mercredi 4 mai 2011

le Kazakhstan - documentaire-évocation sur Arte

Documentaire-évocation du Kazakhstan


brut de notes prises pendant le film, et ne distinguant pas entre les voix off et mon propre commentaire ou mon ressenti de cette œuvre surprenante – mais dont il n’est pas étonnant que le Kazakhstan en consttiue le prétexte-support


Arte, La lucarne – Kazakhstan, naissance d’une nation. Documentaire . Christian BARANI et Guillaume REYNARD, 01 heure 25



Entre capitalisme fantasmé et nostalgie du régime soviétique, le cœur du Kazakhstan balance… un documentaire nous emmène au Kazakhstan.



Générique, fond d’usines, de portraits de N., voiture, bouquet de fleyurs ; Kazakhstan ! Noursoultan ! Voix qui m’est famimère, fond de théâtre, la voix plus fatiguée. Le marché est une démocratie, la concurrence quitte le domaine militaire pour le domaine éconopmique. Stabilité de la politique intérieure, les trois couches sociales : riches, classes moyennes, mauvres, la société Le but est responsabiolité devant générations suivantes, quel avanir souhaitons-nous. Serons ouvriers, ingénieurs, etc… énumération de moyens… photos de pasyages neigeue,x Une vision de société, une stratégie de mission, réflexion sur demain, sur millénaires lointains. En 2030, pays verts, enfants et petis-enfants profiteront de la vie, prévention des maladies, chacun pratiquera un sport, éducation hygiène de vie, règles d’alimentation. Vers 2030, le pays servira d’exemple. Créer un champ favorable pour grand capital transnational. Transformatio de la trabsformation de la société, systèmes de valeurs, radicalement nouveau, démocratie de la transformation. Nous sommes devenus le pays, le marché… Images depuis un train, la neige, petites maisons, puis la steppe…


Scène, un ours blanc, une caravelle, carton-pâte et décor. Fond de chants. Une jeune fille, plutôt rousse, yeux faits, détail du costume : rouge. D’autres jeunes filles, seulement du détail, rumeurs de foule, un bijou sur une gorge, des mains avec bijoux aux poignets, un homme, un Kazakh, pas très typé. A nouveau détail de vêtements féminins, rouges, bottes de cuir, noires.


Champ de neige, immeubles lointains. Sorte d’avenue, de perspectives, sous la neige. Chantier, grues. Coups sourds. Chants hulullés. Poteaux électriques en bois. Dépaysement et non sens de ces paysages. Sorte de structure en bois pouvant évoquer futur arc de triomphe ? Chantier d’Astana ? Montée par un ascenseur, le gris et le blanc interminablement. Engouement vers la folie ? L’acsenseur toujours. Deux hôtesses en tailleur rouge, col ouvert, chemise blanche, des Kazakhes. Haut de tour, hiératisme et attente. Tour Baïterak : 95 mètres d’altitude, récitatif-descriptif en kazakh. Commentaire de maquettes, du déménagement « et bien sûr notre président »… Tour panoramique, la capitale surréaliste, cosmique, la neige, le ciel, les bâtiments, un gris et à peine ses nuances. Mention de l’architecte. Maquette à verdure. Fond de chant, féminin, quasi monastique. Cour d’immeubles, jardins vastes, sensation de Brasiliia et d’inhabitation., un couple vêtu de blanc, deux voitures : des maquettes. Une sorte de soucoupe volante aux couleurs changeantes, bronze, puis vert, puis bleu. Un générique qui n’en finit pas. Bonjour la capitale, tu es un oiseau libre, Astana ! L’âme des mines, c’est Karaganda ! C’est ici ma terre ! Chant micro aux lèvres, un garçon, boîte ? fredonnement semi-dansé. Désert, jeux de miroirs. Bonjour la capitale. Les montagnes qui s’élèvent vers le ciel, c’est Almaty ! Bonjour mon pays, c’est ici ma terre !


Blanche et bleue, pans de toile que soulève un courant d’air ?.Engin qui démarre à la manivelle, la neige. Fond de ville, d’immeubles-tours, moteur qui s’enroue. Brouette et quelqu’un qui la pousse, chaussée gelée, immensité, au loin des immeubles, des poteaux électriques, deux types en rouge. Des camions-bennes de chantiers orange. Une barre d’immeubbles, en chantier. Des cylindres couchés. De la neige, les bourrelets, au loin un immeuble. Une voiture particulière, seule. Un abri de chantier métallique, deux types dans l’embrasure de porte, commentent : ce sont des Français. Pn entre dans une baraque, un Kazakh, haut bonnet, table paquet de cartes, tasse, sur fond de placard, un buste dessiné de femme nue, silhouette d’un type muet. Un poêle, ronflement comme s’il bouillait. Patère, vêtements, trois types, scéniques, immobiles. – On peut devenir fou entre ce genre de film et le souvenir de ce que l’on vécut, il y a près de vingt ans.


Clignotement d’un arbre à gurilandes illuminée, clignotante, musique de boîte. Une fille, blonde épaules nues, robe rouge, qui boit, assise, une Russe sans doute. On ne sait toujours pas vraiment où l’on est et quand l’on est. La fille remue, rythme de danse, sans se lever, peu vêtue, silencieuse. Fond sonore peu descriptible, qui s’éloigne. – Jeu de flocons deneige à dominante verte, translucidité. Ce film est fantasmatique, il est bien fait. Etrange. UN arbre, des branches, toujours cet air diaphane, couleur verte, neige qui tombe, poussière de neige. Maintenant, silhouette de bout, fond nocturne. – Un intérieur, une vieille cuisinière, un frigidaire peut-être, du russe. Nous avons notre dignité et nous regardons les bourgeois de haut. Voix masculine… devance ne quelque sorte les exigences morales… nous sommes en tête des pays en voie de développement… réussite intérieure…l’homme qui possède une grosse fortune, certaines possibilités apparentes, je pense à une légende Radjan Nasserdin… se voit refuser l’entrée, vêtu d’un grand manteau de cœur.. au lieu de comporter, vide son plan de Plov dans es poches. C’est nous, il y a une chance à l’apparence, à la réussite.


Cosmos, violet. Points brillants, des étoiles ? on s’approche de quelque chose, une avenue signalée par la succession des réverbères. Nurjbank A côté du magasin de vêtements ? c’est ce qu’on m’a dit. Voix de radio, de cosmonaute. Qsui prend la commande. Paysage rouge, brouillard, feux arrières de voiture. Vous roulez ? Qui prend la commande ? du téléphone ? Mais qui prend la commande. – Un type statufié, en treillis, intérieur quelconque, la tête sur fond de tableau, tout est beige : hôtel ? Un salon, coussins et poufs grands, beiges, parquets, baies-fenêtres à lumière, jour verdâtre. Deux personnes, silence. Un rouleau sur une toile cirée, cuisine, buanderie ? du kazakh. Deux femmes, carrelage, marmite neuve. On égoutte une pâte, série de machines culinaires, une viande qui ests découpée en tranche, saucisson de cheval ? Une table mise, pièce blanc-ivoire. Intérieur, canapé de salon, rideaux de fenêtres, tout est blanc-ibvoire. Sorte de lit suspendu en balancelle, du marron et du bleu gris. Un gars, un Kazakh fait des halères rouges. Un type, dos large tournée, en chemise, regarde une télévision. Spectacle, lumière de bopîte qui tourne, musique aussi, avec parole métallique, répétitive, introduction d’un chant. Trois silhouettes d’hommes. – Toujours aucun exposé. Des profils, de la lumière, suxeposition des visages, des gens très swerrés, effet de foule, des visages, que des visages, rythme, rumeur, appareil de photos. Visages jeunes, Kazakhs. Une Russe. Muets mais rumeur générale. Détails de vpetements, violets, bleus, drapés modernes, jambes nues, pied chaussé, marchant, détails de corps, lumière violet-bleu-acier, robe : défilé de mode, mannequin. Art certain de ces séquences, photos, composition. – Points flous oranges, jaunes. Paysage urbain noturne, tours illuminzs, grues aussi mais d’autres couleurs. Des éclats d’arc électrique, chantiers. Nuit, projecteurs, musique sérielle, métallisme. – regardez, nous sommes sur les photos. Rires, conversations, silhouettes, visages, contre-jour, nuit, projecteurs. Portage d’une plaque à plusieurs, casques de chantiers.On dresse une plaque, on la cale ou la visse, verticale, détails. – Déjà quarante minutes sans explication ni scenario…


Neige bleue, lumière, fond de palissade. Paysage de ville au loin, lever de jour ? Astana sur steppe ? rumeur de train sur rail, défilé d’un paysage d’eau. Voix off. Un dormeur. Pour l’instant, la plupart de nos terres sont abandonénes. Le gouvernement se désintéresse de l’agriculture. Notre croissance est forte. Le niveau de corruption est très élevé. Ce que le peuple a produit pendant des décennies, est maintenant aux mains du privé. Le même dormeur, jeune, brun. Paysage d’eau depuis un train. L’exploitation de presque tous els éléments du tableau de Mendeleiev. Se retrouve sous la menace de l’hypothèque, le peuple est obligé de s’endetter lourdement poour se loger, on atteint des sommes impensables. – Voix de femme, la mauvaise redistrubution des richesses… ce changement de la part du peuple. – L’homme, toujoiurs en russe, voix de ventre. Paire de mains. Sur fond clair, le pays se sort d’un régime totalitaire d’autrefois. Aujourd’hui ce sont les mêmes dirigeants qui dirigent le pays vers l’Occident.


Vue normale, jour, végétaux, fond de ville, depuis quelque étage. Un terrain vague, une cabane, toit en taule, aboiement d’un chien. Une maison normale, petite et à toit brun. Du russe, obscruité d’un intérieur, fenêtre à petits carreaux encadrés de bois. Un homme à coyrte barbe, genre robe et bonnet blanc, musulman ? couloir, visage kazakh. Dumbra. – Je me rends compte que j’ai vécu dans le pays le plus dépaysant qui soit. Fond de couloir, silhouette lourde d’une femme à fichu. Air et façon de jouer que je n’ai pas connus. Jeune type, en tee-shirt moderne, pas de porte pour le couloir, sorte de rideau. Air : pas mal, discussion des deux aînés, la femme, l’homme moins jeune à bonnet blanc. C’est mon petit-fils qui dort. Amoncellement de tissus, en garçonnet dort au-dessus. Le type, lumière de jour, assis sur un matelas à même le sol, couvert de rouge, chemise noire, bonnet blanc, barbe. Voix ancienne. Avant nous avions la vue jusqu’à l’horizon… car il y a trop de lumière artificielle. Et si le temps est venu de détruire ma maison. Dans un ancien conte russe, un combattant s’arrête… si tu vas tout droit, tu rencontreras la mùort, si tu vas à droite tu sera vendu, si tu vas à gauche tu seras président. Parle russe donc, disposition de la table basse. – Scène d’habillement d’une femme blonde, crâne rasé, robe bleu ciel à haut noir. C’est une Balenciaga. Puis une robe verte, c’est la première fois que je mets une robe pareille, elle est en dessous, passe une robe grise. Les cheveux courts ou rasés sont gris. Robe blanche, très près du corps, avec broderies de couleurs. Demande d’en apporter d’autres. La scène filmée en continue sur fond neutre, blanc mat, passage du photographe. Dixième ou quinzième robe. Robe à ramage. Ok, finished


Rue, le long d’une palissade, des motos, la nuit. Lumière de ville, de cimetière, chants, processions nocturnes. Jeux d’eaux illuminées, ou feux de bengale, verticaux, passages de motos, du Fellini en science fiction, de l’ex-1984, rumeurs de boîte, foule de rues, promiscuité, rythme. On est sous une tente ne longeur, cris. J’ai besoin d’un micro. En russe, je suis contente que vous soyez là ce soir. Nous espérons que ma fête d’anniversaire sera une réussite. – Message et reportage d’une autre planète. Etait-elle en gestation à apparaître quand je fus là-bas ? – Sur fond d’eau, couple de femmes, chantant, des chansons françaises d’amour, langueur, reflets de ville, Piaf ? une robe noire, une robe bleu pétrole. Une troisième silhouette en angle droit, on se dandine seulement. – Couple de citadins, une petite fille en robe blanche à la main de sa mère. Chants traditionnels. La mannequin aux cheveux rassés asseoit l’enfant sur un fond blanc. L’enfant ne bouge pas. Musique de soirée. Couple à table, salle-à-manger bourgeoise ? un autre couple, un gars à appareil photo dit un toast Toujours en russe. Fond de fenêtre à double rideau, téléviseur, verres à pied entrechoqués. Au plafond, suspension des années 50. Scène de tournage de ce repas. Un film, donc … indication à ceux qui sont des acteurs.


Liste d’acteurs ou de personnages. Mention du discours : « Kazakhstan 2030 », de NAZARBAEV. Liste de remerciements, ce semble s’adresser à Almaty. Le film date de 2008. Il semble français. – 02 heure 32.

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