Lundi
23 Décembre 2013
Prier… quand arriva le moment où Elisabeth devait enfanter, elle
mit au mlonde un fils. Sses voisins et sa famille apprirent que le Seigneur lui
avait prodigué sa miséricorde, et ils se réjouissaient avec elle. [1]
cela « sonne » comme les
paraboles e la drachme perdue ou de la brebis égarée, la joie céleste et les
anges quand se convertit un pécheur. C’est en nommant son fils, selon les
indications divines, que Zacharie recouvre la parole. La crainte saisit alors les gens… on racontait tous ces
événements. Tous ceux qui les apprenaient en étaient frappés… écho aussi
des réactions de foule, d’ambiance et de propagation de prodigieuses nouvelles
quand Jésus opère un miracle. Le final étant toujours une interrogation sur le
sens, sur l’identité. Le prophète Malachie annonce qui hantera les
contemporains de Jésus, un retour d’Elie : voici que je vais vous
envoyer Elie le prophète, avant que vienne le jour du Seigneur, jour grand et
redoutable, et il laisse prévoir comme
œuvre propre à celui-ci l’exact contraire d’une des paroles terribles du Christ
divisant les familles : il ramènera le cœur des pères vers leurs fils,
et le cœur des fils vers leurs pères. Mais
le mystère immense, la vision grandiose et finale est cette succession de
venues, de précurseurs et celle de ieu Lui-même : voici que j’envoie
mon Messager pour qu’il prépare le chemin devant moi ; et soudain viendra
dans son Temple le Seigneur que vous cherchez. Le Messager de l’Alliance que
vous désirez, le voici qui vient… Une
attente, notre attente plongeant ses racines dans une promesse, une histoire
mais aussi dans notre psychologie et notre nature. Quelque chose, quelqu’un,
des circonstances nous dépassant infiniment et impressionnant : qui
pourra soutenir le jour de sa venue ? Qui pourra rester debout lorsqu’il
se montrera… pour que je ne vienne pas frapper le pays de malédiction. Cette venue, ces venues sont d’abord un
réagencement de tout, un jugement aussi. Notre attente est sensée, car l’heure
sera décisive. Nous le ressentons d’ailleurs dès que nous « sortons la
tête de l’eau » au fil des jours.
fin
d’après-midi
Il
se passe tous ces jours-ci, non des événements, mais des faits indiquant des
évolutions, des tendances et donc que des événements peuvent vraiment survenir.
Le
cœur artificiel implanté chez un patient de 75 ans, cla en France, première
mondiale. Nous restons « quelque chose » quand c’est affaire quasi-individuelle.
Libération de Khodorkowski libéré « parce que Poutine n’a plus peur de lui » :
il choisit de passer sa première nuit à Berlin. Conseil européen sur la
sécurité et la défense : rien. Merkel isolée sur d’éventuels pactes de
réformes (économiques, financières et surtout budgétaires) entre les Etats et la Commission. L’Allemagne
dominant par le militaire, et maintenant par le chantage monétaire. Ce n’est
pas l’Europe, là est un premier danger grave et peut-être imminent.
Le
second est l’ambiance de guerre de religions partout. L’affaire de Centrafrique
est différente de celle du Mali. On a remis en place un pouvoir élu et d’une
certaine légitimité. En Afrique centrale : Tchad et Centrafrique, c’est le
débat entre chrétiens et musulmans. En Europe, c’est la question des mœurs et
de la bio-éthique. L’Espagne
reviendrait sur la libéralisation de l’avortement. Quant à l’homosexualité qui
devrait ne regarder que sont qui en sont, elle reste un terrible discussion :
peine de mort ans beaucoup de pays au Moyen-Orient, prison à vie en Ouganda,
débat entre gouvernement et Cour suprême en Inde. Le point commun est de
considérer la loi civile comme secondaire et la loi prétendûment naturelle
comme supérieure.
Bien
évidemment, l’inversion de la courbe du chômage, si elle se constate d’ici la
fin de la semaine, sera infinitésimale. Aucune mesure dépendant de nous n’a été
prise, aucun diagnostic sur l’état du monde économique et financier n’a été
posé, donc aucune médication concertée n’est à l’œuvre.
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