Samedi 22 Août 2015
Prier… la puissance du culte marial, si développé au
moins dans l’Eglise version catholique… [1]
quoiqu’ayant assez bien suivi les encycliques de Pie XII, le pape de mon
enfance, je ne me souvenais pas d’une encyclique ad hoc, mais sa piété mariale
m’était familière. Elle n’est cependant pas encore devenue mienne, alors
qu’elle caractérise la plupart des saints, hommes autant que femmes, et de nos
jours Jean Paul II. En demander la grâce, quoique dans notre prière de chaque
soir, Marguerite et moi, nous ne manquions pas le Je vous salue, Marie. Une
de ses humbles préfigurations, Ruth : pourquoi ai-je trouvé grâce à
tes yeux ? pourquoi t’intéresser à moi ? moi qui suis étrangère ?
Réponse de Booz : sur titre. Noémi,
la grand-mère, veuve, prit l’enfant, le mit sur son sein et se chargea de
l’élever. Bénédictions des
voisines : cet enfant te fera revivre, il sera l’appui de ta
vieillesse : il est né de ta belle-fille qui t’aime, et qui vaut mieux
pour toi que sept fils. Les hiérarchies,
valeurs de l’amour bouleversent les schémas sociaux. L’amour, une irrigation
tout autre et qui transforme tout. Probablement là le secret marial mais que
peuvent voiler l’humilité de la servante, la banalité de la condition humaine
et aussi le mystère de la conception virginale dont découle logiquement sa
propre immaculée conception. Marie ou l’amour tel qu’il est
tout-puissant : le fiat
détermine l’incarnation du Fils de Dieu et enfantera l’Eglise autant que la
crucifixion du Christ. La condamnation des enseignants contemporains du
Christ : les scribes et les pharisiens enseignent dans la chaire de
Moïse… tout ce qu’ils peuvent vous dire, faites-le et observez-le, mais
n’agissez pas d’après leurs actes, car ils disent et ne font pas. Sans l’amour, le vide, pas seulement ce que
pleure et déplore le chagrin de celle ou de celui à qui il n’est pas répondu ou
devant qui s’élève le mur de l’impossible, mais le vrai vide de la stérilité,
du non-sens, de l’inertie, de la totale impuissance sur les événements et le
monde et nous-mêmes alors que l’univers, en même temps que nous étions créés et
que chacun de nous vient à cette vie, nous est confié… [2] Qui
nous donne d’aimer, une fois assouvis ou empêchés la fascination par la beauté
ou la prédation par désir entre humains ou en toutes choses ? la grâce, la
prédilection divines. Tu te nourriras du travail de tes mains :
heureux es-tu ! A toi le bonheur. Ta femme sera dans ta maison comme une
vigne généreuse, et tes fils, autour de la table, comme des plans d’olivier… tu
verras le bonheur de Jérusalem tous les jours de ta vie. Amen. Confiance et demande vont de même.
Prier… la puissance du culte marial, si développé au
moins dans l’Eglise version catholique… [3]
quoiqu’ayant assez bien suivi les encycliques de Pie XII, le pape de mon
enfance, je ne me souvenais pas d’une encyclique ad hoc, mais sa piété mariale
m’était familière. Elle n’est cependant pas encore devenue mienne, alors
qu’elle caractérise la plupart des saints, hommes autant que femmes, et de nos
jours Jean Paul II. En demander la grâce, quoique dans notre prière de chaque
soir, Marguerite et moi, nous ne manquions pas le Je vous salue, Marie. Une
de ses humbles préfigurations, Ruth : pourquoi ai-je trouvé grâce à
tes yeux ? pourquoi t’intéresser à moi ? moi qui suis
étrangère ? Réponse de Booz :
sur titre. Noémi, la grand-mère, veuve, prit l’enfant, le mit sur son sein
et se chargea de l’élever. Bénédictions
des voisines : cet enfant te fera revivre, il sera l’appui de ta
vieillesse : il est né de ta belle-fille qui t’aime, et qui vaut mieux
pour toi que sept fils. Les hiérarchies,
valeurs de l’amour bouleversent les schémas sociaux. L’amour, une irrigation
tout autre et qui transforme tout. Probablement là le secret marial mais que
peuvent voiler l’humilité de la servante, la banalité de la condition humaine
et aussi le mystère de la conception virginale dont découle logiquement sa
propre immaculée conception. Marie ou l’amour tel qu’il est tout-puissant :
le fiat détermine l’incarnation du
Fils de Dieu et enfantera l’Eglise autant que la crucifixion du Christ. La
condamnation des enseignants contemporains du Christ : les scribes et
les pharisiens enseignent dans la chaire de Moïse… tout ce qu’ils peuvent vous
dire, faites-le et observez-le, mais n’agissez pas d’après leurs actes, car ils
disent et ne font pas. Sans l’amour, le
vide, pas seulement ce que pleure et déplore le chagrin de celle ou de celui à
qui il n’est pas répondu ou devant qui s’élève le mur de l’impossible, mais le
vrai vide de la stérilité, du non-sens, de l’inertie, de la totale impuissance
sur les événements et le monde et nous-mêmes alors que l’univers, en même temps
que nous étions créés et que chacun de nous vient à cette vie, nous est confié…
[4] Qui
nous donne d’aimer, une fois assouvis ou empêchés la fascination par la beauté
ou la prédation par désir entre humains ou en toutes choses ? la grâce, la
prédilection divines. Tu te nourriras du travail de tes mains :
heureux es-tu ! A toi le bonheur. Ta femme sera dans ta maison comme une
vigne généreuse, et tes fils, autour de la table, comme des plans d’olivier… tu
verras le bonheur de Jérusalem tous les jours de ta vie. Amen. Confiance et demande vont de même.
Il
n’est plus possible que ce soient des accidents et que ceux-ci n’aient que des
effets limités : les explosions dans ce port à proximité de Pékin, et
maintenant, de même nature et avec des pollutions chimiques graves, au sud de
la capitale, à Shanjon. Le « black-out » des autorités n’informant
pas sur les causes et minorant les effets devient, à mon sens, une donnée
politique : l’attitude est inverse de celle de Gorbatchev à propos de
Tchernobyl, elle est celle de Poutine pour le sous-marin nucléaire Koursk.
Les
migrants : la République fédérale en accueillerait 800.000 en année pleine
2015. Nos médias présentent des associations, des familles hébergeant les
arrivants. Ambiance très clivante puisqu’il y aurait déjà eu plus d’une
centaine attentats contre ces allogènes :fait des néo-nazis.
[1] - Sainte Marie, Reine . Mémoire - extraits de l’Encyclique
du Vénérable Pie XII (Eugenio Pacelli, 1939-1958)
« Ad Cæli Reginam » §22-26, §36, §39
L'argument principal sur lequel se fonde la dignité
royale de Marie, déjà évident dans les textes de la tradition antique et dans
la sainte Liturgie, est sans aucun doute sa maternité divine. Dans les Livres
Saints, en effet, on affirme du Fils qui sera engendré par la Vierge :
« Il sera appelé
Fils du Très-Haut et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David, son
père, et il régnera dans la maison de Jacob éternellement et son règne n'aura
pas de fin » (Luc. 1, 32, 33) ; en outre, Marie est
proclamée « Mère
du Seigneur » (Luc 1,43). Il s'en suit logiquement
qu'elle-même est Reine, puisqu'elle a donné la vie à un Fils qui, dès
l'instant de sa conception, même comme homme, était, à cause de l'union
hypostatique de la nature humaine avec le Verbe, Roi et Seigneur de toutes
choses. St Jean Damascène a donc raison d'écrire : « Elle est vraiment devenue la Souveraine de
toute la création au moment où elle devint Mère du Créateur »
(St. Jean Damascène, De
fide orthodoxa) et l'Archange Gabriel lui-même peut être appelé
le premier héraut de la dignité royale de Marie.
Cependant la Bienheureuse Vierge doit être proclamée
Reine non seulement à cause de sa maternité divine mais aussi parce que selon
la volonté de Dieu, elle joua dans l'œuvre de notre salut éternel, un rôle
des plus éminents.
Dans l'accomplissement de la Rédemption, la Très
Sainte Vierge fut certes étroitement associée au Christ ; aussi
chante-t-on à bon droit dans la Sainte Liturgie : « Sainte Marie, Reine du ciel et
maîtresse du monde, brisée de douleur, était debout près de la Croix de
Notre-Seigneur Jésus-Christ ». Et un pieux disciple de saint
Anselme pouvait écrire au Moyen-âge : « Comme... Dieu, en créant toutes choses par sa puissance, est
Père et Seigneur de tout, ainsi Marie, en restaurant toutes choses par ses
mérites, est la Mère et la Souveraine de tout : Dieu est Seigneur de
toutes choses parce qu'il les a établies dans leur nature propre par son
ordre, et Marie est Souveraine de toutes choses en les restaurant dans leur
dignité originelle par la grâce qu'elle mérita ». En effet,
« Comme le Christ pour nous avoir rachetés est notre Seigneur et notre
Roi à un titre particulier, ainsi la Bienheureuse Vierge est aussi notre
Reine et Souveraine à cause de la manière unique dont elle contribua à notre
Rédemption, en donnant sa chair à son Fils et en l'offrant volontairement
pour nous, désirant, demandant et procurant notre salut d'une manière toute
spéciale ».
De ces prémisses, on peut tirer l'argument
suivant : dans l'œuvre du salut spirituel, Marie fut, par la volonté de
Dieu, associée au Christ Jésus, principe de salut, et cela d'une manière
semblable à celle dont Ève fut associée à Adam, principe de mort, si « ce
fut elle qui, exempte de toute faute personnelle ou héréditaire, bien que
l'on peut dire de notre Rédemption qu'elle s'effectua selon une certaine
« récapitulation en vertu de laquelle le genre humain, assujetti à
la mort par une vierge, se sauve aussi par l'intermédiaire d'une
vierge ; en outre on peut dire que cette glorieuse Souveraine fut
choisie comme Mère de Dieu précisément « pour être associée à lui dans
la rédemption du genre humain » ; réellement toujours étroitement unie à
son Fils, l'a offert sur le Golgotha au Père Éternel, sacrifiant en même
temps son amour et ses droits maternels, comme une nouvelle Ève, pour toute
la postérité d'Adam, souillée par sa chute misérable » ; on pourra donc
légitimement en conclure que, comme le Christ, nouvel Adam, est notre Roi
parce qu'il est non seulement Fils de Dieu, mais aussi notre Rédempteur, il
est également permis d'affirmer, par une certaine analogie, que la Sainte
Vierge est Reine, et parce qu'elle est Mère de Dieu et parce que comme une
nouvelle Ève, elle fut associée au nouvel Adam.
Sans doute, seul Jésus-Christ, Dieu et homme est Roi,
au sens plein, propre et absolu du mot ; Marie, toutefois, participe
aussi à sa dignité royale, bien que d'une manière limitée et analogique parce
qu'elle est la Mère du Christ Dieu et qu'elle est associée à l'œuvre du Divin
Rédempteur dans sa lutte contre les ennemis et au triomphe qu'il a obtenu sur
eux tous. En effet par cette union avec le Christ Roi elle atteint une gloire
tellement sublime qu'elle dépasse l'excellence de toutes les choses
créées : de cette même union avec le Christ, découle la puissance royale
qui l'autorise à distribuer les trésors du Royaume du Divin Rédempteur ;
enfin cette même union avec le Christ est source de l'efficacité inépuisable
de son intercession maternelle auprès du Fils et du Père.
Que tous s'efforcent selon leur condition de
reproduire dans leur cœur et dans leur vie, avec un zèle vigilant et
attentif, les grandes vertus de la Reine du Ciel, Notre Mère très aimante. Il
s'ensuivra en effet que les chrétiens, en honorant et imitant une si grande
Reine, se sentiront enfin vraiment frères et, bannissant l'envie et les
désirs immodérés des richesses, développeront la charité sociale,
respecteront les droits des pauvres et aimeront la paix. Que personne, donc,
ne se croie fils de Marie, digne d'être accueilli sous sa puissante
protection, si, à son exemple, il ne se montre doux, juste et chaste, et ne
contribue avec amour à la vraie fraternité, soucieuse non de blesser et de
nuire, mais d'aider et de consoler.
Vivement désireux que la Reine et Mère du peuple chrétien accueille
ces vœux et réjouisse de sa paix la terre secouée par la haine et, après cet
exil, nous montre à tous Jésus qui sera notre paix et notre joie pour
l'éternité, à vous Vénérables Frères et à vos fidèles, Nous accordons de tout
cœur, comme gage du secours du Dieu tout-puissant et comme preuve de notre
affection, la Bénédiction Apostolique.
- Copyright © Libreria
Editrice Vaticana
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[2] - Ruth II 1 à 11 & IV 13 à 17 ; psaume CXXXVIII ; évangile
selon saint Matthieu XXIII 1 à 12
[3] - Sainte Marie, Reine . Mémoire - extraits de l’Encyclique
du Vénérable Pie XII (Eugenio Pacelli, 1939-1958)
« Ad Cæli Reginam » §22-26, §36, §39
L'argument principal sur lequel se fonde la dignité
royale de Marie, déjà évident dans les textes de la tradition antique et dans
la sainte Liturgie, est sans aucun doute sa maternité divine. Dans les Livres
Saints, en effet, on affirme du Fils qui sera engendré par la Vierge :
« Il sera appelé
Fils du Très-Haut et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David, son
père, et il régnera dans la maison de Jacob éternellement et son règne n'aura
pas de fin » (Luc. 1, 32, 33) ; en outre, Marie est
proclamée « Mère
du Seigneur » (Luc 1,43). Il s'en suit logiquement
qu'elle-même est Reine, puisqu'elle a donné la vie à un Fils qui, dès
l'instant de sa conception, même comme homme, était, à cause de l'union
hypostatique de la nature humaine avec le Verbe, Roi et Seigneur de toutes
choses. St Jean Damascène a donc raison d'écrire : « Elle est vraiment devenue la Souveraine de
toute la création au moment où elle devint Mère du Créateur »
(St. Jean Damascène, De
fide orthodoxa) et l'Archange Gabriel lui-même peut être appelé
le premier héraut de la dignité royale de Marie.
Cependant la Bienheureuse Vierge doit être proclamée
Reine non seulement à cause de sa maternité divine mais aussi parce que selon
la volonté de Dieu, elle joua dans l'œuvre de notre salut éternel, un rôle
des plus éminents.
Dans l'accomplissement de la Rédemption, la Très Sainte
Vierge fut certes étroitement associée au Christ ; aussi chante-t-on à
bon droit dans la Sainte Liturgie : « Sainte Marie, Reine du ciel et maîtresse du
monde, brisée de douleur, était debout près de la Croix de Notre-Seigneur
Jésus-Christ ». Et un pieux disciple de saint Anselme
pouvait écrire au Moyen-âge : « Comme...
Dieu, en créant toutes choses par sa puissance, est Père et Seigneur de tout,
ainsi Marie, en restaurant toutes choses par ses mérites, est la Mère et la
Souveraine de tout : Dieu est Seigneur de toutes choses parce qu'il les
a établies dans leur nature propre par son ordre, et Marie est Souveraine de
toutes choses en les restaurant dans leur dignité originelle par la grâce
qu'elle mérita ». En effet, « Comme le Christ pour nous
avoir rachetés est notre Seigneur et notre Roi à un titre particulier, ainsi
la Bienheureuse Vierge est aussi notre Reine et Souveraine à cause de la
manière unique dont elle contribua à notre Rédemption, en donnant sa chair à
son Fils et en l'offrant volontairement pour nous, désirant, demandant et
procurant notre salut d'une manière toute spéciale ».
De ces prémisses, on peut tirer l'argument
suivant : dans l'œuvre du salut spirituel, Marie fut, par la volonté de
Dieu, associée au Christ Jésus, principe de salut, et cela d'une manière
semblable à celle dont Ève fut associée à Adam, principe de mort, si
« ce fut elle qui, exempte de toute faute personnelle ou héréditaire,
bien que l'on peut dire de notre Rédemption qu'elle s'effectua selon une
certaine « récapitulation en vertu de laquelle le genre humain,
assujetti à la mort par une vierge, se sauve aussi par l'intermédiaire d'une
vierge ; en outre on peut dire que cette glorieuse Souveraine fut
choisie comme Mère de Dieu précisément « pour être associée à lui dans la
rédemption du genre humain » ; réellement toujours étroitement unie à
son Fils, l'a offert sur le Golgotha au Père Éternel, sacrifiant en même
temps son amour et ses droits maternels, comme une nouvelle Ève, pour toute
la postérité d'Adam, souillée par sa chute misérable » ; on pourra donc
légitimement en conclure que, comme le Christ, nouvel Adam, est notre Roi
parce qu'il est non seulement Fils de Dieu, mais aussi notre Rédempteur, il
est également permis d'affirmer, par une certaine analogie, que la Sainte
Vierge est Reine, et parce qu'elle est Mère de Dieu et parce que comme une
nouvelle Ève, elle fut associée au nouvel Adam.
Sans doute, seul Jésus-Christ, Dieu et homme est Roi,
au sens plein, propre et absolu du mot ; Marie, toutefois, participe
aussi à sa dignité royale, bien que d'une manière limitée et analogique parce
qu'elle est la Mère du Christ Dieu et qu'elle est associée à l'œuvre du Divin
Rédempteur dans sa lutte contre les ennemis et au triomphe qu'il a obtenu sur
eux tous. En effet par cette union avec le Christ Roi elle atteint une gloire
tellement sublime qu'elle dépasse l'excellence de toutes les choses
créées : de cette même union avec le Christ, découle la puissance royale
qui l'autorise à distribuer les trésors du Royaume du Divin Rédempteur ;
enfin cette même union avec le Christ est source de l'efficacité inépuisable
de son intercession maternelle auprès du Fils et du Père.
Que tous s'efforcent selon leur condition de
reproduire dans leur cœur et dans leur vie, avec un zèle vigilant et
attentif, les grandes vertus de la Reine du Ciel, Notre Mère très aimante. Il
s'ensuivra en effet que les chrétiens, en honorant et imitant une si grande
Reine, se sentiront enfin vraiment frères et, bannissant l'envie et les
désirs immodérés des richesses, développeront la charité sociale,
respecteront les droits des pauvres et aimeront la paix. Que personne, donc,
ne se croie fils de Marie, digne d'être accueilli sous sa puissante
protection, si, à son exemple, il ne se montre doux, juste et chaste, et ne
contribue avec amour à la vraie fraternité, soucieuse non de blesser et de
nuire, mais d'aider et de consoler.
Vivement désireux que la Reine et Mère du peuple chrétien accueille
ces vœux et réjouisse de sa paix la terre secouée par la haine et, après cet
exil, nous montre à tous Jésus qui sera notre paix et notre joie pour
l'éternité, à vous Vénérables Frères et à vos fidèles, Nous accordons de tout
cœur, comme gage du secours du Dieu tout-puissant et comme preuve de notre
affection, la Bénédiction Apostolique.
- Copyright © Libreria
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[4] - Ruth II 1 à 11 & IV 13 à 17 ; psaume CXXXVIII ; évangile
selon saint Matthieu XXIII 1 à 12
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