Mercredi 20 Juillet 2011
Prier… [1] Dieu contentait leur envie. Secours toujours proportionnés, explicables le plus souvent par le hasard, la coincidence. Discrétion du compagnon, du rédempteur qui ne s’impose que rarement et me laisse choisir de Le discerner, Le trouver ou de L’ignorer, minute par minute. Pour les nourrir, il fit pleuvoir la manne… sur eux, il fut pleuvoir une nuée d’oiseaux, autant de viande que de sable au bord des mers. … Ils ne savaient ce que c’était. Les premiers livres de la Bible, si imagés, sont un itinéraire spirituel, marqué par un dialogue explicite de l’homme, individuellement ou collectivement, avec un Dieu créateur, protecteur mais rigoureux. Modèle de paternité, sans que l’appellation soit encore donnée. Toute la communauté des fils d’Israël récrilinait… Le Seigneur dit à Moïse… Moïse dit à Aaron… puis ils se tournèrent du côté du désert et voici que la Gloire du Seigneur apparut dans la nuée. Le Seigneur dit alors à Moïse… vous reconnaîtrez alors que moi, le Seigneur, je suis votre Dieu. La Genèse, et surtout, le « péché originel » puis les divers crimes de Caïn, de Sodome, étaient une connaissance de l’homme par lui-même manifestement enclin au mal (ce dernier d’ailleurs, hormis l’épisode du serpent, pas du tout personnalisé : le mal, c’est nous, il est en nous, nous sommes pervertis. S’il y a manichéisme, c’est en nous, ce n’est pas un conflit qui nous est extérieur et entre deux puissances exogènes), l’Exode est une rencontre de Dieu et sa découverte : nous sommes sauvés. L’évangile donne les deux dialectiques, perversion des irréductibles malgré prédication et miracles, rencontre du Fils de l’homme, totalement à notre portée. Il était assis au bord du lac. Une foule immense se rassembla autour de lui. Parabole du semeur. Dieu pas seulement créateur mais relationnel. Pas Dieu en soi, mais Dieu pour nous.
soir
Maintenant, pour voir clair, il faut regarder loin, tous les détails et événements actuellement se valent, à l’international et en politique et économie intérieures françaises.
L’énigme de 2012 pour la France – mais l’année électorale est à peu près partout chez nos « grands » partenaires –est le degré de « fair-play » et de fibre démocratique d’un système qui aura fonctionné dès son neuvième mois d’établissement, en étant irréversiblement minoritaire (au moins selon les sondages), en cultivant les réseaux aussi bien de grandes fortunes que ceux de l’Etat, en décidant de tout sans consultation et en érigeant le cynisme en principe de comportement. Ce système acceptera-t-il la défaite et se laissera-t-il dépouiller du pouvoir et de ses « acquis » ? Cette interrogation est sans précédent depuis 1877… (la dissolution manquée du maréchal de Mac Mahon).
Je compte rédiger une note de relations internationales et une de politique internationale, cette dernière inaugurant une série de réflexions et d’observations périodiques jusqu’à l’été 2012, comme j’en avais commise une de Novembre 2006 à Novembre 2007 (fichier adressés sur demande selon mon adresse électronique, ci-dessus).
Prier… [1] Dieu contentait leur envie. Secours toujours proportionnés, explicables le plus souvent par le hasard, la coincidence. Discrétion du compagnon, du rédempteur qui ne s’impose que rarement et me laisse choisir de Le discerner, Le trouver ou de L’ignorer, minute par minute. Pour les nourrir, il fit pleuvoir la manne… sur eux, il fut pleuvoir une nuée d’oiseaux, autant de viande que de sable au bord des mers. … Ils ne savaient ce que c’était. Les premiers livres de la Bible, si imagés, sont un itinéraire spirituel, marqué par un dialogue explicite de l’homme, individuellement ou collectivement, avec un Dieu créateur, protecteur mais rigoureux. Modèle de paternité, sans que l’appellation soit encore donnée. Toute la communauté des fils d’Israël récrilinait… Le Seigneur dit à Moïse… Moïse dit à Aaron… puis ils se tournèrent du côté du désert et voici que la Gloire du Seigneur apparut dans la nuée. Le Seigneur dit alors à Moïse… vous reconnaîtrez alors que moi, le Seigneur, je suis votre Dieu. La Genèse, et surtout, le « péché originel » puis les divers crimes de Caïn, de Sodome, étaient une connaissance de l’homme par lui-même manifestement enclin au mal (ce dernier d’ailleurs, hormis l’épisode du serpent, pas du tout personnalisé : le mal, c’est nous, il est en nous, nous sommes pervertis. S’il y a manichéisme, c’est en nous, ce n’est pas un conflit qui nous est extérieur et entre deux puissances exogènes), l’Exode est une rencontre de Dieu et sa découverte : nous sommes sauvés. L’évangile donne les deux dialectiques, perversion des irréductibles malgré prédication et miracles, rencontre du Fils de l’homme, totalement à notre portée. Il était assis au bord du lac. Une foule immense se rassembla autour de lui. Parabole du semeur. Dieu pas seulement créateur mais relationnel. Pas Dieu en soi, mais Dieu pour nous.
soir
Maintenant, pour voir clair, il faut regarder loin, tous les détails et événements actuellement se valent, à l’international et en politique et économie intérieures françaises.
L’énigme de 2012 pour la France – mais l’année électorale est à peu près partout chez nos « grands » partenaires –est le degré de « fair-play » et de fibre démocratique d’un système qui aura fonctionné dès son neuvième mois d’établissement, en étant irréversiblement minoritaire (au moins selon les sondages), en cultivant les réseaux aussi bien de grandes fortunes que ceux de l’Etat, en décidant de tout sans consultation et en érigeant le cynisme en principe de comportement. Ce système acceptera-t-il la défaite et se laissera-t-il dépouiller du pouvoir et de ses « acquis » ? Cette interrogation est sans précédent depuis 1877… (la dissolution manquée du maréchal de Mac Mahon).
Je compte rédiger une note de relations internationales et une de politique internationale, cette dernière inaugurant une série de réflexions et d’observations périodiques jusqu’à l’été 2012, comme j’en avais commise une de Novembre 2006 à Novembre 2007 (fichier adressés sur demande selon mon adresse électronique, ci-dessus).
[1] -Exode XVI 1 à 15 passim ; psaume LXXVII ; évangile selon saint Matthieu XIII 1 à 9
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