L'Hôtel
de ville de Paris envahi par une soixantaine de migrants et
militant
pro-migrants
Un
collectif de migrants envahit l'Hôtel de Ville de Paris pour
demander des logements
VIDEO. Paris : une cinquantaine de migrants envahissent l ...
https://www.ladepeche.fr › 2022/10/07 › video-paris-u...
il y a 15 heures — Des membres du collectif antiraciste "La chapelle debout" ont envahi l'Hôtel de Ville de Paris ce vendredi 7 octobre. Tous souhaitaient ...
APERÇU
L'hôtel de Ville de Paris envahi par des associations de soutien aux migrants. Sud Radio. Sud Radio. 689K subscribers. Subscribe.
YouTube · Sud Radio · Il y a 16 heures
Un collectif de défense des migrants envahit la cour de l'hôtel ...
https://www.huffingtonpost.fr › france › article › un-colle...
il y a 16 heures — Une centaine de personnes du collectif « La Chapelle Debout » ont occupé l'Hôtel de ville de Paris, pour rencontrer Anne Hidalgo et obtenir ...
L'Hôtel de Ville de Paris envahi et occupé par un collectif de ...
https://actu.orange.fr › societe › fait-divers › l-hotel-de-...
il y a 18 heures — Vendredi 7 octobre, le collectif "La Chapelle Debout !" s'est introduit dans l'Hôtel de Ville de Paris afin de demander le relogement des ...
[Vidéo] Paris : l'Hôtel de Ville envahi et occupé par des ...
https://www.valeursactuelles.com › Faits divers
il y a 17 heures — Des dizaines de migrants ont forcé les portes de l'Hôtel de Ville de Paris, vendredi 7 octobre en début d'après-midi.
Paris : l'Hôtel de Ville occupé par plusieurs dizaines de ...
il y a 17 heures — «Paris, "ville refuge" du racisme», lance le collectif La Chapelle Debout, au moment de forcer l'entrée de l'Hôtel de Ville ce vendredi 7 ...
Un collectif de migrants envahit et occupe l'Hôtel de Ville de ...
https://www.fdesouche.com › Société
il y a 13 heures — Ce vendredi, une centaine de personnes du collectif «La Chapelle Debout» est entrée à l'Hôtel de ville de Paris, confirme au Figaro la ...
Signaler un problème
Recherches associées
leparisien.fr
Paris : plusieurs dizaines d’exilés envahissent l’Hôtel de Ville pour demander des logements à la mairie
Une soixantaine de migrants et pro-migrants sont entrés de force dans l’Hôtel de Ville de Paris ce vendredi, avec le collectif La Chapelle Debout !. Ils exigent un hébergement d’urgence.
0
Par Le Parisien
Le 7 octobre 2022 à 15h45, modifié le 7 octobre 2022 à 20h11
Ils sautent par-dessus les barrières, forcent la lourde porte de l’Hôtel de Ville et s’engouffrent dans le hall par dizaines. Des exilés et leurs soutiens, sous l’impulsion du collectif La Chapelle Debout !, qui milite pour la régularisation des sans-papiers et la libre circulation, ont envahi l’Hôtel de Ville de Paris ce vendredi pour rencontrer Anne Hidalgo, maire (PS) de Paris, et obtenir des hébergements d’urgence.
🔴 Envahissement et occupation de l’Hotel de Ville de Paris par le collectif @chapelledebout.
Plusieurs dizaines d’exilés ont décidé d’envahir le lieu pour demander des logements à la mairie. pic.twitter.com/Pofyi4skAO
— Clément Lanot (@ClementLanot) October 7, 2022
Le collectif antiraciste dénonce un « traitement inéquitable » de la France entre son accueil des réfugiés ukrainiens et celui des personnes venues du reste du monde. Il avait déjà mené deux actions, l’une en juillet et l’autre la semaine dernière. Elles ont abouti à des négociations, toujours en cours avec la préfecture de région, pour reloger les habitants de l’Ambassade des immigrés (un immeuble vide rue Saulnier appartenant à une filiale de la Société générale, en plein cœur de Paris, et squatté). « Mais ils n’en garantissent pas pour tout le monde et refusent de s’engager pour l’hébergement d’urgence », explique le collectif dans un communiqué.
La mairie promet un « diagnostic social » du squat rue Saulnier
« Du côté de la mairie de Paris et du cabinet de Ian Brossat, avec qui nous étions en négociations en juin, c’est silence radio », poursuit-il. Ce collectif a quitté le bâtiment en milieu d’après-midi, après avoir été reçu par Ian Brossat. L’adjoint au logement s’est engagé à « réaliser un diagnostic social » rue Saulnier et à réunir la préfecture de région et la préfecture de police autour de la table.
« L’essentiel de leurs revendications », notamment le relogement, « relève des compétences de l’Etat », a-t-il réagi. Quant au logement social, il « s’adresse uniquement à des personnes en situation régulière » alors qu’une « bonne partie » des personnes représentées vendredi ne sont « pas éligibles ».
Pour le groupe d’élus d’opposition Changer Paris (LR et apparentés), cette intrusion dans l’Hôtel de Ville, la deuxième en un an et demi après des éboueurs en mai 2021, « démontre que la Ville est incapable (...) d’assurer la sécurité de quiconque ».
Cette action a également fait réagir du côté du RN. « La France ne doit plus être l’hôtel de l’Afrique : appliquons la loi, renvoyons les clandestins chez eux », a demandé le député européen Jordan Bardella.
Dans la rubrique
Paris
Hausse du prix du passe Navigo : Valérie Pécresse répond au Medef
Abonnés
Paris
AbonnésVélos électriques à louer : trois ans après son lancement, le succès de Véligo ne se dément pas
AbonnésDisneyland, parc Astérix, Mer de sable… Halloween, période faste pour les parcs d’attractions
Hausse du prix du passe Navigo : Valérie Pécresse répond au Medef
AbonnésLutte contre les dark stores à Paris : pourquoi la justice annule les amendes dressées par la Ville
Paris : plusieurs dizaines d’exilés envahissent l’Hôtel de Ville pour demander des logements à la mairie
Une soixantaine de migrants et pro-migrants sont entrés de force dans l’Hôtel de Ville de Paris ce vendredi, avec le collectif La Chapelle Debout !. Ils exigent un hébergement d’urgence.
0
Par Le Parisien
Le 7 octobre 2022 à 15h45, modifié le 7 octobre 2022 à 20h11
Ils sautent par-dessus les barrières, forcent la lourde porte de l’Hôtel de Ville et s’engouffrent dans le hall par dizaines. Des exilés et leurs soutiens, sous l’impulsion du collectif La Chapelle Debout !, qui milite pour la régularisation des sans-papiers et la libre circulation, ont envahi l’Hôtel de Ville de Paris ce vendredi pour rencontrer Anne Hidalgo, maire (PS) de Paris, et obtenir des hébergements d’urgence.
🔴 Envahissement et occupation de l’Hotel de Ville de Paris par le collectif @chapelledebout.
Plusieurs dizaines d’exilés ont décidé d’envahir le lieu pour demander des logements à la mairie. pic.twitter.com/Pofyi4skAO
— Clément Lanot (@ClementLanot) October 7, 2022
Le collectif antiraciste dénonce un « traitement inéquitable » de la France entre son accueil des réfugiés ukrainiens et celui des personnes venues du reste du monde. Il avait déjà mené deux actions, l’une en juillet et l’autre la semaine dernière. Elles ont abouti à des négociations, toujours en cours avec la préfecture de région, pour reloger les habitants de l’Ambassade des immigrés (un immeuble vide rue Saulnier appartenant à une filiale de la Société générale, en plein cœur de Paris, et squatté). « Mais ils n’en garantissent pas pour tout le monde et refusent de s’engager pour l’hébergement d’urgence », explique le collectif dans un communiqué.
La mairie promet un « diagnostic social » du squat rue Saulnier
« Du côté de la mairie de Paris et du cabinet de Ian Brossat, avec qui nous étions en négociations en juin, c’est silence radio », poursuit-il. Ce collectif a quitté le bâtiment en milieu d’après-midi, après avoir été reçu par Ian Brossat. L’adjoint au logement s’est engagé à « réaliser un diagnostic social » rue Saulnier et à réunir la préfecture de région et la préfecture de police autour de la table.
« L’essentiel de leurs revendications », notamment le relogement, « relève des compétences de l’Etat », a-t-il réagi. Quant au logement social, il « s’adresse uniquement à des personnes en situation régulière » alors qu’une « bonne partie » des personnes représentées vendredi ne sont « pas éligibles ».
Pour le groupe d’élus d’opposition Changer Paris (LR et apparentés), cette intrusion dans l’Hôtel de Ville, la deuxième en un an et demi après des éboueurs en mai 2021, « démontre que la Ville est incapable (...) d’assurer la sécurité de quiconque ».
Cette action a également fait réagir du côté du RN. « La France ne doit plus être l’hôtel de l’Afrique : appliquons la loi, renvoyons les clandestins chez eux », a demandé le député européen Jordan Bardella.
Dans la rubrique
Paris
Hausse du prix du passe Navigo : Valérie Pécresse répond au Medef
Abonnés
Paris
AbonnésVélos électriques à louer : trois ans après son lancement, le succès de Véligo ne se dément pas
AbonnésDisneyland, parc Astérix, Mer de sable… Halloween, période faste pour les parcs d’attractions
Hausse du prix du passe Navigo : Valérie Pécresse répond au Medef
AbonnésLutte contre les dark stores à Paris : pourquoi la justice annule les amendes dressées par la Ville
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire