Mardi 2 Juin 2015
Prier…
offrande de tout. Action de grâce pour ces perspectives de travail. Demande de
constance pour les débroussaillages et autres devoirs très concrets. Récit par
Tobith de son malheur, imagé, précis et avec scènes de ménage. Comme la femme de
Job, celle de Tobith le met en contradiction avec sa foi : son malheur la
périme. Qu’en est-il donc de tes
aumônes ? Qu’en est-il de tes bonnes œuvres ? On voit bien maintenant
ce qu’elles signifient. [1]Le Christ, lui aussi, est acculé de la même
manière, croient ses détracteurs et futurs assassins : pourquoi
voulez-vous me mettre à l’épreuve ? Ils
lui prêtent la même sensibilité à la flatterie que leurs propres maîtres… Tu
es toujours vrai, tu ne te laisses influencer par personne, car ce n’est pas
selon l’apparence que tu considères les gens, mais tu enseignes le chemin de
Dieu selon la vérité. Tobie (à lire demain) se dégage, quoiqu’en
larmes, l’âme désolée, par la prière.
Jésus se contente de manifester du bon sens, sachant leur hypocrisie. Il ne repousse même pas les compliments,
il répond par l’évidence. – Vie quotidienne.
matin
La
dégénérescence n’est plus idéologique, feu la gauche comme le consacrera l’imminent
congrès socialiste au rebours des évolutions italienne, espagnole et hellénique
pour prendre la rétrochronologie. Pierre Moscovici, ce matin : Europe 1, commence par avance les « réformes structurelles » qui vont
être administré à son pays d’adoption, la France. Les impôts directs, à la
source, seraient recouvrés par un « organisme indépendant » : l’Etat,
la France privatisés ? Ségolène Royal qui aurait pu entrer par elle-même à
l’Elysée, ou au bras du père de ses enfants, figure maintenant en tenant lieu
de « première dame », faute de Valérie Trierweiler et parce que Julie
Gayet n’est toujours pas l’épouse : c’est la visite des rois d’Espagne (le
roi et la reine). Damant facilement le pion à Laurent Fabius, la ministre de l’Ecologie
va rallier à Londres le prince Charles. Si le « sommet » de Paris est
un échec, ce sera la responsabilité du Quai d’Orsay et de son chef actuel. On
en est là…
Concours
de ridicule ou de cynisme avec le prédécesseur.
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