jeudi 6 septembre 2018

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En marche !

En marche !

Logo officiel.
Présentation
Fondateur
Fondation
Siège
Secrétaire général
Nom officiel
Association pour le renouvellement de la vie politique
Positionnement
Organisation associée
Les Jeunes avec Macron
Médias principaux
Idéologie
Adhérents
200 477 revendiqués4 (24 février 2017)note 1
Noir et blanc
Site web
En marche ! est la marque déposée de l'Association pour le renouvellement de la vie politique, un parti politique social-libéral5,6,7,8 français lancé le 6 avril 2016 par Emmanuel Macron, alors ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique du gouvernement de Manuel Valls. Il est classé au centre sur l'échiquier politique.
Les valeurs revendiquées par En marche ǃ sont le rejet de toute forme de conservatisme9, une adhésion proclamée au progressisme10,11,10,11,9, l'attachement à l'Union européenne 12, l'adaptation économique de la France à la mondialisation12,13,14 et l'engagement de moraliser et moderniser la vie politique française15 .
S'appuyant fortement sur les réseaux sociaux16, le mouvement a la particularité d'accepter les adhésions de membres d'autres partis17 et de n'imposer aucune cotisation à ses adhérents18. Le parti fait figurer l'approfondissement du projet européen parmi ses valeurs fondamentales12, ce qui lui vaut d'être régulièrement présenté comme le parti le plus proeuropéen de l'échiquier politique français19,20,21.

Sommaire

Historique

Emmanuel Macron
en septembre 2014.
En marche ! est fondé le 6 avril 2016 à Amiens, ville de naissance du ministre22. Le nom du mouvement reprend les initiales de son fondateur18,23.
Avec cette initiative, Emmanuel Macron assume pour la première fois son ambition de se présenter à une élection présidentielle24. De nombreux observateurs politiques et médias avancent qu'il envisage de le faire dès 2017, notamment en raison de collectes de fonds qu'il organise25. Le lancement fait l'objet d'une forte couverture médiatique26 ; il s'accompagne d'un pic de requêtes concernant Emmanuel Macron sur Google et Wikipédia27 et de tensions avec François Hollande sur la question de la loyauté du ministre à son égard28. Lors de son entretien du 14 juillet 2016, François Hollande déclare qu'Emmanuel Macron est tenu à la « solidarité » gouvernementale et à la nécessité de « servir jusqu'au bout » sans « démarche personnelle et encore moins présidentielle »29. Dans les semaines qui suivent la fondation d'En marche !, ce dernier bénéficie d'une hausse notable dans les sondages d'opinion, dont certains le situent comme le mieux placé à gauche en vue de l'élection présidentielle de 201730,31.
La création d'En marche ! est saluée par différentes personnalités politiques, comme Najat Vallaud-Belkacem32, François Hollande33 ou encore Jean-Pierre Raffarin, qui juge que le mouvement « apporte du sang neuf »34. Pierre Gattaz, président du MEDEF, juge l'initiative « rafraîchissante », estimant qu'elle « permet de sortir de la politique politicienne »35.
D'autres sont plus critiques, à l'image de Jean-Luc Mélenchon, qui a plaisanté sur le fait que « les gens qui ont mis en panne tout le système et l'économie du pays [fassent] un truc qui s'appelle "En marche" »36 ou encore Christian Estrosi qui considère que le ministre n'a « aucune crédibilité »34.
Le mouvement lance en mai 2016 une « grande marche » qui vise à recueillir 100 000 témoignages par du porte-à-porte afin d'élaborer un « plan d'action ». Emmanuel Macron présente l'opération comme « le premier temps essentiel de la construction de notre mouvement »37. Il fait appel pour cette opération au cabinet de conseil Liegey Muller Pons, spécialisé dans les campagnes électorales et membre de l’équipe de François Hollande lors de la campagne présidentielle de 201238. 4 000 volontaires sont mobilisés pour cette opération23. Les milliers de questionnaires administrés par le porte-à-porte sont en grande majorité dépouillés par des algorithmes23, puis traités, selon le mouvement, par un groupe de 200 experts39. Sur les 100 000 « discussions » menées par les militants d'En marche !, un quart des questionnaires ont été remplis40.
Emmanuel Macron tient son premier meeting le 12 juillet 2016 à la Maison de la Mutualité, auquel participent environ 3 500 personnes, une quarantaine de parlementaires, dont Nicole Bricq ; des personnalités telles que Renaud Dutreil ; Erik Orsenna ; ou encore la veuve de Michel Rocard41. Il affirme vouloir porter son mouvement « jusqu’à 2017 et jusqu’à la victoire »42. Le choix de la date — deux jours avant la dernière intervention télévisée du quinquennat de François Hollande — apparaît comme une provocation41. Manuel Valls, qu'il critique sans le nommer lors de son discours41, exprime publiquement son agacement43.
En marche ! entend présenter des candidats sous sa propre étiquette dans toutes les circonscriptions aux élections législatives de 201744.

Positionnement

Alors qu'Emmanuel Macron a été membre du Parti socialiste (PS) de 2006 à 200945,46 et qu'il est encore membre du gouvernement de Manuel Valls lorsqu'il crée ce mouvement, En marche ! souhaite sortir des clivages politiques traditionnels et se veut transpartisan. Remplaçant le traditionnel clivage gauche-droite par celui « entre les progressistes et les conservateurs », Emmanuel Macron précise qu'En marche ! est à la fois de droite et de gauche28. Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, estime qu'En marche ! « n'a non seulement pas vocation à être dans la Belle Alliance Populaire [qui réunit les alliés du PS] mais il refuse de se situer à gauche voire cherche à dissoudre celle-ci dans la droite »47. D'après La Croix, En marche ! « ambitionne de rassembler largement, depuis les sociaux-démocrates jusqu’aux gaullistes sociaux »48.
Fabien Escalona conteste le qualificatif d'antisystème pour En marche ! et plaide pour ceux de « parti attrape-tout (en) » — c'est également le qualificatif choisi par Virginie Martin — et de « business firm party » (« parti-entreprise »), à l'instar concernant cette dernière catégorie de Forza Italia à son lancement par Silvio Berlusconi en Italie ou de l’Union du centre démocratique (UCD) en Espagne3.
Certains observateurs comparent En marche ! et le profil d'Emmanuel Macron au parti politique espagnol centriste Ciudadanos et à son dirigeant Albert Rivera49,50. Ce dernier apporte d'ailleurs son soutien à Emmanuel Macron en janvier 2017, voyant en lui un « réformiste »51. L'historien Christophe Barret estime qu'il s'agit de deux « partis à ranger dans la catégorie des réformismes de droite » mais souligne que leur comparaison est limitée par des spécificités nationales : si Emmanuel Macron « est toujours censé évoluer à gauche » et « s'en prend aux chômeurs », Ciudadanos « est l'allié de la droite » et ne peut tenir « un discours « anti-assistés » en raison de « la profondeur de la crise sociale »52.

Organisation

Identité juridique

Le mouvement repose juridiquement sur deux associations : l'« Association pour le renouvellement de la vie politique » et l'Association de financement du parti « Association pour le renouvellement de la vie politique » (AFRVP) : toutes deux déclarées le 20 février 2016 (annonces publiées au Journal officiel le 5 mars 2016) et domiciliées 33, rue Danton au Kremlin-Bicêtre53,54,55,56.
L'hebdomadaire L'Obs souligne que ses statuts sont « très classiques, communs à tous les partis politiques »56. Elle s'appuie sur un micro-parti visant à assurer son financement, qui a reçu l'agrément de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques et qui est présidé par Christian Dargnat, ex-directeur général de BNP Paribas Asset Management56,55.
Le logotype manuscrit « En Marche ! » est ensuite déposé à l'Institut national de la propriété industrielle le 8 avril 201657. Ce logo est indépendant de l'association « En Marche » qui — elle — existe depuis 199458. Un nouveau logo, non manuscrit, est déposé à l'INPI le 9 février 201759

Encadrement

Après la mise en ligne du site internet du mouvement, Mediapart relève que sa directrice de publication est Véronique Bolhuis, compagne du directeur de l’Institut Montaigne Laurent Bigorgne, et que l’association « En marche » a pour domiciliation l’adresse du domicile privé de Véronique Bolhuis et Laurent Bigorgne60. Après la publication de l'article, le site retire l'adresse exacte de la domiciliation et indique que le directeur de publication est l’association « En marche »60. Véronique Bolhuis est également la présidente de l'association depuis le dépôt des premiers statuts en février 2016 jusqu'à l'été 2016, et n'occupe plus de fonction officielle dans l’organigramme du mouvement depuis56,61. En marche ! dément tout lien avec l'Institut Montaigne et affirme que Laurent Bigorgne ne joue aucun rôle auprès du mouvement, tout en reconnaissant qu'il est une connaissance de longue date d'Emmanuel Macron61.
D'après Mediapart, le noyau dur des salariés du QG d’En marche « est constitué d’une poignée de trentenaires, pour beaucoup venus du cabinet de Macron à Bercy. [...] Parmi eux, l’ancien dir-cab adjoint Julien Denormandie ou l’ex-conseiller parlementaire Stéphane Séjourné, chargé des élus. Et bien sûr, Ismaël Emelien, très jeune conseiller spécial d’Emmanuel Macron à Bercy, qui a grandi à l’école Havas (ex-Euro RSCG) auprès du patron de la fondation Jean-Jaurès, Gilles Finchelstein »62. Ces permanents sont « issus pour la plupart des réseaux strauss-kahniens du Parti socialiste »39. Deux agences de communication travaillent également pour le mouvement : Little Wing et Jésus & Gabriel62,63. Richard Ferrand, député PS du Finistère, est nommé secrétaire général d’En marche ! en octobre 201664, succédant à Benjamin-Blaise Griveaux56.
Estimant qu'En marche ! doit « donner l'exemple » en matière de renouvellement du personnel politique dont il est partisan, Emmanuel Macron indique avoir « tenu à ce que des femmes et des hommes venant de la société civile puissent acquérir des responsabilités. Ils sont largement majoritaires dans nos rangs ; plus de 60 % de nos délégués nationaux et de nos référents territoriaux ne sont pas élus et ne l'ont jamais été. Nous veillerons aussi à limiter dans le temps les responsabilités au sein de ce nouveau mouvement »65.
À chacun des meetings d'Emmanuel Macron une équipe est chargée d'en organiser l’ambiance. Des responsables envoient aux membres du groupe des SMS afin de lancer les applaudissements aux moments opportuns ou d’exciter l'enthousiasme du public66. Le chercheur Fabien Escalona souligne qu'En marche ! figure parmi les rares partis d'Europe occidentale créés « ex nihilo » en suivant le modèle de « la professionnalisation des organisations partisanes et [de] l’importation des techniques managériales »3.
Le QG du mouvement est d'abord situé au 14e étage de la tour Montparnasse67, puis transféré en novembre 2016 dans des bureaux du 15e arrondissement de Paris68, 99 rue de l'Abbé-Groult69.
Le parti s'appuie en outre sur le collectif Les Jeunes Avec Macron70,71,72 qui gère notamment le site Vision Macron73 mettant en avant la vision et les propositions du candidat Emmanuel Macron pour l'élection présidentielle de 2017.

Adhérents

Le mouvement compte comme adhérents toutes les personnes ayant communiqué leur courriel, leur adresse complète (adresse postale, code postal et ville), un numéro de téléphone, leur date de naissance, et ayant adhéré à la charte du mouvement74. Il ne leur est cependant pas nécessaire de verser d'argent, contrairement aux autres partis politiques18,40. Emmanuel Macron indique qu'il est possible d’adhérer tout en restant membre d’un « autre parti républicain »17.
Le 10 avril 2016, quelques jours après le lancement du mouvement, Emmanuel Macron revendique 13 000 adhérents75. Le Canard Enchaîné l'accuse de gonfler ses chiffres et prétend qu'il s'agirait en réalité de 13 000 clics sur son site76. Ismaël Emelien, conseiller d'Emmanuel Macron, précise que « Chaque adhérent signe une charte des valeurs et dispose d’une voix à l’assemblée générale du mouvement, cela n’a rien à voir avec ceux qui s’inscrivent à la newsletter, beaucoup plus nombreux »77. Sylvain Fort, autre conseiller d'Emmanuel Macron, assure également que le mouvement vérifie les adresses e-mail valant adhésion mais concède que « le système repose sur l’honnêteté de l’adhérent »40.
En marche ! revendique 80 000 adhérents en septembre 2016 ; Le Monde indique alors : « Si le chiffre est exact, il fait de En Marche ! l’un des premiers partis politiques de France »77. Revendiquant 88 000 adhérents en octobre 2016, Emmanuel Macron affirme être « au coude-à-coude avec le Parti socialiste » en seulement « 7 mois » d'existence78. D'après Mediapart, on y compte « beaucoup d'indépendants, de cadres du privé ; peu de fonctionnaires, d'agriculteurs ou de chômeurs. Beaucoup n'ont jamais été engagés en politique. La plupart n'ont fait que signaler leur intérêt en laissant leurs coordonnées sur le site »39.
En marche ! s'inspire du modèle participatif de Désirs d'avenir, le mouvement de Ségolène Royal, et entend s'appuyer sur ses fichiers d'adhérents d'après le député Pascal Terrasse, proche d'Emmanuel Macron et ancien animateur de Désirs d'avenir79,80,81. D'après Libération, le mouvement s'appuie sur un « système d’enrôlement pyramidal directement inspiré des campagnes d’Obama en 2008 et 2012 »18.
En s'appuyant sur un modèle de politique participative, chaque adhérent d'En marche à la possibilité de rejoindre ou de créer librement et gratuitement un comité local. Chacun des ces comités est animé par un ou plusieurs adhérents (nommés référents ou animateurs), qui en organisent la vie en proposant des événements locaux, des rencontres et débats autours des idées et des valeurs portées par le mouvement[réf. nécessaire]. En marche ! comptait en décembre 2016 plus de 2 600 comités82.

Financement

Christian Dargnat, ex-directeur général de BNP Paribas Asset Management, préside l'association de financement d'En marche83 ! Celle-ci mène dès sa création une levée de fonds, y compris lors d'un déplacement d'Emmanuel Macron à Londres, ce qui pousse le député Les Républicains Georges Fenech à interpeller le gouvernement à ce sujet à l'Assemblée nationale et le Premier ministre, Manuel Valls, à apporter un démenti, alors même qu'En marche ! assume l'initiative83,84. Emmanuel Macron déclare en mai que 2 000 donateurs ont déjà versé des contributions financières (limitées à 7 500 euros par la loi) à En marche37 ! Il évoque « plus de 10 000 donateurs de 1 euro à 7 500 euros » en décembre 201685. Fin décembre 2016, il a recueilli, selon les sources, 4 à 5 millions d'euros de dons86,62.
Emmanuel Macron est accusé dans un livre à charge Dans l'enfer de Bercy: Enquête sur les secrets du ministère des Finances (JC Lattès, 2017) des journalistes Frédéric Says et Marion L'Hour d'avoir utilisé 120 000 euros de frais de bouche du budget de Bercy (80% de l'enveloppe annuelle) du 1er janvier au 30 août 2016 pour préparer sa campagne présidentielle87.

Campagne présidentielle de 2017

Dans le cadre de sa candidature à l'élection présidentielle de 2017, Emmanuel Macron organise plusieurs meetings à travers la France à compter de mi-2016, notamment le 12 juillet à Paris88 qui rassemble environ 2 000 personnes, le 4 octobre à Strasbourg89,note 2 qui rassemble environ 1 200 personnes, le 11 octobre au Mans90,note 3 qui rassemble environ 1 000 personnes, le 18 octobre à Montpelliernote 4 qui rassemble environ 1 600 personnes, le 17 novembre aux Pennes-Mirabeaunote 5,91 qui rassemble environ 1 200 personnes et le 10 décembre à Parisnote 6,92 qui rassemble environ 10 000 personnes (pour un coût estimé entre 400 000 et 450 000 euros93).
Dès le début de 2017, il organise de nouveaux meetings. À Nevers le 6 janvier, réunissant près de 1 000 personnes puis le lendemain à Clermont-Ferrand, rassemblant 2 500 personnes. Le 14 janvier, il organise un meeting au zénith de Lille attirant entre 4 000 et 5 000 personnes. Le 4 février, au palais omnisports de Gerland à Lyon, son meeting attire environ 8 000 personnes et plusieurs milliers d'autres devant des écrans géants à l'extérieur94.
En février 2017, l'entourage d'Emmanuel Macron estime que le mouvement En marche ! est victime de « plusieurs centaines d'attaques » informatiques chaque jour95 et que 50% du trafic serait "malveillant"96.

Soutiens

Parlementaires et personnalités nationales

Depuis la création d'En marche !, Emmanuel Macron a reçu des soutiens de la part de plusieurs parlementaires principalement PS (Florent Boudié97, Nicole Bricq98, Jean-Jacques Bridey99, Christophe Castaner99, Jean-Yves Caullet100, Gérard Collomb101, Anne Emery-Dumas102, Corinne Erhel103, Richard Ferrand104, Bariza Khiari105, Jean Launay106, Arnaud Leroy107, Jean-Pierre Le Roch108, Gérard Miquel106, François Patriat109, Stéphane Travert110, Pascal Terrasse111, Jean-Louis Touraine112, Jean-Pierre Masseret113) mais aussi PRG (Philippe Esnol114 , François Fortassin115, Joël Giraud116, Jacques Krabal117, Françoise Laborde118, Jacques Mézard119, Alain Tourret120), du Parti écologiste (François de Rugy121) et un DVG (Paul Giacobbi122 ). Après la victoire de Benoît Hamon à la primaire citoyenne de janvier 2017, les députés Alain Calmette et Marc Goua rejoignent Emmanuel Macron123. Le député Christophe Caresche fait de même le 26 février 2017, suivi dans la journée par l'ancien eurodéputé écologiste Daniel Cohn-Bendit124. Le 8 mars 2017, l'ancien maire de Paris Bertrand Delanoë annonce son soutien au candidat125.
Emmanuel Macron reçoit également le soutien de quelques élus classés MoDem, UDI ou à droite126 :

Élus locaux

Plusieurs personnalités politiques locales, de gauche, de droite et du centre, apportent leur soutien au mouvement. Cette liste est non-exhaustive et classée par ordre alphabétique.
Personnalité
Parti
Principales fonctions

Maire de Saint-Denis de La Réunion.


Conseiller de Paris.

Conseillère régionale d'Île-de-France.

Conseiller départemental de l'Aveyron, 2e adjoint à la mairie de Rodez et ancien sénateur de l'Aveyron.



Président de Rodez Agglomération, maire de Rodez.


Conseiller régional d'Auvergne-Rhône-Alpes.

Autres

Emmanuel Macron est également soutenu par Jean-Marc Borello, dirigeant associatif depuis 1998 et président du directoire du groupe SOS150, l'homme d'affaires Alain Minc151 et par Jacques Attali152. Les hommes d'affaires Henry Hermand, Marc Simoncini et Jean Peyrelevade affichent également publiquement leur soutien au mouvement107, comme aussi Bernard Kouchner et Corinne Lepage153.
En octobre 2016, Bernard Mourad quitte Altice Media Group (propriétaire de Libération, L'Express, etc.) pour rejoindre l'équipe d'En Marche en tant que conseiller spécial154.
Plusieurs dirigeants de think tank font également partie des soutiens du mouvement : Claude Bébéar et Laurent Bigorgne155 de l'Institut Montaigne, Thierry Pech de Terra Nova et Gilles Finchelstein de la Fondation Jean-Jaurès107.
Le 28 novembre 2016, 130 membres de l'UDI Jeunes et élus annoncent leur soutien à Emmanuel Macron156 ; ils sont suivis le 10 janvier 2017 de 15 militants du MoDem157.
Après l'annonce par François Hollande de son intention de ne pas briguer un second mandat le 1er décembre 2016, Jean-Pierre Mignard, avocat proche du PS et ami de François Hollande, exprime son soutien à Emmanuel Macron158, ainsi que son confrère Dominique Villemot159. En février 2017, l'ancien juge Éric Halphen rallie sa candidature160.
En janvier 2017, l'économiste Jean Pisani-Ferry donne sa démission de France Stratégie pour rejoindre l'équipe de campagne d'Emmanuel Macron161. Il est en charge du « projet de transformation » d'En marche ! et de son cadrage budgétaire5. Dans le même temps, la journaliste Laurence Haïm quitte la chaîne d'information I-Télé, pour devenir porte-parole du candidat162.
Le 27 janvier 2017, environ 80 militants, maires, élus généraux, régionaux ou responsables nationaux du Parti radical de gauche appellent à rejoindre Emmanuel Macron163.
Initialement candidat du Mouvement des progressistes à l'élection présidentielle, Sébastien Nadot se retire le 27 février 2017 pour rejoindre Emmanuel Macron164.
Le général Bertrand Soubelet rejoint l'équipe de campagne d'Emmanuel Macron165 et fait partie des candidats investis par En Marche ! aux élections législatives.
Le député européen, président du groupe ADLE et ancien Premier ministre de Belgique Guy Verhofstadt apporte son soutien à Emmanuel Macron166.

Polémiques

Financement et accusations de conflits d'intérêt

Fin 2016, le responsable communication du candidat déclarait avoir déjà récolté 3,7 millions d'euros de dons pour la présidentielle167 c'est-à-dire entre 2 et 3 fois le budget de François Fillon ou Alain Juppé pour la primaire de la droite168. Son parti politique ne bénéficiant pas encore de financement public, l'ensemble de cette somme provient de dons de particuliers22. En novembre 2016, Benoît Hamon presse Emmanuel Macron de révéler la liste de ses donateurs, mettant entre autres en avant les conflits d'intérêts possibles liés à son statut d'ancien associé de la banque Rothschild169. Ce dernier refuse cette transparence, taxant la demande de « démagogique ».

Frais de représentation

Dans leur ouvrage intitulé Dans l’enfer de Bercy, les journalistes Marion L'Hour et Frédéric Says relèvent qu'Emmanuel Macron a utilisé à lui seul 80% de l’enveloppe annuelle des frais de représentation accordée à son ministère, soit plus de 120 000 euros en huit mois. Il est alors accusé d'avoir utilisé cet argent pour mettre en avant son mouvement En Marche. Ces accusations sont renouvelées par les députés Christian Jacob (LR) et Philippe Vigier (UDI). S'il confirme les dépenses, son successeur au ministère de l'économie Michel Sapin n'y voit quant à lui rien d'illégal, considérant que Macron « n'a pas dépensé plus » d'argent qu'il n'en avait le droit. Il déplore en revanche son désengagement vis-à-vis de ses fonctions lors de ses derniers mois au ministère170.

Identité visuelle (logo)

Premier logo, déposé à l'INPI le 8 avril 201657.
Second logo, déposé à l'INPI le 9 février 201759.
Cliquez sur une vignette pour l’agrandir.

Notes et références

Notes

  1. Le nombre d'adhésion est mis à jour de manière instantanée. Son mode diffère de celui des partis politiques traditionnels, notamment en raison de sa gratuité. Voir En marche !#Organisation.
  2. Première partie du diagnostic du pays sur le thème de la Vie engagée.
  3. Deuxième partie du diagnostic du pays sur le thème de la Vie quotidienne.
  4. Troisième partie du diagnostic du pays sur le thème de la Vie ensemble.
  5. Premier meeting en tant que candidat à la présidentielle de 2017.
  6. Premier grand rassemblement de campagne.

Références

  1. « En Marche (EM) » [archive], sur France politique (consulté le 4 mars 2017).
  2. Thomas Wieder, « Emmanuel Macron à Berlin pour se donner une stature européenne » [archive], sur lemonde.fr,‎ 10 janvier 2017 (consulté le 10 janvier 2017).
  3. a, b et c Fabien Escalona, « Macron, tel César dans sa start-up » [archive], sur Mediapart,‎ 21 février 2017 (consulté le 21 février 2017).
  4. a et b « En marche ! Un social-libéral pour piloter le projet de Macron » [archive], sur L'Humanité.fr,‎ 12 janvier 2017 (consulté le 12 janvier 2017).
  5. a et b Site officiel d'En Marche ǃ - Une charte pour avancer ensemble [archive] - Nous préférons l’innovation à tous les conservatismes. Nous refusons de penser qu’il n’y a de salut que dans un retour vers le passé et pensons au contraire que l’avenir de la France nécessite de renouer avec l’idée de progrès. Nous croyons de manière radicale au progrès collectif et à l’émancipation individuelle : la transformation de la société est une nécessité de justice autant que d’efficacité.
  6. a, b et c Site officiel d'En Marche ǃ - Une charte pour avancer ensemble [archive] - Nous croyons que le destin de l’Europe et celui de la France sont indissociables : renouer avec le rêve européen est la condition de notre réussite politique et économique dans la mondialisation.
  7. Vision Macron - L’intégration dans la mondialisation [archive] - « Les grands succès économiques de notre pays sont tirés par la croissance du monde, nous n’avons plus le choix et c’est même notre chance. Il est illusoire de vouloir s’opposer à la mondialisation, le repli sur soi n’est pas une solution tenable, la mondialisation comme réalité économique doit être comprise et acceptée. »
  8. Site officiel d'En Marche ǃ - Une charte pour avancer ensemble [archive] - Enfin, et surtout, nous voulons remettre notre économie et notre société en mouvement.
  9. Site officiel d'En Marche ǃ - Une charte pour avancer ensemble [archive] - Nous considérons ainsi qu’il faut en finir avec la politique comme profession réglementée, et tout faire pour que les citoyens soient mieux associés aux décisions qui les concernent. Nous considérons que le fonctionnement démocratique de nos institutions doit être réinventé : trop de gens se sentent aujourd’hui exclus d’un système pourtant censé les représenter. Nous sommes attachés à ce que chacun des adhérents d’En Marche respecte les lois de la République, ainsi que les règles élémentaires de la courtoisie, du respect d’autrui, de l’honnêteté et de la probité. Nous condamnons de manière générale tous les actes et tous les propos qui jugeraient une personne pour ce qu’elle est. Chacun des adhérents d’En Marche s’engage donc à ne pas commettre de discrimination ou d’abus de pouvoir et à signaler tout conflit d’intérêt. Seront notamment susceptibles d’être exclu(e)s de notre collectif celles et ceux qui feraient l’objet d’une condamnation définitive pour des faits ou comportements contraires aux valeurs exprimées ici. Nous croyons en l’intérêt général : la politique, telle qu’elle nous anime, doit transcender les intérêts particuliers et se dresser contre les corporatismes qui sclérosent notre pays.
  10. L'Opinion - Emmanuel Macron, radiographie d’un phénomène sur les réseaux sociaux - Véronique Reille-Soult - 8 septembre 2016 [archive] - « La force d’Emmanuel Macron ou en tout cas ce qui participe grandement à son succès sur les réseaux sociaux est son acceptation à cette sorte de « lâcher-prise ». En acceptant que chacun puisse s’approprier à sa façon, avec ses mots et ses points de convergence et de divergence, l’expression de son mouvement « En Marche ! », il s’est parfaitement aligné avec ces nouveaux codes et usages. En pratiquant ainsi, il inspire, conduit, mais laisse le soin au public internaute de s’approprier ses idées par une contribution individuelle. Les créations de hashtags se font spontanément, en dehors du cercle des soutiens officiels et il n’y a pas d’éléments de langage officiel, chacun s’exprime selon son ressenti et son envie. Cette pratique nouvelle permet un meilleur rayonnement des messages, une plus grande influence du web. C’est une approche moderne et en phase avec les codes 2.0. »
  11. a et b « Emmanuel Macron lance un « mouvement politique nouveau » baptisé « En marche ! » », Le Monde,‎ 6 avril 2016 (lire en ligne [archive]).
  12. a, b, c et d Nathalie Raulin, «En marche» : le bébé du ministre fait ses premiers pas [archive], liberation.fr,‎ 20 avril 2016 (consulté le 21 avril 2016).
  13. a, b et c Rémi Noyon, « Comment Emmanuel Macron fait-il son « diagnostic » ? Indice : il a besoin de linguistes » [archive], sur Rue89,‎ 9 septembre 2016 (consulté le 9 septembre 2016).
  14. Thomas Wieder, « Le pari libéral d’Emmanuel Macron » [archive], sur Le Monde.fr,‎ 7 avril 2016 (consulté le 8 avril 2016).
  15. Etienne Baldit, Pierre Lepelletier, « La folle séquence médiatique d'Emmanuel Macron » [archive], sur Le Lab,‎ 22 avril 2016 (consulté le 8 juin 2016).
  16. « Requêtes sur internet : avec En Marche, Macron a pris le dessus sur Valls » [archive], sur leparisien.fr,‎ 13 juillet 2016 (consulté le 25 juillet 2016).
  17. a et b Amandine Réaux, « Finalement, le parti d'Emmanuel Macron est "et de droite, et de gauche" (mais surtout progressiste) » [archive], sur Le Lab,‎ 21 avril 2016 (consulté le 24 avril 2016).
  18. Jean-Marie Pottier, « Emmanuel Macron, la démission continue » [archive], sur Slate,‎ 30 août 2016 (consulté le 31 août 2016).
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