. - Ils sont sept, l’un ou l’une, sera le candidat de
la droite et du centre.
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