Samedi 13 Octobre 2012
Hier un regard reçu, ce regard reçu au bon moment et dans les circonstances où jen avais besoin mais naurais s ni pu le demander. J’ai mis douze heuees et plus pour maintenant penser que peut-être celle qui me l’a donné avait besoin du mien. – Le prix Nobel de la paix à l’Europe, l’Union europénnne : soit ! Je m’accorde à toutes les marques de satisfaction mais aussi à celles d’une critique. Comme pour OBAMA, les Nobel, dont on ne discerne pas bien qui ils sont (le prix de littératture obstinément refusé à MALRAUX à cause du général de GAULLE, catalyseur de haines ne s’avouant qu’ainsi, la grandeur humaine quand elle est incontestable, est également détestée) couronnent un espoir, plus qu’une réalité. MELENCHON a raison , dans l’état où sont les Européens, et pour moi qui désespère d’u sursaut institutionnel pourtant évident (l’élection au suffrage direct du président de l’Union avec pouvoir de convoquer le referendum européen dans les matières du traité, celui de Lisbonne étant à réécrire par le Parlement qui sera élu en 2014, et à qui il faut donner des pouvoirs constituants) : le prix de l’humour noir. Les LE PEN en revanche ne sont pas soutenables : le prix et son comité seraient désormais disqualifiés. Mais WALESA, prix 1983 n’a pas tort : le donner à des personnes physiques. – Hier, à Disneyland, j’ai cependant répandu la nouvelle qui n’y était pas connue alors que l’on a les Nations Unies dans le personnel, à la présence et à la gentillesse parfaites, alors que l’on a la démonstration de l’analogie partout des plaisirs et des joies en famille, des musulmans ou des gens du Proche-Orient, le voile n’est que le fichu paysan d’il y a un siècle chez nous, et la photomania, les manèges, les déguissements sont le fait de tous. Cela rassure. – En partant, ma radio d’habitude (France-Infos.) donne une Marine QUENIN, pas encore la quarantaine qui s’adonne dans les « quartiers » et leurs écoles : Paris, Lille, Marseille à un apostolat spontané, qui aussitôt me paraît plus qu’excellent et lui faire valoir autant les Palmes académiques que la Légion d’honneur, expliquer aux enfants des alentours de dix ans, ce qu’est le christanisme, l’islam, d’autres religions. Pas du dogme, mais du vécu, le fait religieux : manger du porc à la cantine n’est pas en mourir, ambiance de l’enfant est imprégnée de religion, de diversité, d’athéisme, de démonstration, expliquer pour apprendre l’écoute et y donner le milieu mental favorable. La société à sa racine. Deux exeercices : l’observation avec les questions posées sur les faits quotidiens, puis faire expliquer par les enfants des mots courants sans les nommer : Noël, Pâques, l’Aöd El Fitr, etc… cela marche très bien. Elle milite pour un enseignements qui ne serait pas limité à celui à celui de la morale laïque (aussi creux que l’invocation des valeurs de la République jamais définies) mais à l’ensemble du fait religieux et des faits religieux. Depuis trente ans, le rapport du recteur JOUDART ( ?), puis un rapport DEBRE (le médecin ?)… c’est d’ailleurs poser la question des enseignements formant la conscience morale, éveillant les capacités et nécessités spirituelles comme un bon enseignement d’éducation physique, du sport en équipe, les enseignements formant l’esprit patriotique (patriotisme national français mais aussi patriotisme européen, et fiertés, ascendances régionales). Les enseignements sur soi et l’univers et la société, à distinguer fortement des savoirs et de la transmission d’acquis scientifiques, lesquels restent extérieurs à nous même si la culture de ceux-ci peut nous empoigner, nous habiter, vg. pour moi l’histoire et celle qui se fait et défait : la politique. Extrême polyvalence que doit avoir l’enseignant en même temps que le sens de la pédagogie et un charisme respectueux : attirer les enfants pour les renvoyer paisiblement, mais accompagnés, à leur liberté propre.
Communion des saints, ceux qui sont déjà salués de ce titre quoique Dieu seul soit saint, mais quelques exemples et amitiés au choix et en particulier, sont bénéfiques, communion des saints, nous tous en perspective, et celles et ceux que nous rencontrons ou qui nous sont échus, y compris notre élu du 6 Mai qui pagaye entre les deux Congos… le regard d’hier, marron et à lunettes carrées : sobre, le regard est pus expressif que l’entier d’une visage, d’un corps, d’une vie. Le regard qui tue, le regard qui lie. Celui que j’interroge après un échangé déjà émouvant car il rappelle et augmente tout un passé qui n’est pas qu’à moi, et qui me répond sur une pratique religieuse abandonnée, alors qu’il en fut il y cinquante-soixante ans un des plus ingénieux propagateur, homme droit et contagieux s’il en était… mais il évoque dans sa phrase humble le personnage du Christ appelé par lui Jésus ce qui est signe d’une proximité demeurée… Celle qui ouvre ma porte sans frapper mais que j’attendais sans doute en me souhaitant mon anniversaire simplement parce que mes blogs le mentionne, et dont le flot ne m’atteint plus depuis quarante-huit heures… La beauté de notre fille qui se manifeste plus encore dans le gros plan de ma camera ou de mon appreil photo. tandis qu’elle est maquillée « Jasmina » hier après-midi. Sa charmante et jolie amie de classe n’a pas, à mon étonnement, le visage qui résiste à cette probation. Parlé avec la jeune fille dont je vais aider la constitution d’un « presse-book » et de correspondances attestant son savoir-faire, son art et son sens de l’enfant en visage. L’antonomie souvent de la face et du profil. REMBRANDT a joué des deux pour le Christ, le profil du combat, le visage pour le partagé d’Emmaüs et la crucifixion.
Prier… sac au dos, chargé d’hier et d’aujourd’hui. Le seul texte d’évangile pour aujourd’hui paraît immédiat. Comme Jésus était en train de parler, une femme éleva la voix au milieu de la foule pour lui dire : « Heureuse la mère qui t'a porté dans ses entrailles, et qui t'a nourri de son lait ! » Alors Jésus lui déclara : « Heureux plutôt ceux qui entendent la parole de Dieu, et qui la gardent ! » [1] Le bonheur ? non, littéralement, la bonne orientation, le sens de la marche. Le succès social, l’appartenance du héros aux siens. La réponse de Jésus est constante, nous le possédons autant que par le sang, d’ailleurs c’est lui qui nous donne son sang, la dernière Cène… entendre cette parole, quelle est-elle ? elle est incarnée, elle est une personne. L’entendre parce qu’elle nous est donnée : autrui, les nôtres par naissance, le geste de Dieu nous convertissant et nous entretenant. Ma foi, si primitive et encore à ses débuts, malgré le temps… mes soixante-dix ans bientôt de pratique chrétienne selon les rites et apparences, sans « intermittences du cœur » mais où sont ma vérité et ma profondeur, tout reste à faire, vivre, demander, continuer, reprendre : paisiblement. La faire entendre ? la ré-évangélisation car autour de nous, dans le monde d’aujourd’hui, tout le monde (juste expression en langue française) a déjà entendu, mais les ronces et les pierres du chemin. Dans la parabole, c’est le semeur seul qui avance, le monde fait du sur place… La garder, la conserver, la laisser germer et s’épanouir. Nous épanouir. Ainsi soit-il ! Die, Seigneur, protégez ceux/celles que j’aime, qui m’aiment. Et pitié pour nos ennemis, en leur insufflant un peu de gentillesse et de bon sens à notre égard. – Le Christ à nous : Viens et suis-moi ! Va et ne pèche plus ! Va, ta foi t’a sauvé ! Qu’il en soit fait selon ta foi ! JE suis. … Moi, je suis … Je le suis, moi qui te parle… Tout homme est un reflet de Dieu, un effet de Dieu. L’amour si attendu, si désiré des enfants,qui le distinguent très bien du plus évident et naturel, celui à profusion qu’ils reçoivent des parents si « mauvais » soient ceux-ci, l’amour liberté-choix-alliance-vie… Dieu que nous Le cultivions nommément ou pas, nous donne qu’il soit durable, vrai. – L’affirmation : comme elle est heureuse, celle qui … est d’une femme, donc une affirmation d’expérience. Jésus en fait une question pour y répondre. Marie n’était donc pas connue de la plupart. Les évangiles ne rapportent pas des mots d’amour filial à sa mère, mais une attitude de confiance totale et d’entente sans mots. Confiance : le don mutuel de sa mère humaine et de l’Eglise qu’il fonde ainsi sur la croix, de sa croix. Bonheur… Jésus ne nie pas celui de sa mère, mais le nôtre est équivalent, du même ordre, de même nature. Il est la cause unique du bonheur. Ultime.
matin
Je n’ai pas encore lu le discours de Dakar (2012 c/ 2007) : l’extrait choisi à France-Infos. était bref et plat. Le certain est que François Hollande va arriver au prochain Conseil européen en situation de force et de prestige : le pacte budgétaire aura été adopté au Parlement, surtout à l’Assemblée nationale, sans le concours de la droite et donc de Sarkozy post mortem… il est donc capable d’un consensus pas de parole mais d’effet. Et il arrivera d’Afrique, avec un hinterland dont nous avons la clé mentale et politique, et la logistique, cf. le Mali. Il serait bon qu’à défaut de Bvan Ki-moon, nous ayons un signe de ce Conseil pour aller au Mali en soutien multiforme de la CDEAO (au besoin, discrètement au sol, où nous sommes déjà certainement). Clé dont je prêche qu’elle court entre chacune des mains des 27.
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