Le 22/03/2019 à
08:25, Bertrand Fessard de Foucault a écrit au secrétaire
général de la présidence de la République :
Cher Monsieur le Secrétaire général,
le tout-sécuritaire avec le trop symbolique appel à l'armée, provoquera plus qu'il ne résoudra.
Il faut un traitement politique de la crise doublement ouverte 1° par des questions de personnes : les départs d'importants ministres comme Nicolas Hulot et Gérard Collomb, et "l'affaire Benalla", et 2° par les "gilets jaunes". Le traitement social, attendu depuis deux ou trois décennies, coulera lors de source parce qu'outils et perspectives se trouveront.
Deux initiatives n'appartenant qu'au Président de la République :
- la dissolution, et au plus vite, pour que la campagne ne se confonde pas avec celle de l'élection du nouveau Parlement européen
- la novation européenne : l'élection directe de la présidente ou du président de l'Union européenne, proposée à tous les peuples d'Europe, assortie de la proposition aux gouvernements que le Parlement soit constituant, qu'une nouvelle loi fondamentale soit écrite, en compagnie des Britanniques, et que l'ambition du Vieux Monde soit de stabiliser et de protéger la panète contre nos évolutions et contre les prétentions hégémoniques (Chine populaire et Etats-Unis version Trump).
A défaut, violences, apathie et non-espérance ouvrent chez nous et dans le Vieux Monde, une ère d'inconnu et de mouvements échappant à tout pouvoir public.
Vifs souhaits pour que le Président ne soit pas immobile.
P J - l'ensemble des contributions de Surzur (Morbihan) dont la mienne, au grand débat national.
N B - j'ai tranquillement descendu les Champs Elysées hier matin : la "casse" est minime et très sélective.
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