mercredi 20 mars 2013

" la maladie du pouvoir " - nos présidents quand ils sont malades . enquête télévisée

sera mieux mis au net

21 heures 58 + Claude GUBLER témoignant de son désarroi : la santé du PR, il cherche à s’en ouvrir à l’entourage. Publication le grand secret. Radié à vie de leordre des médecins. Quatre ans après JC  . 2004 : la Cour européenne condamne la France, la santé d’un président ne lui appartient pas mais à tout un peuple. La maladie du pouvoir pat Philippe KOHLY. – GP : Reykjavick, cette fièvre qui ne s’arrête jamais et dédorme le visage du PR, DUHAMEL : un déni permnent de son entourage, Alan PEYREFITTE, conscience de la fonction. Juin 1973, reçoit Leonid BREJNEV, visage. Michèle COTTA regardant GP à la muraille de Chine et celui-ci lui rendant son regard : grâce  Pas hospitalisé, affronte son mal à l’insu de tous, quai de Béthune. Témoignage EB, y va tous les jours. GIESBERT reçoit confidence de PONIATOWSKI, ne pasera pas l’été..

22 heures 25 + GUBLER, très vieilli, mais à son avangtage. Pronostic vital entre trois mois et trois ans. Perfusion d’hormones tous les matins : je suis censé venir rue de Bièvre traiter des rhumaatismes. La rumeur d’une scintigraphie au Val de Grâce. COTTA et DESGRAUPES l’interviewent sur sa sanyté. C’est le FM des année 60, en image et en voix. On est en 1981-1982. GUBLER commente qu’il ne sait pas alors si l’on a trois mois devant soi. Il suggère qu’il n’y ait pas de bulletin. FM l’ayant promis le veut. « Le mensonge est institué », « j’ai été pris comme une noix dans un casse-noisette ». La perfusion pendant six mois, un porte-manteau, le clou d’un.tableau. Sommet européen à Berlin, douleur dans le dos, « pb hydraulique ». La douleur passe, l’énergie se retrouve totalement : cancer métastasé dans les os. J’étais là parce qu’il fallait que je sois là, sa maladie n’existait plus, elle était dans la malette que je portais, j’étais devenu un gri-gri. – Se représenter en Mars 1988 : ce oui, timide et féminin. J’y ai assisté avec toute ubne palette du Quai d’Orsay, traitée par Jacquers BLOT, boulevard Inkermann à Neuilly. Décide de se représenter sans consulter ni STEEG ni GUBLER.  Tenir jusqu’au débat avec SEGUIN sur le traité de Maastricht : son texte excellent, les témoignages de Mazarine. Intervention chirurgicale le lendemain par STEEG « c’est un combat honorable à mener contre soi-même »… Photos du malaise à Séoul, que je n’avqis jamais vu, juste avant qu’il ne vienne « chez moi ». Le conseil de Robert MITTERRAND, consultation avec un professeur américain, cela ne donne rien. Nouvelle opération deux ans après la première, un rein sacrifié. CHARASSE : il n’aimait pas souffrir, mais il était courageux. – ELKABBACHE découvrant FM en gisant dans sa chambre. LAUVERGEON, on a tout eu. Faire face à une heure trois quarts de télévision. « Si quelque chose traverse le corps et d’une façon pénible »…  Les ambassadeurs, çà ne m’intéresse pas, les parapheurs du secrétaire général jetés à la figure de GUBLER. VEDRINE assure qu’il a toujours eu réponse ponctuelle et immédiate. Contradiction avec GUBLER, des compte-rendus existent, un carnet remis pas le groupe de sécurité du PR pendant huit jours. Il est alors sur lui-même. D’autres médecins et d’autres thérapies apparaissent : TARAUT, l’anesthésiste qui enferme le président, contre GUBLER. CHARASSE couchant dans la chambre à côté au su de FM. BADINTER admiratif mais le visage de la mort. COTTA, renvoi d’une France suspendue à une image, à une santé. BALLADUR, le pouvoir comme sa propriété. LAUVERGEON, avoir tout accompli. Mai 1995, record, deux septennats et quatorze ans de cancer.
CHIRAC : Septembre 2005, n’arrive pas à lire ses notes, emmené clandestinement au Val de Grâce. Etait trè_s convaincu de mourir d’une attaque comme son père, et jusques-là santé sans limite. COTTA, un homm terrassé. DdeV informé le lendemain à dix heures et NS à midi. DUHAMEL, lui-même deux AVC, atteste les symtômes, des comportements mécaniques, des erreurs d’expression, certainement plus les capacités.
SARKOZY. Malaise vagal.
Conclusions : DUHAMEL, aucun des trois GP-FM et JC n’a pris de décision importance dans sa dernière année. A la fin FM grand homme mais plus un bon président. GUBLER médecin de Danielle M. avant 1981 VIGNALOU, ami d’enfance de GP. GUBLER, un pion, là pour obéir. Colonel KALFON craignit de se faire manipuler. C’est toujours le polirique qui gagne. J’ai été magibalsié, perturbé, cela ma fait beaucoup de peine, je ne me suis pas suicidé..

L’examen médical par trois praticiens à date secrète chaque année, les conclusions seules données au Conseil constitutionnel. Imaginé par KALFON, récsié par VEDRINE, BALLADUR, le SG et gendre de JC.

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 Les deux documentaires politiques d’hier soir. Utiles et bien faits. D’abord, ils donnent chacun dans son sujet les témoins survivants ou accessibles, parmi lesquels des journalistes. Ils sont aussi le roman-vérité de la solitude dans laquelle plonge une addiction contractée par atavisme, imprudence ou autres données sans doute étudiées cas par cas mais que je ne connais pas : la relation au sexe, la relation au pouvoir que couvre et sublime la relation au devoir et à la fonction. Point commun entre ce qui paraît communément péché et héroisme, la manie sexuelle, l’exercice du pouvoir ou le maintien en place malgré la maladie et l’épreuve : le jugement est obscurci, la délibération n’est qu’intime., l’ambiance ne peut qu’accentuer l’entraînement à persister dans le même comportement. Après ces points communs d’évidence, quelques leçons : le pouvoir qu’aiment tant nos malades, GP, FM, JC et même NS, et qui les structurent, n’est pas forcément un absolu pour tout politique, vg. DSK. Sur celui-ci, l’atavisme de la « passion » pour la séduction, les femmes : père et grand-père, mais surtout la solitude, pas d’amis, pas de fratrie, l’enfermement par dissimulation. Raisons de l’emprise des communicants ? alors même que la politique n’est pas son but suprême ? Pourquoi NS lui a-t-il fait la courte échelle ? Sur l’ensemble de sa vie, je ne savais rien qu’un profil poltiique au demeurant flou, plutôt droitier, alors qu’il y avait certainement une fibre de gauche par extraction et meutrissures sociales et familiales et que, s’il n’y avait eu ce vice qui eut pu faire tourner l’exercice des fonctions présidentielles en cauchemar et vaudeville nationaux, nous avons perdu au personnage et à sa familiarité (sinon une véritable expertise qui ne m’a jamais paru) avec le sujets économiques et financiers, et avec les « grands » de ce monde. Dommage. Il reste que pendant vingt ans, il y a eu ce premier mariage, qu’Hélène et Brigitte demeurées dans l’anonymat et qui auraient pu se faire de l’argent avec du scandale et un  livre autrement intéressants que ce qui est paru depuis deux ans, sont certainement des femmes très bien et qui ont vécu des couples normaux, puisque ce ne sont pas elles qui ont quitté DSK. Et Anne SINCLAIR, d’âme banale hors ses dons de journaliste, a été grandie par la tragédie de ces deux ans. – L’autre documentaire, la maladie du pouvoir met en évidence notre dérive monocratique. Il faut du contrôle, y compris médical, il faut un exercice collégial ou au moins délibérant pour le pouvoir gouvernemental. EB ne peut à la fois soutenir GP et critiquer FM. La maladie obscurcissant le jugement et constituant un empêchement possible… sans doute par accaparement de la conscience de la personne au poivoir mais maitrisée par la souffrance et l’inquiétude, par modification des entourages, oui… mais l’addition au sexe, les conditions de la vie intime pèsent tout autant. NS a été plus que perturbé pendant la première année de son mandat par sa relation avec Cécilia, leur divorce, et l’entrée de Carla dans sa vie. Le mystère de l’affaire libyenne dont la guerre au Mali est une des conséquences, réside en partie dans de mystérieux engagements antérieurs à l’élection présidentielle, qui ne sont pas que le financement frauduleux de la campagne par des fonds libyens, mais le souci de reprendre Cécilia puis de l’occuper et de lui donner un rôle, ses voyages à Tripoli puis à Sofia, escortée âr GUEANT. Evidence qu’HOLLANDE est très gêné par sa séparation d’avec Ségolène et par sa relation avec une personnalité du genre de Valérie T. – Il ressort de tout cela la dignité du couple VGE grâce à Anne-Aymone ayant supporté des frasques, mais surtout l’exceptionnalité du général de GAULLE en mœurs et en santé. Notre déclin a sa raison profonde là : mœurs et santé déterminent en grande partie une liberté de pensée, une capacité de concentration mentale, d’écoute, de décentrement de soi, et la psychologie présidentielle contribue déécisivement à l’indépendance nationale et à l’arbitrage dans notre vie institutionnelle. L'habileté et le génie sont secondaires et même éclatants, ils sont inopérants quand l'homme, la femme un jour, qui nous président, animent en notre nom les outils publics, garantissent nos continuités et l'équité de l'ETat sont, en leur personne, en leur vie, défaillants, obscurcis, dépendants...  Tous ces éléments ne sont maintenant que faiblement, aléatoirement et pas exhaustivement réunis…



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