samedi 28 octobre 2017

Emmanuel Macron en Guyane - Le Figaro.fr




 

 

Guyane : Emmanuel Macron achève sa visite dans un climat tendu

Guyane : Emmanuel Macron achève sa visite dans un climat tendu
VIDÉO - Six mois après le large mouvement social du printemps, le président est venu exposer le chantier des Assises des Outre-mer, une de ses promesses de campagne.
Emmanuel Macron achève samedi sa visite de 48 heures en Guyane dans un climat toujours tendu, six mois après le large mouvement social du printemps, en exposant le chantier des Assises des Outre-mer, une de ses promesses de campagne.
La veille au soir, le chef de l'Etat avait renoncé à se rendre dans un commissariat de Cayenne devant lequel l'attendaient 150 manifestants du collectif Pou Lagwiyann dékolé (Pour que la Guyane décolle), dans une ambiance tendue mais sans heurts. Il avait choisi à la place de se rendre dans deux quartiers très défavorisés, le Rond-point des 100 boîtes aux lettres à Matoury et le quartier de la Crique à Cayenne, surnommé parfois «Chicago», où l'accueil a été bon.
» LIRE AUSSI - Macron en Guyane: «La République ne cède pas aux gens en cagoule»
Avant de s'envoler pour Paris, Emmanuel Macron exposera l'objectif des Assises des Outre-mer, censées rassembler société civile, acteurs économiques et pouvoirs publics dans tous les territoires ultramarins pour leur permettre, selon l'exécutif, «de se réinventer en territoires d'excellence et d'innovation», tout en redonnant «la parole à ceux qui ne la prennent plus et ont perdu confiance en l'action publique».
Il s'agit, souligne le président de la République, d'«une méthode innovante» basée sur «une responsabilité partagée» entre l'Etat et chaque territoire ultramarin, qui permettra d'établir une feuille de route par territoire, via des remontées de terrain et des consultations, d'ici le printemps 2018.
Vendredi soir, lors de sa visite surprise dans les quartiers difficiles de Cayenne et de sa périphérie, Emmanuel Macron avait dit vouloir «se confronter à la réalité du terrain», dans ces lieux où vivent une majorité de clandestins, souvent jeunes, venus d'Haïti, du Surinam, du Brésil ou du Guyana.
«Je voulais venir voir, parce qu'il fallait expliquer à des jeunes qui disent 'on demande des papiers', qu'on ne peut pas donner des papiers à tout le monde», a déclaré Emmanuel Macron

«On ne peut pas donner des papiers à tout le monde»

«Je voulais venir voir, parce qu'il fallait expliquer à des jeunes qui disent “on demande des papiers”, qu'on ne peut pas donner des papiers à tout le monde», a expliqué Emmanuel Macron, en insistant sur quelques mesures annoncées un peu plus tôt pour faire face aux difficultés que connaît ce vaste territoire français d'Amérique du sud de 83.000 km2: immigration clandestine massive, insécurité croissante, défaillances dans les services de santé et le système scolaire, taux de chômage très élevé (23%).
Pendant qu'il discutait dans une ambiance très détendue avec la population, Emmanuel Macron a questionné: «Dis donc, il y en qui ne fument pas que des cigarettes, hein?». «J'ai encore du nez», a-t-il plaisanté, avant d'ajouter, face aux éclats de rire: «Ça, ça ne va pas vous aider à bien travailler à l'école (...) Il faut le dire aux plus jeunes!»
Le président a en outre évoqué l'accélération du renforcement des effectifs de sécurité, avec l'arrivée de 90 gendarmes «dès 2018» et la création d'un nouveau commissariat à Cayenne, une «Arlésienne depuis 15 ans».
Pour dissuader l'immigration, le gouvernement va aussi réduire à deux mois le versement de l'allocation versée aux demandeurs d'asile et imposer 15 ans de résidence sur le territoire pour avoir accès au RSA, désormais géré par l'Etat et «démonétisé».
Le chef de l'Etat, qui avait prévenu dès son arrivée qu'il n'était «pas le Père Noël», a aussi réaffirmé que l'Etat respecterait son engagement d'investir plus d'un milliard d'euros sur ce territoire grand comme le Portugal, qui cumule difficultés et retards. «L'intégralité des deux premiers volets» des accords conclus le 21 avril, sous François Hollande, pour mettre fin au vaste mouvement social du printemps «seront appliqués», a-t-il dit.
L'Etat s'était alors engagé sur un plan d'urgence de 1,08 milliard d'euros et des accords sectoriels. Il avait annoncé qu'il allait se pencher sur la «demande complémentaire» de 2,1 milliards formulée par le collectif Pou Lagwiyann dékolé. Elle pourrait être étudiée dans le cadre des assises des Outre-mer.
Le centre-ville de Cayenne est resté quadrillé par les forces de l'ordre dans la nuit de vendredi. Il n'y a pas eu de heurts, contrairement aux affrontements survenus la nuit précédente, alors que le collectif demandait une rencontre avec Emmanuel Macron.
«La République ne cède pas aux gens qui sont en cagoule», a dit le président. Dans la soirée, un de ses conseillers a finalement reçu quatre membres du mouvement des Grands Frères, à leur demande, a informé l'Elysée.
(Avec AFP)
32 commentaires
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Qu'il arrête de jouer la starlette à Saint-Tropez, c'est lassant.
Le 28/10/2017 à 14:55
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La Guyane actuelle ne fait que 87 000 km2 depuis un jugement arbitral datant de 1900 . Avec de meilleurs avocats en 1900 elle aurait pu s'étendre sur 400 000 km2 ce qui aurait multiplié à terme par 4 le nombre des problèmes de toutes sortes.
Le 28/10/2017 à 14:49
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Macron dit tout haut ce que tous le monde pense tout bas..."On ne peut pas accueillir toute la misère du monde", "Vous n'avez pas de papiers, vous ne pouvez pas travailler"...L'immigration est une plaie, aussi bien en Guyane qu'en France, quand je pense que cela fait des décennies que l'on veut à tout prix nous faire croire que cela est une chance...
Le 28/10/2017 à 14:49
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Chicago !!! Sacrée soirée avec ces Brésiliennes !!!!!
Le 28/10/2017 à 14:44
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Vu à 13 h JT 2 et dans l'article ci-dessus .
Un clandestin parle avec Macron et n'est pas arreté à t'il donné l'ordre de ne pas le faire .....
Question : Pourquoi LA LOI n'est pas respectée .
Le 28/10/2017 à 14:29
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J'ai entendu l'interview d'Emmanuel Macron en Guyane, il ferait un excellent ministre qui connait bien ses dossier techniques, il a une excellente mémoire quand il a appris son texte.
Dans l'improvisation il peut néanmoins déraper. Durant la campagne électorale il a semblé ne pas savoir que la Guyane n'était pas une île et que la Guadeloupe soit un territoire français.
Comme président, il est moins performant, il manque d'objectifs stratégiques, il privilégie l'action aux résultats et les détails à l'ensemble.
Dommage qu'il ait perdu son mentor Hollande, peut-être pourrait-il échanger de rôle avec Edouard Philippe pour plus d'efficacité.
Le 28/10/2017 à 14:26
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C'est très courageux de sa part. Hollande a laissé pourrir la situation dans un trop grand nombre de domaines.
Le 28/10/2017 à 13:44
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Bon,d'accord,il y a une demi-douzaine de gardes du corps,des policiers,des gendarmes,des élus,des sympathisants et des journalistes,il ne se balade pas tout seul la nuit dans "Chicago..."Mais il fallait tout de même y aller,répondre fermement, sans s'énerver.Il l'a fait.Ce jeune président apprend vite,est en train de trouver ses marques et ne pas reproduire ses erreurs.
Le 28/10/2017 à 13:41
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On oublie de vous montrer les 3 compagnie de CRS envoyées pour sécuriser les lieux...!!!
Le 28/10/2017 à 13:33
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Cela devient vraiment comique ce type de com.
Le 28/10/2017 à 13:27
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«C'est normal, il y a des règles, on ne peut pas accueillir tout le monde»
«Si vous n'avez pas de papiers, vous ne pouvez pas travailler»
Wow ... Et ça passe très tranquillement.
Le 28/10/2017 à 13:23
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avec une armée de policiers et de gardes du corps, quel cinéma !!
Le 28/10/2017 à 13:23
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"constitué d'habitats spontanés," en ancien Français :bidonville
alors tout le monde vient prendre son courrier ici». Ce sont «des adresses qui leur permettent de toucher des aides»
j'ai pas le même postier : chez moi (une vrai rue avec une vrai maison construite officiellement ) pour une rature retour a l'envoyeur. En passant ils touchent des aides? mais ils sont pas censé nous enrichir?
"Un homme interpelle le chef de l'État à propos du regroupement familial qu'il a demandé,(...) Il est Haïtien en situation illégale.(...° L'homme s'emporte: «J'ai jamais tué, j'ai jamais volé»"
jamais tué ou volé?? mais c'est incroyable ça!!! un spécimen rare , chez toi c'est peut être exceptionnel mais pour un Français c'est juste la norme sociale minimale
"«Si vous n'avez pas de papiers, vous ne pouvez pas travailler», répond le chef de l'État." il a oublier "et vous n'avez rien a faire ici"
Pour finir je remarque que des clandestins sans travail se permettent d'interpeller le président du pays qu'ils squattent , ça en dit très long sur le sentiment d'impunité qu'ils ont
Le 28/10/2017 à 13:21
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Bravo Monsieur Macron, vous avez eu le courage d'y aller et de dire les choses contrairement à vos prédécesseurs. Maintenant, il faut prendre le taureau par les cornes et faire le necessaire pour que la Guyanne de devienne plus un no men's land. (Faire de meme à Mayotte, St Martin...)
Le 28/10/2017 à 13:20
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Ce sont «des adresses qui leur permettent de toucher des aides», dit-il
Tout est dit
Le 28/10/2017 à 13:08
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Courageux
Le 28/10/2017 à 13:05
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Super ce president. Dîtes lui ce que vous avez besoin il vous explique comment vous en passer. Sauf bien entendu pour les plus riches qui n'attendaient pas autant de cadeaux fiscaux. A ce jeu là il va finir mal....
Le 28/10/2017 à 12:58
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Confronté à la réalité du terrain en passant 2 heures dans un tel quartier et cela après que des centaines de policiers aient écarté tous problème. C'est une blague à la macron sans doute ?
Monsieur les seules réalités du terrain que vous connaissez ce sont celles du Touquet.
Le 28/10/2017 à 12:56
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Ce Macron a vraiment une big bijg étoile
Chaque fois qu'il est en difficulté, un évènement exceptionnel survientet du coup.. tous les attentions sont focalisées ailleurs.... Incroyable..
Le 28/10/2017 à 12:47
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J'aime beaucoup le qualificatif "sensible". Une femme sensible, un homme sensible ... un quartier sensible ... Tout à coup, le mot change de sens.
Le 28/10/2017 à 12:46

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Macron en Guyane : «La République ne cède pas aux gens en cagoule»

  • Par  Arthur Berdah
  • Mis à jour le 27/10/2017 à 17:51
  • Publié le 27/10/2017 à 15:09
Macron en Guyane : «La République ne cède pas aux gens en cagoule»
LE SCAN POLITIQUE - Lors de son déplacement, le président de la République a également promis que «la parole de l'État» sur les engagements pris par le gouvernement précédent en faveur de la Guyane «sera tenue».
Alors que ses premiers pas en Guyane ont été émaillés par des affrontements entre les forces de l'ordre et des manifestants du collectif Pou Lagwiyann Dékolé, Emmanuel Macron s'est exprimé ce vendredi à Cayenne. L'occasion pour lui de revenir sur sa phrase controversée prononcée la veille: «Je ne suis pas le Père Noël parce que les Guyanais ne sont pas des enfants». «Si vous vous voulez que je ne parle plus du père Noël, je ne parlerai plus du père Noël, si ça vous soulage», s'est-il agacé devant les journalistes.
Évoquant ensuite le plan de 1,08 milliard d'euros signé sous la présidence de François Hollande, le locataire de l'Élysée a ensuite assuré que «l'intégralité des deux premiers volets» des accords de Guyane «seront appliqués et la parole de l'État sera tenue». De même, s'agissant de «la demande complémentaire» à hauteur de 2,1 milliards d'euros, il a martelé qu'«il y avait un engagement (de sa part) à étudier les propositions qui sont faites» et il a rappelé qu'il avait «réitéré hier (jeudi) cet engagement à étudier».

«La République ne cède pas aux gens qui sont en cagoule»

«La Guyane subit des violences inacceptables», a dénoncé le président, assurant que tous les engagements en matière de sécurité «seront tenus». «Mais j'ai décidé, au-delà, d'accélérer les (déploiements des) renforts à venir, (qui) seront donc achevés plus vite que prévu». Au total, «90 gendarmes seront déployés dès 2018». «Entre mai 2016 et septembre 2017, 84 policiers et adjoints de sécurité supplémentaires ont été affectés en Guyane», a-t-il ajouté, annonçant que «22 nouveaux seront affectés d'ici à février prochain».
Toutefois, Emmanuel Macron a assuré qu'il «ne (se) laisserait pas guider cet agenda de sécurité par celles et ceux qui créent eux-mêmes l'insécurité comme ils l'ont manifesté hier soir.» «La colère est là depuis des années. Elle s'est manifestée en avril dernier avec force, et je suis venu en sachant qu'il y avait toujours une colère. Mais je ne suis pas là pour céder à la colère. La République ne cède pas aux gens qui sont en cagoule. Là-dessus, il n'y a pas de solution de facilité», a-t-il enfin martelé.
564 commentaires
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"Cet anonyme" plutôt que "cet individu" serait plus juste.
Le 28/10/2017 à 15:33
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3,5 milliards d'euros, ce n'est rien à côté des plus de 350 milliard que nous coutent les retraités chaque année!
Le 28/10/2017 à 15:10
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MACRON , lui cède aux riches de très beaux cadeaux FISCAUX : vive le PERE NOEL des RICHES !
Le 28/10/2017 à 14:32
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En Guyane ou ailleurs les "cagoulards" nous fatiguent. La franchise les caractérise .
Le 28/10/2017 à 14:28
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Qui a accordé le RMI à la Guyanne , ruinant du même coup cette région , les cultures désertées , les distilleries de rhum fermées du jour au lendemain , ils doivent maintenant tout importer !
Le 28/10/2017 à 14:10
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Comme c'est beau et bien dit ! Malheureusement la réalité est tout autre , car la fameuse République n'a fait que céder a bien d'autres égards , et nous en payons les conséquences chaque jour . Les cagoulés ne dont pas grand chose par rapport a ce qui se passe en métropole , mais là , point de Macron et point d'état ?
Le 28/10/2017 à 13:51
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L'éphémère ministre Ericka Bareight lui a considérablement miné le terrain avec son" je demande pardon au peuple(sic) guyanais" bien dans la ligne démagogique des socialistes.Les 500 frères se sont installés dans un plein pouvoir qu'il va être difficile de leur contester.
Le 28/10/2017 à 12:40
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"Macron en Guyane : «La République ne cède pas aux gens en cagoule»"
C'est faux, bien entendu. La "République", ou pour mieux dire l'Etat, est "faible avec les forts, fort avec les faibles". L'Etat feint d'ignorer que des quartiers entiers échappent à la loi. [Je n'en dis pas plus car mon commentaire ne passerait pas - l'expérience...].
Le 28/10/2017 à 12:34
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"La République ne cède pas aux gens en cagoule";
Il ne reste plus à Macron une fois rentré en Métropole à prononcer la même phrase mais cette fois adressée aux Caïds des "Territoires perdus de l'Hexagone", à ses ministres de concrétiser tout cela dans les faits et on pourrait alors affirmer que le président aura vraiment remis la France en Marche.
Le 28/10/2017 à 12:34
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Bravo M. Le président.
Le 28/10/2017 à 12:27
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D’ouest en est, un point placé sur l’équateur parcourt 40 000 Km en 24 h soit une vitesse supérieure à 1600 Km/h.
C’est pour profiter de cette force centrifuge gratuite, indispensable au lancement de nos fusées, que nous conservons la Guyane. Le reste…
Le 28/10/2017 à 12:21
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chiche qu'il le dise devant les Corses !
Le 28/10/2017 à 12:20
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finalement le contribuable paye la note.. merci macron de céder.
Le 28/10/2017 à 12:10
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Enfin des mots vrais comme on aimerait entendre plus souvent !
Une République molle n'a rien à gagner !!!
Proposons à tous ceux qui vocifèrent dans les rues de chercher une formation, un projet, une innovation, pour en faire profiter la Guyane elle-même !
L'Etat providence c'est fini, il faut apprendre à se construire soi-même, en arrêtant cette mentalité détestable de tout attendre du gouvernement et des autres !!!
Nous changeons d'époque, ouvrons les yeux .... et la meilleure arme pour affronter le monde, c'est la culture, la formation, le travail bien fait .... dans le plaisir des "ses œuvres réalisées".
Le 28/10/2017 à 11:44
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REFERENDUM
Le 28/10/2017 à 11:44
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un référendum et qu'ils se débrouillent !!
Le 28/10/2017 à 11:21
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Je ne suis pas macroniste mais le President a tenu le langage de la fermete.C'est bien.Si le milliard promIs sert en entretenir tous les sans paiers des pays limitrophes cela ne servira a rien.Que les noir marrons Francais fassent le menage avec leurs cousins du surinam ...
Le 28/10/2017 à 11:17
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A l'attention des macroniens, ne vous contentez pas des titres, lisez les articles.
Le 28/10/2017 à 11:17
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JMN
Bravo Monsieur Macron, enfin nous avons un vrai Président.
Maintenant que tout e'st dit, on attend la mise en oeuvre.
Le 28/10/2017 à 11:00
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est ce que les 3,5 milliards d'euros donnés à 280 000 guyanais font partis du "trou" de 11 milliards qu'a découvert M. Darmanin en arrivant à Bercy ? (la presse pourrait elle nous éclairer sur ce sujet ? en effet 3,5 milliards , ce ne passe pas inaperçu pour certains .... )
Le 28/10/2017 à 10:55

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