Cher ami, Monsieur le
Secrétaire général,
la Belle alliance populaire m'avait semblé "faite" pour le Président. La visite-t-il ? d'autant que Valls en a peur et n'y vient pas de peur de déplaire à ...
Thèmes évidents pour le Président : pas un sacrifice que cette renonciation, mais une disponibilité plus grande à sa famille d'esprit dont il avait su maintenir l'unité et même le rayonnement après Avril 2002, et cela peut se refaire et il le refera. Et disponibilité aux Français : lecture du temps et de ses signes.
Hier soir sur France-Info. : très beaux traits sur le Président par Davet et L'homme. Les profondes émotions et blessures : sa vie privée, "closergate", puis le livre de la compagne. Le privé mais montrant beaucoup. Et la troisième intense blessure : les téléphones des massacreurs du bataclan disant leur haine et de la France et de lui. Il continue de nous incarner quelles que soient ses erreurs (orientation générale Berlin le premier soir et Florange - avoir abandonné successivement deux couples et deux compagnes de très grande valeur : Ségolène, vous le savez bien, et Valérie, son livre est le meilleur écrit sur et pour le Président - avoir nommé Valls et Macron). Et belle analyse, beau témoignage d'une Agnès B. ayant co-signé le manifeste contre le "hollandebashing"
Logique ? le Président impopulaire, mais la faute à quoi et à qui ? à la politique suivie, et qui l'a inspiré cette politique néo-libérale blessant bien plus que les salariés (que nous pourrons refaire et réorganiser) notre patrimoine industriel et agricole, l'émigration de nos diplômés très jeunes ou ne pouvant continuer à 65 ou 70 ans leur activité vg. scientifiques, chercheurs, médecins). Or, cette politique si lacunaire, c'est qui ? deux candidats à la présidentielle : Macron et Valls... Inconséquence des Français si ceux-ci les suivent.
Europe, Europe...prêcher, proposer, voyager. Election directe du président de l'Union.
Le Président reste une force en cas de coup terrible d'ici Mai.
Il peut devenir une autorité morale - celle qu'il nous manque - en nous faisant comprendre que l'échec apparent est une faute collective de nous tous, pas seulement de lui, mais certainement de nos dirigeants, et certainement de nous qui n'avons pas su faire pression, nous révolter. Et réfléchir, faire réfléchir avec l'autorité de l'expérience et de l'humilité, c'est un apport considérable à notre vie nationale et à l'entreprise européenne. Exactement l'exercice que les évêques de France voulaient, veulent nous faire mener : " dans un monde change, retrouver le sens du politique ".
La politique n'est pas le politique, quand celle-ci est pantalonnade, jabot gonflé ou livre de cuisine avec cahier de comptes et crayon à l'oreille.
Notre fille de douze ans, qui avait "voté" en 2012 Eva Joly, juge que le Président n'a pas démérité.
Gardez en réserve la démission du Président, bouleversant tous les calendriers et "annulant" Gérard Larcher en tant que serviteur de François Fillon.
Chaleureuses pensées.
la Belle alliance populaire m'avait semblé "faite" pour le Président. La visite-t-il ? d'autant que Valls en a peur et n'y vient pas de peur de déplaire à ...
Thèmes évidents pour le Président : pas un sacrifice que cette renonciation, mais une disponibilité plus grande à sa famille d'esprit dont il avait su maintenir l'unité et même le rayonnement après Avril 2002, et cela peut se refaire et il le refera. Et disponibilité aux Français : lecture du temps et de ses signes.
Hier soir sur France-Info. : très beaux traits sur le Président par Davet et L'homme. Les profondes émotions et blessures : sa vie privée, "closergate", puis le livre de la compagne. Le privé mais montrant beaucoup. Et la troisième intense blessure : les téléphones des massacreurs du bataclan disant leur haine et de la France et de lui. Il continue de nous incarner quelles que soient ses erreurs (orientation générale Berlin le premier soir et Florange - avoir abandonné successivement deux couples et deux compagnes de très grande valeur : Ségolène, vous le savez bien, et Valérie, son livre est le meilleur écrit sur et pour le Président - avoir nommé Valls et Macron). Et belle analyse, beau témoignage d'une Agnès B. ayant co-signé le manifeste contre le "hollandebashing"
Logique ? le Président impopulaire, mais la faute à quoi et à qui ? à la politique suivie, et qui l'a inspiré cette politique néo-libérale blessant bien plus que les salariés (que nous pourrons refaire et réorganiser) notre patrimoine industriel et agricole, l'émigration de nos diplômés très jeunes ou ne pouvant continuer à 65 ou 70 ans leur activité vg. scientifiques, chercheurs, médecins). Or, cette politique si lacunaire, c'est qui ? deux candidats à la présidentielle : Macron et Valls... Inconséquence des Français si ceux-ci les suivent.
Europe, Europe...prêcher, proposer, voyager. Election directe du président de l'Union.
Le Président reste une force en cas de coup terrible d'ici Mai.
Il peut devenir une autorité morale - celle qu'il nous manque - en nous faisant comprendre que l'échec apparent est une faute collective de nous tous, pas seulement de lui, mais certainement de nos dirigeants, et certainement de nous qui n'avons pas su faire pression, nous révolter. Et réfléchir, faire réfléchir avec l'autorité de l'expérience et de l'humilité, c'est un apport considérable à notre vie nationale et à l'entreprise européenne. Exactement l'exercice que les évêques de France voulaient, veulent nous faire mener : " dans un monde change, retrouver le sens du politique ".
La politique n'est pas le politique, quand celle-ci est pantalonnade, jabot gonflé ou livre de cuisine avec cahier de comptes et crayon à l'oreille.
Notre fille de douze ans, qui avait "voté" en 2012 Eva Joly, juge que le Président n'a pas démérité.
Gardez en réserve la démission du Président, bouleversant tous les calendriers et "annulant" Gérard Larcher en tant que serviteur de François Fillon.
Chaleureuses pensées.
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