Jeudi
31 Octobre 2013
Prier… Vous ne me verrez plus jusqu’au jour où vous direz :
Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur. Prophétie de Jésus sur lui-même : il n’est pas possible qu’un
prophète meure en dehors de Jérusalem. [1]
Constat plutôt qu’accusation, non d’un échec mais du refus, celui de cette
Jérusalem symbolique et disputée aujourd’hui, comme au temps du Christ elle le
fut entre Lui et les hiérarchies. Débats d’âmes selon des références
religieuses, plus encore au temps du Christ que maintenant combien de
fois j’ai voulu rassembler tes enfants comme la poule rassemble ses poussins
sous ses ailes, et vouss n’avez pas voulu. Moment
tragique, tant pour ceux qui manquent leur destin et leur salut (mais je crois
que ce n’est jamais irrémissible) que pour le Christ, sachant le sien et le
vivant donc intensément, en nous prenant à témoin, jour après jour,
exemplairement : aujourd’hui et demain, je chasse les démons et je
fais des guérisons ; le troisième jour, je suis au but. Mais il faut que
je continue ma route aujourd’hui, demain et le jour suivant… Mesage, en sus, adressé par intermédiaires
reconnus à cet Hérode avec qui il aura le face à face de sa Passion. Hier
matin, allant au village pour notre voiture, à pied, je réalisais surtout que
Jésus, en sa vie publique, avait surtout été un marcheur. Paul nous dit
l’aboutissement dont nous sommes gratifiés par la vie du Christ incarné : nous
sommes les grands vainqueurs grâce à celui qui nous a aimés.
soir
Faits…
le président de la République reçoit les présidents de club ou les émanations du
foot-ball à propos de l’imposition des revenus de plus d’un million (par an) sous
la menace d’une grève du foot, fin Novembre. Regrettable à première vue :
le président de la République qui traite ces questions, est-ce de son niveau ?
A la réflexion, ce peut être le début d’une réflexion fondatrice au possible :
la mercantlisation du sport, le foot devrait être un jeu, un sport ludique, pas
un sorte de profits et de revenus polluant les marchés de publicité, polluant
et faussant tout dans le financement de l’audiovisuel, polluant l’image à
donner aux jeunes générations, et évidemment scandale des rémunérations, un
joueur de notoriété échangé de club à club pour des sommes précisément
équivalentes aux rançons d’otages au Sahel, payé mensuellement l’équivalent à
plusieurs centaines de smigards à lui seul. Cet engouement est celui des Romains
pour le cirque, des Byzantins pour les courses de char, etc… il est celui des
fumeurs et des joueurs à la carte qu’on gratte. Li’mmense majorité des Français
est certainement pour l’application du droit commun aux joueurs de foot. Mais
problème « technique », comme toute entreprise, le club supportera la
taxation de ses joueurs à peine de les perdre. Ce qui renvoie au protectionnisme :
pas de mercenaires
Faits…
auquel j’ai peine à croire tant ce serait une erreur très grav :
dissolution de la brigade franco-allemande. Il st vraai qu’elle n’est jamais
engagée en tant que telle (que serait-ce si l’arme nucléaire était mutualisée ?).
Deux
réflexions qui me viennent. La première de l’expérience anecdotique d’un moment
à prendre un billet aller-retour en TGV pour Paris à la gare de Vannes. sera développé demain
La
seconde prolongeant les évolutions d ces vingt ans : mondialisation par l’argent,
la spéculation et refus de l’Etat, de la fiscalité, de tout encadrement et
sanction autant que refus des solidarités entre Etats et entre citoyens. N prolongeant
la tendance, on va vers la disparition autant factuelle que conceptuelle des pouvoirs
publics… la préhistoire en sociologie
politique est notre futur, si les Etats ne se ressaisissent avant de n’être plus
qu’apparence face à l’argent.
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