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Parti de la liberté d'Autriche
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Parti de la liberté d'Autriche
(de) Freiheitliche Partei Österreichs |
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Présentation
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Président
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Fondation
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7 avril 1956
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Siège
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Theobaldgasse 19/4A-1060 Vienne
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Secrétaires
généraux
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Herbert Kickl
Harald Vilimsky |
Vice-présidents
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Mouvement de
jeunesse
|
Ring Freiheitlicher Studenten
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Journal
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Neue Freie Zeitung'
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Positionnement
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Idéologie
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Affiliation européenne
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Groupe au
Parlement européen
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Affiliation
internationale
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Adhérents
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50 000 (2014)
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Site web
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Représentation
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51 / 183
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13 / 61
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4 / 18
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Sommaire
- 1 Histoire
- 2 Ligne politique
- 3 Présidents
- 4 Résultats électoraux
- 4.1 Élections au Conseil national
- 4.2 Élections européennes
- 4.3 Élections présidentielles
- 4.4 Élections régionales
- 5 Notes et références
- 6 Voir aussi
Histoire
Origines
Le Parti de la liberté est fondé fin 1955, et était à ses débuts un parti aux visions relativement libérales. Il plonge ses racines dans le mouvement des nationalités du XIXe siècle et l'esprit de 1848. Il a ainsi attiré un éventail d’adhérents libéraux anticléricaux inquiets de l’isolement potentiel de l’Autriche catholique par rapport à l’Allemagne nationaliste. En 1980, l'aile européenne du FPÖ prend le contrôle du parti sous la direction de Norbert Steger. En 1983, celui-ci fait entrer le parti dans un gouvernement de coalition avec les sociaux-démocrates (SPÖ) du chancelier Fred Sinowatz. À la suite des premières élections législatives de 1986, le FPÖ fait son retour au gouvernement, toujours au côté du SPÖ, dans le premier cabinet de Franz Vranitzky.Réorientation vers le nationalisme
Jörg Haider, le dirigeant du FPÖ qui a réorienté le
parti vers l'extrême droite.
À la convention nationale du parti en 1986 à Innsbruck, Jörg
Haider, soutenu par les tendances nationales allemande et autrichienne,
évince Norbert Steger et prend la direction du FPÖ. Peu de temps après, le
chancelier autrichien annonce de nouvelles élections et forme une coalition
avec les conservateurs (ÖVP), reléguant le FPÖ
dans l'opposition. De 1986 à 2001, Haider va imposer sa marque sur le parti
qu'il va positionner de plus en plus vers la droite nationaliste et populiste, n'hésitant pas à relativiser ou à
réinterpréter le passé nazi de son pays. En 1989, Haider devient gouverneur de Carinthie avec l'aide des sociaux-démocrates mais
il doit démissionner dès 1991, après ses premières déclarations controversées
sur le Troisième Reich, lequel aurait été plus efficace
que le gouvernement de Vienne dans la politique de l'emploi. En 1993, l'aile européenne du
FPÖ quitte le parti pour fonder le Forum libéral. La même année, le FPÖ
résilie son adhésion à l'Internationale libérale, puis, en 1994, une
coalition noire-bleue avec l'ÖVP est mise en
place dans le Vorarlberg.Retour au gouvernement
En 1999, Haider est réélu gouverneur de Carinthie avec la majorité absolue des suffrages. Aux élections législatives d'octobre 1999, le FPÖ obtient 27 % des suffrages, juste derrière les sociaux-démocrates. Il devance alors de 400 voix le parti conservateur ÖVP, conduit par le ministre des Affaires étrangères Wolfgang Schüssel. Les tractations pour mener une coalition débouchent sur une coalition inédite entre la FPÖ et l'ÖVP permettant à Wolfgang Schüssel de prendre la chancellerie. Le seul moyen d'obtenir une majorité parlementaire était une union de deux des trois principaux partis politiques autrichiens, mais le SPÖ refusa de s'associer au FPÖ, et l'ÖVP écarta l'idée d'une nouvelle grande-coalition avec les sociaux-démocrates.
Susanne Riess-Passer, principale figure du FPÖ
à participer au gouvernement de coalition avec l'ÖVP.
La mise en place de la coalition noire-bleue provoque des critiques
en Europe, où
les 14 membres de l'Union européenne décident de mettre l'Autriche
sous « surveillance » afin de vérifier que le pays respecte toujours
les droits démocratiques les plus élémentaires. Les dirigeants
européens se rendent rapidement compte que leurs critiques sont
contreproductives, puisque renforçant le soutien de la population au
gouvernement. Dès l'été 2000, il est officiellement constaté que l'Autriche
demeure une démocratie et les contacts reprennent d'autant plus facilement que
Haider ne fait pas partie du gouvernement et a renoncé à la présidence du parti
en février 2000 pour se consacrer à la Carinthie.Au sein du gouvernement, plusieurs membres du FPÖ émergent, comme Susanne Riess-Passer, vice-chancelière, et Karl-Heinz Grasser, ministre des Finances âgé de 31 ans. Ces deux personnalités dont la carrière dépendait de Haider entrent en conflit avec celui-ci à mesure que les résultats des élections locales sont de plus en plus mauvais pour le FPÖ. Haider en rejette la responsabilité sur le gouvernement, mais ses ministres font corps autour du chancelier. Aux élections de novembre 2002, l'ÖVP remporte une victoire historique avec 42 % des suffrages, tandis que le FPÖ s'effondre à 10 % des voix (- 17 points). Bien que perdant sept sièges, la coalition demeure majoritaire, et est reconduite en février 2003. Aux élections régionales de septembre 2003, le FPÖ est devancé par les écologistes.
Le parti se trouve donc en grande difficulté quand se profile en 2004 l'élection du gouverneur de Carinthie. Mais contre toute attente, Haider obtient la majorité relative des voix, avec 42,5 % des suffrages. L'ÖVP refusant de se joindre à lui, il trouve un allié inattendu chez les sociaux-démocrates pour retrouver son poste de gouverneur. Aux élections européennes de 2004, le FPÖ n'atteint que 6 % des voix et un seul élu. Le 4 avril 2005, Haider fait sécession et fonde un nouveau parti, l'Alliance pour l'avenir de l'Autriche (BZÖ). Souhaitant continuer l'alliance avec l'ÖVP du chancelier Wolfgang Schüssel, il laisse le FPÖ aux partisans d'un retour de ce parti dans l'opposition. Ursula Haubner, ministre des Affaires sociales, élue avec 79 % des voix en 2004, démissionne du parti pour rejoindre le BZÖ. Les six ministres FPÖ passent au BZÖ.
L'après-Haider
Heinz-Christian Strache, le premier
dirigeant du FPÖ de l'après-Haider.
Norbert Hofer, candidat à l'élection présidentielle de
2016.
Lors d'un congrès à Salzbourg en avril 2005, le FPÖ porte à la présidence Heinz-Christian Strache. Âgé de 35 ans,
Strache, chef du FPÖ de la capitale, Vienne, et considéré comme un représentant de
l'aile la plus dure de la droite, a obtenu 90,1 % des voix des 431
délégués présents. Il parle d'Haider comme d'un « Michael
Jackson de la politique intérieure qui a tellement changé que ses proches
ne le reconnaissent plus ». Il déclare aussi que « Vienne ne doit pas
devenir Istanbul »
et que « l'Union européenne n'est pas [leur] patrie ». Le 6 mars
2006, le FPÖ lance une campagne intitulée « Stoppt den EU-Wahnsinn! »
(« Non à la folie de l'Europe ! ») pour un référendum
contre l'Union européenne, contre l'adhésion de la Turquie à
l'Union européenne et contre l'immigration
musulmane.
L'objectif est d'obtenir pour cette demande populaire, lancée sous le slogan
« Österreich
bleib Frei! » (« Autriche,
reste libre ! »), la signature de 100 000
Autrichiens, ce qui obligera le Parlement à en débattre. Selon un sondage,
80 % des Autrichiens sont opposés à l'adhésion de la Turquie12.
Contrairement à son prédécesseur, Strache apporte également son soutien à Israël13.Aux élections législatives de 2006, le parti obtient 11,2 % des voix et 21 sièges, soit un meilleur résultat qu'en 2002, avant la scission. Mais la constitution d'une grande coalition droite-gauche, qui aboutit en janvier 2007, le rejette cependant définitivement dans l'opposition. Lors des législatives anticipées de 2008, le FPÖ réalise 18 % tandis que le BZÖ fait 11 %, ce qui fait un total de 29 % pour l'extrême droite autrichienne. En décembre 2009, le BZÖ de Carinthie, refusant l'évolution du parti vers la droite libérale, annonce son départ de l'alliance nationale, fusionne avec le FPÖ local et annonce l'affiliation au FPÖ du nouvel ensemble, Die Freiheitlichen in Kärnten14,15. Pour Strache, le « troisième camp » de la politique autrichienne est dès lors réunifié.
Lors de l'élection présidentielle de 2010, la candidate du parti, Barbara Rosenkranz, rassemble 15,24 % des voix. En octobre de la même année, lors des élections municipales à Vienne, le FPÖ obtient un score historique avec 27 % des voix, ce qui prive la gauche de la majorité absolue. Le parti est donc la deuxième force politique à Vienne. Aux élections législatives de septembre 2013, le FPÖ améliore son score de 2008 de 3 points en obtenant 20,5 % des voix. En Styrie, il arrive première devant ses deux rivaux politiques, le Parti social-démocrate d'Autriche (SPÖ) et l'ÖVP16.
À la suite des élections régionales de 2015 au Burgenland, le parti de gauche SPÖ brise une ligne rouge établie 30 ans plus tôt lors de la rupture de la dernière coalition au niveau national entre le SPÖ et le FPÖ, en s'alliant dans cet État fédéré avec le FPÖ afin de le diriger17.
Norbert Hofer, candidat du FPÖ, arrive en tête du premier tour de l'élection présidentielle de 2016 avec 35,1 % des suffrages18. Il s'agit du meilleur score réalisé par le parti au niveau fédéral depuis sa fondation19. Les candidats du SPÖ et du ÖVP sont quant à eux éliminés, et Norbert Hofer affronte au second tour le candidat indépendant soutenu par les écologistes, Alexander Van der Bellen, qui l'emporte avec 50,3 % des voix. Mais ce scrutin est ensuite annulé en raison d'irrégularités par la Cour constitutionnelle autrichienne, ce qui conduit à l'organisation d'un nouveau second tour20 pour le 2 octobre 201621, reporté au 4 décembre pour cause d'un problème d'impression des bulletins. Cette fois ci, en ne réalisant que 46,2 %, Norbert Hofer perd largement contre Alexander Van der Bellen.
Ligne politique
Le FPÖ est généralement considéré comme un parti populiste et nationaliste.- Économie : Le parti suit une ligne économique libérale. Il soutient, entre autres, la réduction des impôts et de l'intervention de l'État dans l'économie.
- Islam : Le parti réclame un référendum sur l'interdiction du voile islamique et des minarets22, proche de celle ayant eu lieu en Suisse en 2009.
- Immigration : Le FPÖ souhaite l'interdiction de l'immigration en provenance de pays musulmans ainsi que la mise en place d'un « contrat d'intégration » pour les étrangers vivant en Autriche23,24.
Alors que le parti avait été créé dans les années 1950 sur fond d'antisoviétisme, il se rapproche au début du XXIe siècle du nationalisme russe incarné par Vladimir Poutine, établissant le 19 décembre 2016 un accord d'amitié avec le parti Russie unie26.
Présidents
- Anton Reinthaller (en) (1956-1958)
- Friedrich Peter (1958-1978)
- Alexander Götz (1978-1979)
- Norbert Steger (1979-1986)
- Jörg Haider (1986-2000)
- Susanne Riess-Passer (2000-2002)
- Mathias Reichold (2002)
- Herbert Haupt (2002-2004)
- Ursula Haubner (2004-2005)
- Heinz-Christian Strache (depuis 2005)
Résultats électoraux
Élections au Conseil national
Année
|
Voix
|
%
|
Mandats
|
Rang
|
Gouvernement
|
283 749
|
6,5
|
6 / 165
|
3e
|
Opposition
|
|
336 110
|
7,7
|
8 / 165
|
3e
|
Opposition
|
|
313 895
|
7,0
|
8 / 165
|
3e
|
Opposition
|
|
242 570
|
5,4
|
6 / 165
|
3e
|
Opposition
|
|
253 425
|
5,5
|
6 / 165
|
3e
|
Opposition
|
|
248 473
|
5,5
|
10 / 183
|
3e
|
Opposition
|
|
249 444
|
5,4
|
10 / 183
|
3e
|
Opposition
|
|
286 743
|
6,1
|
11 / 183
|
3e
|
Opposition
|
|
241 789
|
5,0
|
12 / 183
|
3e
|
||
472 205
|
9,7
|
18 / 183
|
3e
|
Opposition
|
|
782 648
|
16,6
|
33 / 183
|
3e
|
Opposition
|
|
1 042 332
|
22,5
|
42 / 183
|
3e
|
Opposition
|
|
1 060 175
|
21,9
|
41 / 183
|
3e
|
Opposition
|
|
1 244 087
|
26,9
|
52 / 183
|
2e
|
||
491 328
|
10,0
|
18 / 183
|
3e
|
Schüssel II (2002-2005) puis opposition
|
|
519 598
|
11,0
|
21 / 183
|
4e
|
Opposition
|
|
857 028
|
17,5
|
34 / 183
|
3e
|
Opposition
|
|
962 313
|
20,5
|
40 / 183
|
3e
|
Opposition
|
|
1 311 116
|
26,0
|
51 / 183
|
3e
|
Élections européennes
Année
|
%
|
Mandats
|
Rang
|
Groupe
|
27,5
|
6 / 21
|
3e
|
||
23,4
|
5 / 21
|
3e
|
||
6,3
|
1 / 18
|
5e
|
||
12,7
|
2 / 17
|
4e
|
||
19,7
|
4 / 18
|
3e
|
Élections présidentielles
Année
|
Candidat
|
1er tour
|
2e tour
|
||
%
|
Rang
|
%
|
Rang
|
||
48,9
|
2e
|
|
|||
Pas de candidat
|
|||||
Pas de candidat
|
|||||
Pas de candidat
|
|||||
Pas de candidat
|
|||||
16,9
|
2e
|
|
|||
1,2
|
4e
|
|
|||
16,4
|
3e
|
|
|||
Pas de candidat
|
|||||
Pas de candidat
|
|||||
15,2
|
2e
|
|
|||
35,1
|
1er
|
|
2d
|
- Soutenu également par l'ÖVP.
- Premier second tour annulé du fait d’irrégularités dans les votes par correspondance.
Élections régionales
Article détaillé : Résultats du FPÖ aux régionales.
Notes et références
- Sonia Van Gilder Cooke, « Austria — Europe's Right Wing: A Nation-by-Nation Guide to Political Parties and Extremist Groups » [archive], 29 juillet 2011 (consulté le 16 février 2012).
- Andreas Meyer-Feist, « Austrian villagers quash plans for Buddhist temple » [archive], DW, 14 février 2012 (consulté le 16 février 2012).
- Freedom Party leader may face hate speech charges [archive]. The Local (Austria edition). Published 19 October 2016. Retrieved 24 September 2017.
- Blaise Cauquelin, « l'extrême droite près du pouvoir en Autriche » [archive], 30 novembre 2016 (consulté le 9 décembre 2016).
- Martin Dolezal, Swen Hutter et Bruno Wüest, Political Conflict in Western Europe, Cambridge University Press, 2012 (ISBN 978-1-107-02438-0, lire en ligne [archive]), « Exploring the new cleavage in across arenas and public debates: designs and methods », p. 52.
- Hans-Jürgen Bieling, Asymmetric Crisis in Europe and Possible Futures: Critical Political Economy and Post-Keynesian Perspectives, Routledge, 2015 (ISBN 978-1-317-65298-4, lire en ligne [archive]), « Uneven development and 'European crisis constitutionalism', or the reasons for and conditions of a 'passive revolution in trouble' », p. 110.
- Wolfram Nordsieck, « Parties and Elections in Europe » [archive], sur www.parties-and-elections.eu.
- (en) Emily Turner-Graham, « “Austria First”: H.C. Strache, Austrian identity and the current politics of Austria’s Freedom Party », Studies in Language and Capitalism, 2008, p. 181-198.
- (en) « Austria's Freedom Party sees vote rise », BBC News, 25 mai 2014 (lire en ligne [archive]).
- (de) Anton Pelinka, Jörg Haiders "Freiheitliche" – ein nicht nur österreichisches Problem, Königshausen & Neumann, 2000 (lire en ligne [archive]), p. 233.
- Traduction adoptée par l’encyclopédie Universalis [archive] et par l’encyclopédie Larousse [archive].
- Stéphane Kovacs, « La croisade de l'extrême droite autrichienne contre l'adhésion turque » [archive], sur Le Figaro, 7 mars 2006 (consulté le 28 avril 2016).
- La-Croix.com, « En Autriche, une extrême droite devenue normale »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur La Croix (consulté le 16 octobre 2017).
- (de) « Viereinhalb Jahre nach Spaltung » [archive], sur orf.at (consulté le 28 avril 2016).
- (de) Saskia Jungnikl et Lukas Kapeller, « FPÖ und Kärntner BZÖ fusionieren » [archive], sur derstandard.at, 16 décembre 2009 (consulté le 28 avril 2016).
- (de) « Nationalratswahl: FPÖ legt deutlich zu » [archive], sur salzburg.orf.at, 29 septembre 2013 (consulté le 28 avril 2016).
- (de) « SPÖ-FPÖ-Koalition nun fix - news.ORF.at », news.ORF.at, 5 juin 2015 (lire en ligne [archive]).
- Blaise Gauquelin, « Autriche : les raisons de la poussée de l’extrême droite », Le Monde.fr, 25 avril 2016 (ISSN 1950-6244, lire en ligne [archive]).
- (en) « Austria's Norbert Hofer: the far-right's 'soft' face » [archive], sur France 24, 25 avril 2016 (consulté le 26 avril 2016).
- « L’élection présidentielle autrichienne invalidée » [archive], sur Le Monde, 1er juillet 2016 (consulté le 1er juillet 2016).
- « Le nouveau scrutin de la présidentielle en Autriche se tiendra le 2 octobre » [archive], sur LExpress.fr, 5 juillet 2016 (consulté le 5 juillet 2016).
- Sylvia Westall, « En Autriche, le FPÖ à l'assaut de "Vienne la Rouge" » [archive], Reuters, 10 octobre 2010 (consulté le 11 octobre 2010).
- « Autriche : les mosquées font polémique » [archive], AFP, 22 août 2010 (consulté le 11 octobre 2010).
- « Autriche, L'immigration » [archive], sur bibliomonde.com (consulté le 28 avril 2016).
- Gaël Brustier et David Djaïz, « Vers un nouveau monde : les monstres sont dans l'isoloir (1/3) » [archive], sur lefigaro.fr, 9 décembre 2016 (consulté le 11 décembre 2016).
- « L’extrême droite autrichienne s’allie à Russie unie, le parti de Vladimir Poutine » [archive], lemonde.fr, 20 décembre 2016.
Voir aussi
Il existe une catégorie
consacrée à ce sujet : Parti de la liberté d'Autriche.
Bibliographie
- Lionel Baland, Jörg Haider le phénix. Histoire de la famille politique libérale et nationale en Autriche, Collection « Politica », Éditions des Cimes, Paris, 2012. (ISBN 979-10-91058-02-5)
- Patrick Moreau, De Jörg Haider à Heinz-Christian Strache. L'extrême droite autrichienne à l'assaut du pouvoir, Éditions du Cerf, 2012.
- Dominique Reynié, Populismes : la pente fatale, Paris, Plon, 2011, 280 pages.
Articles connexes
Voir la catégorie : Personnalité
du Parti de la liberté (Autriche).
- Nationalisme
- Jörg Haider
- Heinz-Christian Strache
- Peter Sichrovsky, ancien secrétaire-général du FPÖ.
La dernière
modification de cette page a été faite le 16 décembre 2017 à 19:39.
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