Alors que son premier procès s'ouvre à Tokyo, l'ancien patron de l'alliance Renault-Nissan n'en a pas fini avec les bras de fer judiciaires un peu partout dans le monde.En fuite à Beyrouth, au Liban, depuis fin décembre 2019, Carlos Ghosn n'assistera pas au procès qui s'ouvre ce mardi à Tokyo. (JOSEPH EID/AFP)
Par Yann Rousseau, Valérie de Senneville
Publié le 15 sept. 2020 à 13:15
En fuite à Beyrouth, au Liban, depuis fin décembre 2019 , Carlos Ghosn n'assistera pas au procès qui s'ouvre ce mardi à Tokyo . Le droit nippon ne prévoyant pas de jugement par contumace pour les malversations financières, il ne sera pas jugé aux côtés de Greg Kelly, son ancien collaborateur, et de Nissan, mis en examen en tant que personnalité morale. L'ancien patron de l'alliance Renault-Nissan ne sera pas non plus jugé pour différents abus de confiance, dans un second procès où il aurait dû cette fois comparaître seul en 2021 ou 2022. Il n'en a toutefois pas fini avec les bras de fer judiciaires. Une dizaine sont encore en cours un peu partout dans le monde.
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