Mesures et décisions pour la reprise de
nous-mêmes
le principe de chacune est éminemment politique. Leur développement est
ici réduit au minimum. Le point commun est l’appui sur le peuple :
français, européen. L’objectif est de retrouver l’outil du bien commun :
l’Etat, et les moyens de l’exemplarité et de l’influence en Europe pour un
autre modèle économique et social, pour une indépendance perdue depuis 1945
face aux Etats-Unis et depuis le traité de Marrakech face aux « pays
émergents »
1° endettement public =
moratoire des dettes souveraines
moratoire des dettes souveraines
décidé dans le secret par les Etats membres en concertation avec les
Etats-Unis : commun intérêt à mettre fin à un assaut de dix à trente ans
de l’argent et de l’occulte contre la démocratie et la transparence ; leur
assaut ciblé sur le dernier obstacle, les Etats seuls à être démocratiques –
conséquences : n’ayant plus d’aliments, les banques et spéculateurs
reviendront aux bourses de valeurs et au financement de l’économie – face à la
coalition, au « lobbying », aux réseaux politiques et aux
infiltrations des banques et spéculateurs dans les institutions de décision des
Etats, la coalition de ceux-ci pour les assécher et éventuellement punir
2° financement de la
dépense publique = emprunts citoyens
la fiscalité est contraignante et
à fonds perdus. L’emprunt souscrit par les personnes physiques suppose
naturellement la confiance dans le gouvernement et dans sa politique, mais il
est rémunéré (un taux possibe, supérieur à celui du livret A et inférieur à
ceux des marchés) – gage possible : les actifs nationalisés et les outils
du service public. Il est volontaire, civique
3° nationalisations ad
hoc et temporaires : pédagogie de l’entreprise, bien commun
= toute entreprise, de quelque
objet soit-elle, que la cupidité ou les erreurs stratégiques de ses dirigeants
mettent en péril ou en faillite (« technique » loisible aussi pour
des collectivités territoriales) – les nouveaux dirigeants nommés par
l’actionnaire public sont choisis parmi les salariés ou/et personnels
licenciés, la vie de l’entreprise est menée par
le comité d’entreprise, dont l’Etat fait désormais partie –
indemnisations tenant compte des concours antérieurs de l’Etat vg. banques,
automobile, sidérurgie
par principe : nationalisation
des banques pour leur rééducation à la transformation des dépôts en
investissements productifs – pour une période coincidant avec la durée de la
crise – retour ensuite de certaines au secteur « privé », moyennant
cahier des charges ou concession
nationalisation de l’énergie et
des entreprises précédemment publiques : pérenne pour retrouver du service
public (postes, transports ferroviaires, réseaux d’autoroutes & tunnels, gaz,
électricité) mais les secteurs restent ouverts à la concurrence
intra-européenne
4° rétablir la sincérité de
l’option démocratique
a . quorum de participants
physiques pour toute votation publique (rerefendum, élections ntionales et
locales, procédures parlementaires et dans les assemblées locales de tout
niveau)
b . institution du vote blanc,
comptant comme suffrage exprimé
c . vote obligatoire (avec
pénalités financières pour toute votation et élection publique nationale et
locale)
d . retour à l’ancienne
obligation de revenir devant les électeurs pour les minuistres antéreurement
parlementaires
e . faciliter l’initiative populaire du
referendum
f . droit de vote à seize ans
(majorité pénale)
5° démocratiser et
signifier l’Europe
a . élection directe du président de l’Union par l’ensemble des
citoyens de l’Union
b . pouvoirs référendaires
accordées à ce président dans les matières prévues par le traité
(préférablement appelé : loi fondamentale)
c . réécriture de la loi
fondamentale européenne prévoyant notamment a & b, ainsi que
souveraineté des Etats membres pour
l’organisation de leurs services et entreprises publics
à l’instar de la société ce droit
européen, définition juridique et modalités d’un secteur public européen
distinct des secteurs publicss nationaux ou régionaux : critère = pussance
et inépendance de l’Europe
droit de sécession des Etats
membres (cf. projet de Constitution pour l’Europe)
d . en conséqunce, pouvoirs constituants
au Parlement européen à élire en Mai 2014
e . soutiens préférentiels des
Etats et de l’Union pour des listes transnationales (déjà possibles)
6° remplacer le traité de
Marrakech : toutes pratiques mondialistes en économie, finances et
commerce par un accord général entre
zones de cohésion sociale et fiscale = protectionnisme européen
l’Europe est à la merci des
prédateurs de tout marché de consommation et, en perdant ses industries, perd
ses savoir-faires et ses avances technologiques = la vraie compétitivité est là
vis-à-vis des tricheurs
7° réinventer un service
national universel (garçons et filles), sans dispense ni sursis, obligatoire
quelques mois d’enseignement
militaire = défense opérationnelle du territoire, mis à jour par périodes
courtes mais obligatoires, sauf modulation des dates jusqu’à un âge à
déterminer, différent selon les sexes
reste du temps de service :
civique = coopération, principalement en Afrique subsaharienne anciennement
française (assistance technique, propagation de l’esprit démocratique dans la
jeunesse locale, désintéressement financier)
8° réinvention de la
planification « souple à la française »
le redressement – en France – des institutions économiques et
démocratiques doit faire choc dans les opinions publiques européennes, elles
feront pression sur leurs dirigeants : mondialisme et Europe gérée à
l’intergouvernemental nous ont mis à genoux
la proposition d’Europe distingue la France et le parti socialiste pour
le prochain scrutin
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