lundi 15 mai 2017

formation du premier gouvernement d'Emmanuel Macron - Edouard Philippe, Premier ministre


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Gouvernement Édouard Philippe

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Gouvernement Édouard Philippe



Législature
Formation

Durée
0 jours
Composition initiale
REMMoDem
Représentation
1 / 577











Le gouvernement Édouard Philippe est le quarantième gouvernement de la Ve République française. Il s’agit du premier gouvernement formé sous la présidence d’Emmanuel Macron.

Sommaire

Contexte de formation

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Le 15 mai 2017, Édouard Philippe est nommé Premier ministre par le nouveau président Emmanuel Macron1,2, au lendemain de l’investiture de ce dernier3.

Composition initiale

Premier ministre

Ministres

Ministre
Titulaire

Secrétaires d’État

Galerie

Premier ministre

Image
Fonction
Nom
Parti
Édouard Philippe






Ministres

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Fonction
Nom
Parti

Notes et références

  1. BFMTV, « Qui est Edouard Philippe, juppéiste pressenti pour être Premier ministre ? » [archive], sur BFMTV (consulté le 11 mai 2017)
  2. « Matignon : Edouard Philippe, le choix de la « transgression » ? », 20minutes.fr,‎ 12 mai 2017 (lire en ligne [archive])
  3. « Edouard Philippe, le député-maire Les Républicains du Havre, est nommé Premier ministre », Franceinfo,‎ 15 mai 2017 (lire en ligne [archive])
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Gouvernement Édouard Philippe (à partir du 15 mai 2017)

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Gouvernement

Edouard Philippe Premier ministre : un cancre de l'Assemblée pour diriger la majorité de Macron

Publié le 15/05/2017 à 16:05
Edouard Philippe, nommé Premier ministre ce lundi 15 mai, est intervenu durant sa carrière de député... seulement dix fois dans le débat législatif. Assez loin de la "forte expérience de la vie politique, de l'art parlementaire" exigée par Emmanuel Macron pour entrer à Matignon.
Pour diriger sa majorité parlementaire, Emmanuel Macron a donc choisi... un cancre de l'Assemblée. En cinq ans, Edouard Philippe, le nouveau locataire de Matignon, ne s'est en effet pas tellement fait remarquer du côté du Palais Bourbon. Ou alors, plutôt par son absence ! Depuis sa première élection comme député, en 2012, il compte à son actif seulement dix interventions dans le débat législatif. Et sur les 404 textes adoptés par le Parlement au cours du dernier quinquennat, seuls six projets de loi ont retenu l'attention du maire du Havre !
Edouard Philippe ne peut pas non plus attester une grande présence en commission des lois, où sa technicité d'avocat et de conseiller d'Etat auraient pourtant pu être appréciées. Alors que celle-ci s'est réunie pas moins de 491 fois en cinq ans, le député-maire du Havre n'y est intervenu que 25 fois, soit un peu plus d'une fois toutes les 20 réunions. Et parfois pour seulement une phrase. Tout sauf un pilier des lieux... Quant aux amendements, ce mode d'élaboration de la loi cher aux parlementaires n'aura pas plus intéressé le nouveau chef du gouvernement. Durant sa carrière à l'Assemblée, il en a signé à peine... six, quand certains de ses collègues en sont à des dizaines de milliers. De quoi le classer parmi les 100 députés les moins assidus, selon l'observatoire citoyen nosdéputés.fr.

"Il faudra qu'il ou elle ait une forte expérience de l'art parlementaire"

Ces états de service apparaissent particulièrement minces au regard du profil qu'Emmanuel Macron avait dessiné pour Matignon. Plusieurs fois, le président de la République a expliqué vouloir nommer à la tête du gouvernement un parlementaire expérimenté, rompu aux mœurs du Parlement. "Il faudra qu'il ou elle ait une forte expérience de la vie politique, de l'art parlementaire", avait-il ainsi indiqué le 3 mars, lors d'une conférence de presse. Relancé le 5 mai, sur RTL, il a tenu le même discours, insistant sur une nécessaire "capacité à animer, justement, à diriger une équipe gouvernementale et une nouvelle majorité".
A l'évidence, Edouard Philippe ne pourra asseoir son autorité auprès d'une éventuelle majorité parlementaire sur son expérience de député. Mais sa nomination permet au chef de l'Etat d'envoyer un signal à la droite modérée, ce qui semble avoir compté double au moment du choix…

par Étienne Girard

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Emmanuel Macron a nommé ce lundi 15 mai au poste de Premier ministre le député-maire LR du Havre Edouard Philippe, 46 ans, fidèle de longue date d'Alain Juppé.
Premier ministre ? « Ça ne m’intéresse pas... » Ainsi Edouard Philippe balayait-il les rumeurs qui en faisaient le favori d’Alain Juppé pour Matignon, en septembre dernier. C’était pendant la primaire de la droite, lorsqu’il comptait parmi les plus proches soutiens du maire de Bordeaux. Il y a des années-lumières... Pour le député-maire Les Républicains du Havre, le petit manège avait repris ces derniers jours. Depuis l’élection d’Emmanuel Macron à l’Elysée, le camp du nouveau président faisait circuler son nom pour Matignon. Cette fois, Edouard Philippe s’était réfugié dans un silence prudent, signe que l’idée ne lui déplaisait pas. Bien au contraire... Dès le lendemain du premier tour, contrairement à toute une partie de la droite, il choisissait clairement son camp. Macron, « non seulement je voterai pour lui mais je l'aiderai à gagner », déclarait-il au Point.
A 46 ans, c’est un presque inconnu du grand public qui succède à Bernard Cazeneuve. Fidèle d’Alain Juppé depuis 2002 - et parfois moqué comme son clone rajeuni - ce grand amateur de boxe présente l’avantage de coller avec le « renouvellement » martelé pendant toute la campagne du nouveau président. Maire d’une grande ville, passé par Sciences Po et l’ENA, ce barbu connaît aussi le monde de l’entreprise, puisqu’il a été avocat, avant d’occuper le poste de directeur des affaires publiques d’Areva de 2007 à 2010. « Et en même temps », Edouard Philippe n’a jamais été ministre et n’a effectué qu’un seul mandat de député... Or, le 3 mars, Emmanuel Macron martelait que son futur Premier ministre devrait disposer d’« une forte expérience de la vie politique, de l'art parlementaire et de la capacité à gouverner les hommes ». Le nouveau locataire de Matignon saura-t-il endosser le rôle de patron d’une majorité encore incertaine ?
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www.europe1.fr

Ce que l’on sait (déjà) sur le futur gouvernement d'Édouard Philippe

18h27, le 15 mai 2017, modifié à 19h12, le 15 mai 2017
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Ce que l’on sait (déjà) sur le futur gouvernement d'Édouard PhilippeEdouard Philippe doit composer son gouvernement.@ joel SAGET / AFP

La composition du gouvernement d’Édouard Philippe, le premier du mandat d’Emmanuel Macron, doit être annoncée mardi en fin de journée.

CINQ CHOSES A SAVOIR
Après de longues heures d’attente, le secrétaire général de l’Élysée Alexis Kohler a finalement annoncé, lundi après-midi, la nomination par Emmanuel Macron du député-maire Les Républicains du Havre Édouard Philippe comme Premier ministre. Les deux hommes doivent désormais s’atteler à composer leur gouvernement pour diriger la France. Une quinzaine de ministres tout au plus, dont la moitié de femmes et un tiers venus de la société civile : Emmanuel Macron veut un gouvernement resserré et ouvert.
·         Le gouvernement annoncé mardi
Le juppéiste Édouard Philippe, 46 ans, a été nommé Premier ministre lundi après-midi, première étape de la "recomposition politique" souhaitée par le président Emmanuel Macron. La composition du gouvernement sera annoncée "mardi en fin de journée", a indiqué lundi le service de presse de l'Élysée. Si la tradition est respectée (aucun texte de loi ne l’oblige), c’est le secrétaire général de l’Élysée, Alexis Kohler, qui annoncera la composition du gouvernement, au palais présidentiel.
·         Qui nomme les ministres ?
La loi est claire sur ce point : "Sur la proposition du Premier ministre, le président de la République nomme les autres membres du gouvernement et met fin à leurs fonctions". Techniquement, c’est donc Édouard Philippe qui propose des noms. En réalité, la composition est souvent le fruit d’une discussion voire d’une tractation entre les deux plus hauts responsables de l’État.
Édouard Philippe devrait donc en discuter avec Emmanuel Macron, qui a des idées bien arrêtées sur les profils qu’il attend. Selon les dires du Président, le chef du gouvernement était choisi dès l’entre-deux tours. Il y a fort à parier que les deux hommes ont donc déjà commencé à réfléchir à leurs ministres. Cette dernière journée pourrait donc servir aux derniers ajustements.
·         Les critères d’Emmanuel Macron
Lors de la campagne, Emmanuel Macron avait esquissé les contours de son gouvernement. "Je ne ferai pas mon gouvernement avec les états-majors des partis politiques", avait prévenu l'ancien ministre de l'Économie lors d’une conférence de presse, en mars, en précisant qu'il serait "composé d'une quinzaine de ministres tout au plus, qui seront d'abord choisis pour leurs qualités et pour leur expérience (...) pas pour leur supposé poids politique". Contrairement à ses premières affirmations, Emmanuel Macron pourrait convoquer d’anciens ministres "qui sauront diriger une administration et conduire une politique publique".
Emmanuel Macron avait ajouté que ces ministres seraient "issus pour une partie conséquente de la société civile, dans toute sa diversité." Raillant "une classe politique trop largement composée d'hommes de plus de 50 ans dont trop peu ont connu le monde du travail", celui qui était encore candidat à la présidentielle avait assuré que son équipe gouvernementale serait composée "pour moitié de femmes, y compris à des ministères de premiers plans". Il a par ailleurs affirmé vouloir "permettre à toutes les sensibilités politiques républicaines d'avoir une part dans la gestion du pays", sans pour autant former un gouvernement de coalition.
·         Les rumeurs vont bon train
En attendant mardi soir, les rumeurs fusent sur les prétendants aux différents ministères. Côté politiques, les piliers de La République en marche! reviennent régulièrement, comme le député Christophe Castaner, porte-parole du candidat pendant la campagne ou Richard Ferrand et Gérard Collomb, premiers socialistes à s’être ouvertement engagés pour Emmanuel Macron.
Si Emmanuel Macron et Édouard Philippe souhaitent de l’expérience, ils pourraient être tentés de se tourner vers Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense sous François Hollande dont le travail a été salué par le Président. Jean-Paul Delevoye, Bertrand Delanoë, François Bayrou, Jean-Louis Borloo, Xavier Bertrand et Jean-Pierre Raffarin sont aussi cités.
S’il respecte la règle de la parité, le nouveau gouvernement devra intégrer un certain nombre de femmes. Parmi les favorites, on retrouve les eurodéputées centristes Marielle de Sarnez et Sylvie Goulard et l’ex-ministre et actuelle patronne du FMI Christine Lagarde.
Enfin, le gouvernement réserve une belle place à la société civile, environ un tiers des postes. A ce jeu-là, l’ex-secrétaire générale de la CFDT Nicole Notat est pressentie au Travail. Emmanuel Macron pourrait aussi vouloir mettre en avant ceux qui l’ont accompagné pendant la campagne comme l’économiste Jean Pisani-Ferry, la communicante Axelle Tessandier, son conseiller Benjamin Griveaux, la spécialiste de l’agriculture Audrey Bourolleau, l’avocate Laetitia Avia…
·         Premier Conseil des ministres
La première photo de famille sera prise mercredi midi sur le perron de l’Élysée. Emmanuel Macron présidera son premier Conseil des ministres dans la matinée avant d’immortaliser son gouvernement avec une photo officielle "en rang d’oignons". Lors de cette réunion, Emmanuel Macron devrait, conformément à ses dires, donner des objectifs précis à ses ministres. "Ils seront en charge de leur administration avec une feuille de route claire, car il faut en finir avec un président responsable de tout", avait-il déclaré en mars.

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Transparence et assiduité : les deux accrocs du député Edouard Philippe

17h31, le 15 mai 2017, modifié à 18h44, le 15 mai 2017


Transparence et assiduité : les deux accrocs du député Edouard Philippe@ joel SAGET / AFP

Le nouveau Premier ministre a été député du Havre pendant cinq ans. Il a rechigné à publier son patrimoine et n’a pas été le plus actif des élus. 

Malgré sa faible notoriété, Edouard Philippe est loin d’être un novice en politique. Maire du Havre depuis 2010, le nouveau Premier ministre, nommé lundi par Emmanuel Macron, a aussi été député entre 2012 et 2017. Et dans l’hémicycle, il n’a pas forcément été exemplaire. D’abord parce qu’il a fait preuve de mauvaise volonté, assumée, au moment de devoir publier son patrimoine. Ensuite parce qu’il n’a pas été, loin s’en faut, l’élu le plus assidu.
·         Pas loin du bonnet d’âne
Selon un classement établi par le collectif Regards citoyens et relayé par Capital, Edouard Philippe se classe ainsi 478ème député le plus actif sur 504 ayant effectué un mandat complet. Dans le détail, le nouveau Premier ministre n’est intervenu qu’à dix reprises lors des différents débats législatifs concernant les 404 textes étudiés pendant la mandature, selon le calcul effectué par Marianne. Il n’a posé une question orale, lors des questions au gouvernement, que huit fois en cinq ans, et n’a déposé que six amendements, loin des milliers, voire dizaine de milliers, déposés par certains de ses collègues. Il n’a par ailleurs jamais rédigé la moindre proposition de loi.
Enfin, si sa présence en commission des lois faisait sens eu égard à sa formation de juriste de haut vol, Edouard Philippe n’y a pas été non plus très actif. Il ne s’est ainsi rendu qu’à 124 des 491 réunions de la commission. Il n’y a pris la parole qu’à 25 reprises. Et pas toujours pour des longues tirades, comme le montre le site nosdéputés.fr.
·         Pas un supporter de la transparence
On ne peut pas dire qu’Edouard Philippe soit un fervent supporter de la loi sur la transparence des élus adoptée après l’affaire Cahuzac. Prié, comme tous ses collègues, de déclarer la valeur de ses biens et ses revenus des années précédentes, celui qui était alors député-maire du Havre a fait montre d’une mauvaise volonté certaine. Si bien qu’il a même écopé d’un blâme de la part de la Haute autorité sur la transparence de la vie publique, sans conséquence judiciaire toutefois.
"Aucune idée". Mediapart a révélé vendredi les réponses formulées quant à ses biens. Pour son appartement à Paris, ses parts dans une résidence en Seine-Maritime et une propriété en Indre-et-Loire, à chaque fois la même réponse : "aucune idée". Quant à ses déclarations de revenus "à date de l’élection" alors qu’il devait indiquer des montants, il a préféré des réponses écrites. Ses indemnités de maire du Havre et de député ? "Evidemment dans le respect et sous le plafond fixé par la loi", écrit-il. Ses émoluments d’avocat ? "Je ne suis pas certain de comprendre la question. Vous voulez connaître mon taux horaire au jour de l’élection ? Ma rémunération mensuelle moyenne ? Annuelle ?", répond-il avec une certaine provocation.
Quant aux revenus des cinq dernières années, Edouard Philippe fait l’impasse. Il indique bien son activité de directeur des Affaires publiques d’Areva, entre 2007 et 2010 et d’avocat, entre 2011 et 2012, mais en face de ces mentions, il laisse un blanc. Et se contente à nouveau d’imprécisions sur ses indemnités de conseiller général de Seine-Maritime (2008-2012) et de "romancier", pour L’heure de Vérité et Dans l’ombre, écrits avec Gilles Boyer.
"Mauvaise humeur". Interrogé par Mediapart, Edouard Philippe assume. "Comme beaucoup de parlementaires sans doute, j’ai essayé de concilier le respect de la loi et une forme de mauvaise humeur", explique-t-il. Et s’il n’a pas réévalué ses biens, c’est parce que, assure-t-il, il "n’avait pas accès aux bases de données qui permettent une telle évaluation". Le site d’informations en ligne lui suggère qu’il aurait pu faire appel à des experts. "Je n’avais pas l’intention de vendre", glisse-t-il. Avant d’admettre, précise Mediapart, qu’il a finalement bel et bien revendu son appartement situé en Indre-et-Loire.

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Edouard Philippe : "la situation" implique de "tenter quelque chose qui n'a jamais été tenté"

20h17, le 15 mai 2017, modifié à 20h33, le 15 mai 2017

Edouard Philippe a refusé de parler d'"ouverture", lundi, sur TF1.@ Capture d'écran TF1

Sur TF1, lundi soir, le nouveau Premier ministre a estimé que sa nomination "n'est pas une politique d'ouverture", mais une "politique de recomposition".

"On y réfléchit bien, car ce n'est pas une décision qu'on prend à la légère", explique-t-il. Sur TF1, lundi soir, Edouard Philippe s'est expliqué sur sa nomination à Matignon, indiquant que "la situation" impliquait de "tenter quelque chose qui n'a jamais été tenté". "Emmanuel Macron a très vite compris qu'il fallait poursuivre" le mouvement de "recomposition politique" qui était selon lui celui d'En Marche!, refusant de parler "d'ouverture". "Je crois beaucoup à la légitimité des partis. Mais plus que le parti, il y a le pays", a-t-il poursuivi.
Pour le gouvernement, "des gens qui refusent le sectarisme". Lors de sa première interview avec le costume de Premier ministre sur les épaules, Edouard Philippe, 46 ans, a indiqué que la voie des ordonnances pour la réforme du droit du travail, "ce n'est pas le refus de la discussion". Il a également parlé du gouvernement qu'il était "en train de composer" : "le ciment, c'est qu'il faut recomposer la vie politique. (Le gouvernement) devra être rassembleur de compétences, (...) avec des gens qui refusent le sectarisme."
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Edouard Philippe : "la situation" implique de "tenter quelque chose qui n'a jamais été tenté"
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Législatives : la République en marche! publie une nouvelle liste avec 511 candidats
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Nomination d'Édouard Philippe : Macron affirme sa volonté de "recomposition politique"
  • 19h49
Borloo signe l'appel d'élus de droite à saisir "la main tendue" de Macron
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Zone euro : Merkel et Macron prêts à un changement de traité européen si nécessaire
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Nathalie Kosciusko-Morizet signe l'appel d'élus de droite à saisir "la main tendue" de Macron



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