Michel Barnier
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Michel Barnier |
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Négociateur en chef chargé de la préparation et de la conduite des négociations avec le Royaume-Uni |
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1er
octobre
2016 – 15
novembre
2019 |
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Président |
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Gouvernement |
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Prédécesseur |
Fonction créée |
Successeur |
Fonction supprimée |
10
février
2010 – 1er
novembre
2014 |
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Président |
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Prédécesseur |
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Successeur |
Elżbieta
Bieńkowska |
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Président |
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Président |
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Prédécesseur |
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Successeur |
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13
septembre
1999 – 31
mars
2004 |
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Président |
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Gouvernement |
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Prédécesseur |
Monika Wulf-Mathies |
Successeur |
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Élection |
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Circonscription |
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Élection |
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Circonscription |
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Président |
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Gouvernement |
Alain Juppé I et II |
Prédécesseur |
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Successeur |
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Président |
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Gouvernement |
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Prédécesseur |
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Successeur |
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Président du conseil général de la Savoie |
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Prédécesseur |
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Successeur |
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Circonscription |
2e
de la Savoie (1978-1986) |
Législature |
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Prédécesseur |
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Conseiller général de la Savoie |
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Circonscription |
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Prédécesseur |
Alexis Borrel |
Successeur |
Jacqueline Poletti |
Biographie |
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Nom de naissance |
Michel Bernard Barnier |
Date de naissance |
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Lieu de naissance |
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Nationalité |
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Parti politique |
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Diplômé de |
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Michel Barnier, né le 9 janvier 1951 à La Tronche (Isère), est un homme politique français.
Membre du RPR, de l’UMP puis de LR, il s'engage en politique d'abord en Savoie, puis au niveau national et européen. Il est élu député français pour la première fois en 1978.
Après avoir été plusieurs fois ministre (Environnement, Affaires européennes, Affaires étrangères, Agriculture et Alimentation) et deux fois commissaire européen (Politique régionale puis Marché intérieur et Services financiers), il est à partir de 2016 négociateur en chef pour l'Union européenne chargé de mener les négociations liées au Brexit puis prend la tête de la force opérationnelle formée pour finaliser celles-ci et négocier les futures relations avec le Royaume-Uni.
Sommaire
Origines et formation
Fils de Jean Barnier, artisan maroquinier savoyard1, et de son épouse Denise Durand, Michel Barnier est militant dès l'âge de 14 ans dans le mouvement gaulliste. Après des études secondaires au lycée Jean-Moulin d'Albertville puis au lycée du Parc à Lyon, Michel Bernard Barnier fait ses études supérieures à l’École supérieure de commerce de Paris dont il sort diplômé en 1972 (dans la même promotion que Jean-Pierre Raffarin).
Parcours politique
Débuts et ascension
Il se consacre ensuite à la politique. Il est successivement chargé de mission au cabinet de Robert Poujade, ministre de l'Environnement (1973-1974), conseiller général de Savoie pour le canton de Bourg-Saint-Maurice (1973-1999), chargé de mission au cabinet de Pierre Mazeaud, secrétaire d'État chargé de la Jeunesse et des Sports (1974-1976), conseiller technique au cabinet d'Antoine Rufenacht, secrétaire d'État auprès du Premier ministre (1976-1977), puis secrétaire d'État au Commerce et à l'Artisanat (1977-1978).
Il est élu député de la Savoie à l’issue des élections législatives de 1978. À 27 ans, il est le plus jeune député dans l'hémicycle.
En 1982, afin de reprendre le conseil général de la Savoie à la gauche, une entente politique prenant le nom d'Union pour la Savoie entre la droite et le centre est passée, sous l'égide, entre autres, de Michel Barnier, et procède à la distribution des investitures aux cantonales.
Dès son élection à la présidence du conseil général, en mars 1982, Michel Barnier s’engage avec le triple champion olympique Jean-Claude Killy dans la candidature et l'organisation des XVIe Jeux olympiques d'Albertville et de la Savoie, qui auront lieu en 1992.
Ministre de l'Environnement
Attentif au défi écologique Michel Barnier engage dès 1986 une politique volontariste et globale de protection de l’environnement en Savoie. Il publie en 1990 un rapport parlementaire : Chacun pour tous et cent propositions pour l’environnement (Éditions Stock - 1990). Il est nommé ministre de l’Environnement du gouvernement Balladur en mars 1993, et fait voter entre autres la loi Barnier, qui comprend entre autres la création de la Commission nationale du débat public pour les grands projets d’infrastructures et instaure le début du principe de précaution.
Ministre délégué aux Affaires européennes
La construction européenne, autre engagement fort de sa carrière, le conduit au ministère délégué aux Affaires européennes de 1995 à 1997. À ce titre, il est le chef de la délégation française pour la négociation du Traité d'Amsterdam. Michel Barnier s’attache alors, au sein du gouvernement, à deux priorités : la présence française dans tous les pays d’Europe centrale, orientale et balte et l’explication de l’Europe aux citoyens.
Commissaire européen
Nommé commissaire européen le 16 septembre 1999, il a la responsabilité d’animer la politique régionale et de cohésion et est chargé, par ailleurs, de la réforme des institutions et de la Convention européenne sur l’avenir de l’Union. Lors du Conseil européen de Laeken, le 14 décembre 2001, il est désigné avec son collègue António Vitorino pour représenter la Commission au sein du Présidium de la Convention sur l’avenir de l’Union présidée par Valéry Giscard d'Estaing. La Convention s’est fixée pour objectif d’élaborer une proposition de Constitution pour l’Union européenne, la plus simple et lisible possible, qui lui permette de répondre aux enjeux de l’élargissement tout en renforçant sa dimension politique. C’est dans ce cadre que Michel Barnier se voit confier la présidence du groupe de travail sur la défense européenne.
En 2003, il fonde un club politique nommé « Nouvelle République », dont l'objectif est de faire dialoguer entre eux les décideurs politiques, les chefs d'entreprises et les membres de la société civile de tous bords et d'ouvrir le débat français aux idées européennes et internationales.
Ministre des Affaires étrangères
Il est nommé ministre des Affaires étrangères dans le troisième gouvernement de Jean-Pierre Raffarin le 31 mars 2004, lors du remaniement après la défaite de la droite aux élections régionales des 21 et 28 mars.
L'enlèvement de deux journalistes, Christian Chesnot et Georges Malbrunot, par un groupe terroriste en Irak, le conduit dans les pays du Proche-Orient en août - septembre 2004, pour conduire, avec les services de l'État, les négociations afin d'obtenir leur libération qui a lieu après 124 jours de captivité, le 21 décembre 2004. En tant que ministre des Affaires étrangères, il est également impliqué dans l'action diplomatique française visant la libération de Florence Aubenas. Celle-ci est libérée après 157 jours de captivité.
N'appartenant pas au gouvernement Dominique de Villepin en 2005, il est nommé au Conseil d'État à compter du 15 septembre 2005, au tour extérieur par décret du 23 juillet 2005.
Ministre de l'Agriculture
Michel Barnier et Colin Powell en 2004.
En février 2006, il devient vice-président du groupe Mérieux Alliance (holding regroupe un ensemble de sociétés dans le domaine de la biologie). Aux côtés d'Alain Mérieux, il est chargé d'animer les relations avec les grands organismes de santé internationaux, les instances économiques et financières, les acteurs du développement mondial. Il quitte ses fonctions en juin 2007, lors de son entrée au gouvernement.
En 2006, Michel Barnier est également conseiller spécial du président de la Commission européenne, José Manuel Durão Barroso. Il présente le 9 mai 2006 au Conseil européen un rapport proposant la création d’une force européenne de protection civile2.
Il est membre du groupe Amato, qui permet de rédiger un projet du traité modificatif jusqu'au 4 juin 2007.
Devenu le 6 mars 2006 conseiller politique de l'UMP, il se rapproche de Nicolas Sarkozy et lui apporte son soutien lors de la campagne pour l'élection présidentielle en 2007.
Le 19 juin 2007, il est nommé, à la suite des élections législatives, ministre de l'Agriculture et de la Pêche du gouvernement François Fillon II.
Il est également vice-président du Parti populaire européen (PPE). Il est réélu à cette fonction fin octobre 2012 avec l'irlandaise Lucinda Creighton.
Député européen
Le 2 novembre 2007, il annonce qu'il sera candidat aux élections européennes de 2009, et le 24 janvier 2009, le conseil national de l'UMP le désigne comme tête de liste pour la circonscription Île-de-France, avec Rachida Dati en deuxième position sur sa liste. Celle-ci arrive en tête en réunissant 29,60 % des voix3. Après son élection comme député européen, il devient président de la délégation française au groupe du PPE.
Commissaire européen au marché intérieur
Michel Barnier et Angela Merkel en 2009.
De 2010 à 2014, il est commissaire européen au Marché intérieur et aux Services.
Il est candidat à la candidature au sein du PPE afin de mener la liste du parti aux élections européennes de 2014 et donc de briguer le poste de président de la Commission européenne en cas de victoire. Il est toutefois battu par l'ancien Premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker4. Peu après sort l'ouvrage Se reposer ou être libre, qui décline le projet européen qu'il avait prévu en cas de victoire, puis il se déclare en octobre 2014 candidat pour être tête de liste UMP lors des élections régionales dans la future Auvergne-Rhône-Alpes en décembre 20155. Le 5 février 2015, c'est finalement Laurent Wauquiez, secrétaire général de l'UMP, qui lui est préféré par la commission d'investiture du parti6. Il soutient Bruno Le Maire pour la primaire française de la droite et du centre de 20167.
Conseiller spécial européen
En février 2015, il est nommé par Jean-Claude Juncker conseiller spécial pour la politique de défense et de sécurité auprès de la Commission européenne. Le 27 juillet 2016, Jean-Claude Juncker le nomme négociateur en chef responsable du groupe de travail de la Commission chargé de la préparation et de la conduite des négociations avec le Royaume-Uni au titre de l'article 50 du traité sur l'Union européenne. Au vu des résultats du référendum sur l'appartenance du Royaume-Uni à l'Union européenne, Michel Barnier devra préparer et diriger les négociations sur les conditions du retrait du Royaume-Uni de l'Union européenne. Il entre en fonctions le 1er octobre 20168. Il convoite la fonction de président de la Commission européenne9.
Michel Barnier en 2019.
En 2016, la juge d’instruction française Sabine Kheris demande le renvoi devant la Cour de justice de la République de Michel Barnier, Dominique de Villepin et Michèle Alliot-Marie. Ces anciens ministres sont suspectés d'avoir permis l'exfiltration des mercenaires responsables de l'attaque contre le camp de Bouaké en 2004, faisant neuf morts parmi les soldats français. L'opération aurait visé à justifier une opération de riposte contre le gouvernement de Laurent Gbagbo dans le cadre de la crise en Côte d’Ivoire de 200410. Le 22 mars 2019, la commission des requêtes de la Cour de justice de la République rend son avis indiquant l’abandon des poursuites, rien ne montrant, après enquête, l’implication des anciens ministres11.
Son fils Nicolas se présente aux élections européennes de 2019 en Belgique, sur la liste du Mouvement réformateur (libéraux francophones)12,13.
Négociateur de l'UE pour le Brexit
Le 17 octobre 2019, à l'approche du Brexit, Michel Barnier est nommé pour un an à la fonction de représentant de l'UE chargé de la future relation avec le Royaume-Uni. Il est dans le même temps pressenti pour devenir commissaire européen mais Ursula von der Leyen se montre réticente à cette idée en raison de son poids politique et Emmanuel Macron du fait de son appartenance au PPE14.
À partir de début 2021, il manifeste des ambitions pour la présidence de la République française. Dans cette perspective, il fonde et prend la présidence d’un cercle de réflexion, nommé « Patriotes et européens », réunissant une quarantaine de députés et sénateurs LR pour réfléchir aux enjeux de souveraineté, économique notamment15. En mai 2021, il publie La Grande Illusion : journal secret du Brexit (2016-2021), un livre retraçant les négociations qu'il a menées en tant que négociateur en chef de l'UE pour le Brexit16. Le Canard enchainé indique qu’il aurait approché diverses personnalités de droite afin de leur proposer des ministères au sein de son gouvernement en échange de leur soutien, offrant notamment à François Baroin la fonction de Premier ministre17.
Détail des mandats et fonctions
Au niveau local
1973 - 1999 : conseiller général de la Savoie (élu dans le canton de Bourg-Saint-Maurice)
mars 1982 - septembre 1999 : président du conseil général de la Savoie
Au Parlement
3 avril 1978 - 1er mai 1993 : député de la Savoie
2 octobre 1995 - 31 octobre 1995 ; 22 septembre 1997 - 23 septembre 1999 : sénateur de la Savoie
Au Gouvernement
30 mars 1993 - 11 mai 1995 : ministre de l'Environnement
18 mai 1995 - 2 juin 1997 : ministre délégué aux Affaires européennes
31 mars 2004 - 31 mai 2005 : ministre des Affaires étrangères
19 juin 2007 - 23 juin 2009 : ministre de l'Agriculture et de la Pêche
Au niveau européen
13 septembre 1999 - 31 mars 2004 : commissaire européen à la Politique régionale
14 juillet 2009 - 10 février 2010 : député européen, président des députés européens PPE élus en France
10 février 2010 - 1er novembre 2014 : commissaire européen au Marché intérieur et aux Services
1er octobre 2016 - 15 novembre 2019 : négociateur en chef chargé de la préparation et de la conduite des négociations avec le Royaume-Uni
depuis le 16 novembre 2019 : chef de la force opérationnelle chargée de la finalisation des négociations, des travaux préparatoires liés à la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, ainsi que de la préparation et de la conduite des négociations sur les relations futures avec le Royaume-Uni
Au sein de partis politiques
À partir de 1984 : secrétaire général au RPR, chargé des élus départementaux
Jusqu’en 1999 : membre du bureau politique du RPR
À partir de 2003 : président fondateur du club Nouvelle République
À partir de 2006 : conseiller politique de Nicolas Sarkozy
À partir du 31 mars 2006 : vice-président du Parti populaire européen
À partir de 2008 : conseiller politique à l'UMP
Autres
Membre du conseil d'administration du think tank Les Amis de l'Europe
Membre du comité de l'Association Fraternité universelle (Haïti)
Membre du comité d'orientation de Notre Europe / Institut Jacques Delors
Membre de la commission de la durabilité et de l'héritage du Comité International Olympique
membre du comité stratégique de l'Université Saint-Joseph de Beyrouth
Membre du conseil stratégique du World Wide Fund for Nature (WWF) France
Cofondateur du club Dialogue & Initiative, présidé par Jean-Pierre Raffarin18
Membre du Advisory Board of the Berlin Security Conférence19
Ouvrages
Sortir l'Europe des idées reçues, Librairie Académique Perrin, 2005, 182 p. (ISBN 978-2262023645)
L'Europe cartes sur table, Acropole Belfond, 2008, 142 p. (ISBN 978-2735703029)
Se reposer ou être libre, Gallimard, 2014, 240 p. (ISBN 978-2070144907)
La Grande Illusion : journal secret du Brexit, Gallimard, 2021
Distinctions honorifiques
Décorations
Commandeur de l'ordre du Mérite maritime ex officio, en tant que ministre chargé des affaires maritimes20
Commandeur de l'ordre du Mérite de la république de Pologne
Médiatiques
Nommé Global Thinker par Foreign Policy en 201921
Nominations annexes
Notes et références
(en) Christine Ockrent, « Who is Michel Barnier? Meet the EU's chief Brexit negotiator », Prospect, 22 janvier 2018 (lire en ligne [archive], consulté le 26 octobre 2019)
(en) « The Commissioners - Profiles, Portfolios and Homepages » [archive], sur ec.europa.eu (consulté le 15 décembre 2015).
« Résultats des élections européennes 2009 » [archive], sur interieur.gouv.fr (consulté le 3 juillet 2019)
« Michel Barnier évincé de la course à la présidence de la Commission Européenne » [archive], sur leprogres.fr, 7 mars 2014 (consulté le 15 décembre 2015).
« Michel Barnier candidat à la future région Rhône-Alpes / Auvergne » [archive], sur lamontagne.fr, 20 octobre 2014 (consulté le 15 décembre 2015).
« Régionales : privé de primaire en Ile-de-France, Guaino menace de quitter l'UMP » [archive], sur Le Figaro, 6 février 2015 (consulté le 15 décembre 2015).
Dominique Gerbaud, « Michel Barnier : « J’ai choisi Bruno Le Maire pour 2017 » [archive], sur la-croix.com, 17 mars 2016.
« Le Président Juncker nomme Michel Barnier Négociateur en chef chargé de la préparation et de la conduite des négociations avec le Royaume-Uni au titre de l'article 50 du TUE » [archive], sur europa.eu, 27 juillet 2016.
George Parker et Alex Barker, « Rencontre avec les deux négociateurs du Brexit », Le nouvel économiste, 28 mars 2018 (lire en ligne [archive]).
« Soupçons sur la Cour pénale internationale », Le Monde diplomatique, 1er avril 2016 (lire en ligne [archive], consulté le 24 décembre 2017).
« Bombardement de Bouaké : Alliot-Marie, Villepin et Barnier échappent aux poursuites » [archive], sur Europe 1, 23 mai 2019 (consulté le 27 août 2019)
« Nicolas Barnier, le fils de Michel Barnier, sur la liste du MR se rêve député européen » [archive], sur lesoir.be, 14 mai 2019 (consulté le 27 août 2019)
« Nicolas Barnier : «Avant d’être un fils, je suis un candidat comme un autre» » [archive], sur www.lefigaro.fr, 29 mars 2019 (consulté le 3 juillet 2019)
« Remplacer Sylvie Goulard à Bruxelles : Thierry Breton favori de Macron… au risque d'un conflit d'intérêts » [archive], sur Marianne, 22 octobre 2019 (consulté le 4 février 2020)
« Michel Barnier présidera un groupe de réflexion » [archive], sur ouest-france.fr/, 16 février 2021.
« Présidentielle 2022 : le "trou de souris" de Michel Barnier » [archive], sur francetvinfo.fr, 30 mars 2021
France. « Décret no 2002-88 du 17 janvier 2002 relatif à l'ordre du Mérite maritime ». (version en vigueur : 22 novembre 2018) [lire en ligne [archive]].
(en) « Michel Barnier – FP’s Global Thinkers » [archive], sur Foreign Policy (consulté le 18 février 2019).
en) « Michel Barnier » [archive], sur ec.europa.eu (consulté le 17 octobre 2017)
Gouvernement Édouard Balladur (29 mars 1993 – 11 mai 1995) |
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Gouvernement Alain Juppé I (17 mai 1995 – 7 novembre 1995) |
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Gouvernement Alain Juppé II (7 novembre 1995 – 2 juin 1997) |
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Gouvernement Jean-Pierre Raffarin III (30 mars 2004 – 31 mai 2005) |
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Gouvernement François Fillon II (18 juin 2007 – 13 novembre 2010) jusqu'au remaniement du 18 mars 2008 |
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Gouvernement François Fillon II (18 juin 2007 – 13 novembre 2010) après le remaniement du 18 mars 2008 et jusqu'au remaniement du 23 juin 2009 |
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Ministres français de l'Écologie (depuis 1971) |
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Ministres français des Affaires étrangères (depuis 1871) |
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Ministres français de l'Agriculture (depuis 1871) |
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