dimanche 29 mai 2016

adressé à l'Elysée - loubardise, recel et très hautes responsabilités financières nationales

Cher ami, Monsieur le Secrétaire général,

je constate la stérilité actuelle du "couple franco-allemand", incapable de trouver même une symbolique de plus à ce que sont les deux pays l'un pour l'autre depuis leurs terribles étreintes : ce matin, à Verdun.

Je prends au sérieux la dégénérescence de notre République par les parcours personnels et le mélange des genres, comme s'il devenait français de tirer parti individuellement du service public quand on en a une part de responsabilité. Que l'actuel gouverneur de la Banque de France - Yves Villeroy de Galhau, ex-DGI, catholique d'étiquette (Messier faisait aussi la couverture de Famille chrétienne) - ne puisse échapper que grâce à une discussion sur la prescription, à l'inculpation pour parjure commis quand, entre deux positions publiques, il dirigeait la Banque Nationale de Paris et assurait autant que la Société générale ne diriger aucun client vers des paradis fiscaux... que le directeur du Trésor (Bruno Bézard, donc) pantoufle et se mette au service d'un milliardaire chinois établi à New-York et rachetant du non-coté... avec probable mise à disposition des fonds de la B.P.I. ! m'épouvante. Nous en sommes là.

Tandis que le "mouvement social actuel" va servir d'excuse au non-rebond de la croissance et à la faillite de notre ensemble nucléaire, alors que... Proglio et Lauvergeon... la Chine et la françafrique...
et que Emmanuel Macron, Jean-Christophe Cambadélis ont chacun leur jeu, leur sigle et leurs troupes ?

Quel dépeçage : notre patrimoine ... notre moralité... nos espérances quinquennales...


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