Mercredi 9 Février 2011
Ouverture de messagerie… j’apprends qu’il existe un service électronique de pétition : utile, mais quant aux pétitions-mêmes ? [1] Prier… il y a de quoi, le monde autour de soi et l’immensité de mon « moi » à décentrer et à évangéliser. De solution que personnelle, au sens de la personne du Verbe de Dieu, que n’importe quelle bonne volonté peut évoquer, l’âme attend tellement ce mouvement de l’esprit. Le reste est indicible, comme la vérité, comme l’amour, comme le passage d’une vie à L’autre. [2]. Tu reprends leur souffle, ils expirent et retournent à leur poussière. Tu envoies ton souffle : ils sont créés ; tu renouvelles la face de la terre. Jésus, la vie quotidienne, notre orientation de fond : ne voyez-vous pas que tout ce qui entre dans l’homme, en venant du dehors, ne peut pas le rendre impur, parce que cela n’entre pas dans le cœur, mais dans son vengtre, pour être élilminé… ce qui sort de l’homme, c’est cela qui le rend impur, car c’est du dedans, du cœur de l’homme, que sortent les pensées perverses. Commentaire décisif de ce tournant dans le développement de la création : la liberté humaine. Tu peux manger les fruits de tous les arbres du jardin, mais quant à l’arbre de la connaissance du bien et du mal, tu n’en mangeras pas, car, le jour où tu en mangeras, tu seras condamné à mourir. La nourriture du dehors n’atteignant que le ventre, la pensée et l’acceptation de la suggestion du « serpent » venant du cœur et notre condamnation, solidaire, à la difficulté, au cheminement, à la mort et à toutes angoisses quotidiennes qui sont pires que celle-ci. De discernement qu’en Dieu, de Dieu. Gratification, ce qui n’est tout de même pas secondaire : tu donnes et eux ils ramassent ; tu ouvres la main et ils sont comblés. Ne fut pas interdit et le dialogue d’Eve avec le « serpent » n’en traita pas : l’arbre de vie au milieu du jardin. Le tout au travail et à la garde de l’homme, sens toitalement déviyé aujourd’hui du travail, à la fois parce que ce facteur économique est méprisé et parce que les métiers, les savoir-faire et donc savoir-être au sein desquels déployer l’activité de travail ne sont plus une vocation. La personne est niée deux fois : elle ne compte pas ou seulement en soustraction à opérer du bilan, elle n’est pas à honorer selon son exceptionnalité.
matin
Je reviens au spectacle télévisé d’hier soir sur presque toutes les « chaînes », la discussion abondante sur ce qui dans un voyage dit privé d’une personne qui a passé sa vie à attendre d’être une personne publique, qui a gâché l’existence des siens et qui s’est soi-même abîmé à force d’ambitionner et de compromettre pour enfin… sur ce que l’on paye de ses deniers et sur ce que l’on peut se faire offrir. Désolant à deux points de vue. Le premier porte sur la question. Elle ne devrait pas se poser ni pour l’opinion ni pour ces pauvres gens maintenant cernés mais qui ne démissionneront toujours pas parce qu’ils ne voient pas le rapport, parce qu’ils ne voient pas le problème, parce qu’ils ne le font ni exprès ni méchammant (alors que des autres, et surtout des concitoyens leurs administrés, ils exigent tout à commencer par leur portefeuille, les contre-danses de stationnement passent à 17 euros pour détruire la compétitivité avec les tickets d’horodateurs, et à continuer par l’impôt des pauvres, la T.V.A.). Tout simplement, la règle posée par de Gaulle : on ne prend pas de vacances à l’étranger, on ne se rend à l’étranger qu’en voyage officiel ou en visite de travail. Au passage, les précédents : VGE a « sauté » pour les diamants de Bokassa qui ne devaient pas valoir grand’chose et Mitterrand au grand hôtel des cataractes ou assimilé, y allait pour Mazarine, et n’étant plus au pouvoir. Au passage, la cécité de ces touristes qui n’ont rien « humé » de l’air du temps en Tunisie ni en Egypte, et évidemment tous ces vacanciers à Marrakech, Sarkozy compris.
Second point de vue. Pendant qu’on est occupé à cela ou à discuter du bien-fondé de l’émeute des juges et des gendarmes, on n’étudie pas l’événement majeur de ces jours-ci : la proposition allemande, déguisée en proposition franco-allemande d’une nouvelle donne européenne, après les critères de Maasttricht pourtant pas respectés, y compris par l’Allemagne, il y a quatre et cinq ans, un tour de vis supplémentaire sans cependant que l’intégration soit en profondeur : en politique, en défense, en patriotisme, elle ne l’est, dans la proposition, que comptable.
Je vois là un suivisme français depuis que de Gaulle est parti. Le suivisme vis-à-vis de la Grande-Bretagne : Pompidou et Mitterrand, l’adhésion britannique sans conditions européennes et l’exception budgéaire accprdée en 1984 à Thatcher. Puis le suivisme vis-à-vis de l’Allemagne : Mitterrand et Sarkozy, Mitterrand par peur aussi bien en 1982 (les euro-missiles) qu’en 1989-1990 (la réunification payée par Maastricht ce qui n’avantageait finalement que l’Allemagne), Sarkozy pour camoufler ses exactions notamment fiscales et pour les retraites et la durée du travail en convergence franco-allemande. Ce qui n’est d’ailleurs pas vérifié. L’Europe a fonctionné à l’avantage de tous quand elle a été d’inspiration française âprement négociée et marchandée avec l’Alelmagne et ayant en perspective l’incitation de la France à la compétitivité économique et plus encore de l’ensemble de nos partenaires à l’indépendance vis-à-vis de l’hégémonie du moment, quelle qu’elle soit. On en est loin. Tout est à reprendre.
Ouverture de messagerie… j’apprends qu’il existe un service électronique de pétition : utile, mais quant aux pétitions-mêmes ? [1] Prier… il y a de quoi, le monde autour de soi et l’immensité de mon « moi » à décentrer et à évangéliser. De solution que personnelle, au sens de la personne du Verbe de Dieu, que n’importe quelle bonne volonté peut évoquer, l’âme attend tellement ce mouvement de l’esprit. Le reste est indicible, comme la vérité, comme l’amour, comme le passage d’une vie à L’autre. [2]. Tu reprends leur souffle, ils expirent et retournent à leur poussière. Tu envoies ton souffle : ils sont créés ; tu renouvelles la face de la terre. Jésus, la vie quotidienne, notre orientation de fond : ne voyez-vous pas que tout ce qui entre dans l’homme, en venant du dehors, ne peut pas le rendre impur, parce que cela n’entre pas dans le cœur, mais dans son vengtre, pour être élilminé… ce qui sort de l’homme, c’est cela qui le rend impur, car c’est du dedans, du cœur de l’homme, que sortent les pensées perverses. Commentaire décisif de ce tournant dans le développement de la création : la liberté humaine. Tu peux manger les fruits de tous les arbres du jardin, mais quant à l’arbre de la connaissance du bien et du mal, tu n’en mangeras pas, car, le jour où tu en mangeras, tu seras condamné à mourir. La nourriture du dehors n’atteignant que le ventre, la pensée et l’acceptation de la suggestion du « serpent » venant du cœur et notre condamnation, solidaire, à la difficulté, au cheminement, à la mort et à toutes angoisses quotidiennes qui sont pires que celle-ci. De discernement qu’en Dieu, de Dieu. Gratification, ce qui n’est tout de même pas secondaire : tu donnes et eux ils ramassent ; tu ouvres la main et ils sont comblés. Ne fut pas interdit et le dialogue d’Eve avec le « serpent » n’en traita pas : l’arbre de vie au milieu du jardin. Le tout au travail et à la garde de l’homme, sens toitalement déviyé aujourd’hui du travail, à la fois parce que ce facteur économique est méprisé et parce que les métiers, les savoir-faire et donc savoir-être au sein desquels déployer l’activité de travail ne sont plus une vocation. La personne est niée deux fois : elle ne compte pas ou seulement en soustraction à opérer du bilan, elle n’est pas à honorer selon son exceptionnalité.
matin
Je reviens au spectacle télévisé d’hier soir sur presque toutes les « chaînes », la discussion abondante sur ce qui dans un voyage dit privé d’une personne qui a passé sa vie à attendre d’être une personne publique, qui a gâché l’existence des siens et qui s’est soi-même abîmé à force d’ambitionner et de compromettre pour enfin… sur ce que l’on paye de ses deniers et sur ce que l’on peut se faire offrir. Désolant à deux points de vue. Le premier porte sur la question. Elle ne devrait pas se poser ni pour l’opinion ni pour ces pauvres gens maintenant cernés mais qui ne démissionneront toujours pas parce qu’ils ne voient pas le rapport, parce qu’ils ne voient pas le problème, parce qu’ils ne le font ni exprès ni méchammant (alors que des autres, et surtout des concitoyens leurs administrés, ils exigent tout à commencer par leur portefeuille, les contre-danses de stationnement passent à 17 euros pour détruire la compétitivité avec les tickets d’horodateurs, et à continuer par l’impôt des pauvres, la T.V.A.). Tout simplement, la règle posée par de Gaulle : on ne prend pas de vacances à l’étranger, on ne se rend à l’étranger qu’en voyage officiel ou en visite de travail. Au passage, les précédents : VGE a « sauté » pour les diamants de Bokassa qui ne devaient pas valoir grand’chose et Mitterrand au grand hôtel des cataractes ou assimilé, y allait pour Mazarine, et n’étant plus au pouvoir. Au passage, la cécité de ces touristes qui n’ont rien « humé » de l’air du temps en Tunisie ni en Egypte, et évidemment tous ces vacanciers à Marrakech, Sarkozy compris.
Second point de vue. Pendant qu’on est occupé à cela ou à discuter du bien-fondé de l’émeute des juges et des gendarmes, on n’étudie pas l’événement majeur de ces jours-ci : la proposition allemande, déguisée en proposition franco-allemande d’une nouvelle donne européenne, après les critères de Maasttricht pourtant pas respectés, y compris par l’Allemagne, il y a quatre et cinq ans, un tour de vis supplémentaire sans cependant que l’intégration soit en profondeur : en politique, en défense, en patriotisme, elle ne l’est, dans la proposition, que comptable.
Je vois là un suivisme français depuis que de Gaulle est parti. Le suivisme vis-à-vis de la Grande-Bretagne : Pompidou et Mitterrand, l’adhésion britannique sans conditions européennes et l’exception budgéaire accprdée en 1984 à Thatcher. Puis le suivisme vis-à-vis de l’Allemagne : Mitterrand et Sarkozy, Mitterrand par peur aussi bien en 1982 (les euro-missiles) qu’en 1989-1990 (la réunification payée par Maastricht ce qui n’avantageait finalement que l’Allemagne), Sarkozy pour camoufler ses exactions notamment fiscales et pour les retraites et la durée du travail en convergence franco-allemande. Ce qui n’est d’ailleurs pas vérifié. L’Europe a fonctionné à l’avantage de tous quand elle a été d’inspiration française âprement négociée et marchandée avec l’Alelmagne et ayant en perspective l’incitation de la France à la compétitivité économique et plus encore de l’ensemble de nos partenaires à l’indépendance vis-à-vis de l’hégémonie du moment, quelle qu’elle soit. On en est loin. Tout est à reprendre.
[1] - ----- Original Message -----
From: Pétition Publique
To: b.fdef@wanadoo.fr
Sent: Tuesday, February 08, 2011 9:16 PM
Subject: Béatrice Romand lui a envoyé la pétition suivante.
Chers amis, Je viens de lire et de signer cette pétition en ligne: «contre l'érotisation des images d'enfants dans toutes les formes de publicités» http://www.petitionpublique.fr/?pi=P2011N6214 Personnellement, je suis d'accord avec cette pétition et je crois que tu peux l'être aussi. Souscris à la pétition ici http://www.petitionpublique.fr/?pi=P2011N6214 et divulgue-la auprès de tes contacts. Merci.Béatrice Romand
Ce message vous a été envoyé par Béatrice Romand (bearomand@gmail.com), par l'intermédiaire du service http://www.petitionpublique.fr au sujet de la pétition http://www.petitionpublique.fr/?pi=P2011N6214
----- Original Message -----
From: Bertrand Fessard de Foucault
To: bearomand@gmail.com
Sent: Wednesday, February 09, 2011 10:01 AM
Subject: Re: Béatrice Romand lui a envoyé la pétition suivante.
Le flot ne fait ni la mer ni la marée. Je parle du flot de pétitions, toujours autour de "la vie" et jamais pour la vie des gens qui souffrent : la misère, l'exclusion, l'expulsion.
Qui êtes-vous ? comment avez-vous eu mon adresse électronique ?
[2] - Genèse VII 4 à 17 passim ; psaume CIV ; évangile selon saint Marc VII 14 à 23
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