skip to main | skip to sidebar

Voir & Entendre

Je n'appartiens à aucun mouvement ni parti politique ou confessionnel. Mon gaullisme de référence continue jusqu'au lundi 28 avril 1969 à midi. Depuis, j'ai pensé que la gauche devait, à son tour, gouverner, et j'ai prisé François Mitterrand. Vous trouverez ci-après - quotidiennement ou presque - mon journal politique et spirituel du jour et parfois des rétrospectives jusqu'à l'été de 1964 où j'ai commencé, préparant l'E.N.A., à écrire un cahier personnel. DIALOGUER : b.fdef@wanadoo.fr

vendredi 17 juin 2022

Jean-Louis Trintignant meurt aujourd'hui - 11 Décembre 1930 + 17 Juin 2022 ... wikipédia aujourd'hui à 19 heures 09

 

Jean-Louis Trintignant

Cet article ou cette section traite d’une personne morte récemment (17 juin 2022).

Le texte peut changer fréquemment, n’est peut-être pas à jour et peut manquer de recul. N’hésitez pas à participer, en veillant à citer vos sources.

Les biographies étant habituellement écrites au présent de narration, merci de ne pas mettre au passé les verbes qui sont actuellement au présent. L'emploi des mots « mort » et « décès » est discuté sur cette page.
La dernière modification de cette page a été faite le 17 juin 2022 à 19:09.

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les autres membres de la famille, voir Famille Trintignant.

Jean-Louis Trintignant
Image dans Infobox.
Jean-Louis Trintignant au festival de Cannes en 2012.
Biographie
Naissance
11 décembre 1930
Piolenc (Vaucluse), France
Décès
17 juin 2022 (à 91 ans)
Uzès (Gard), France
Nom de naissance
Jean Louis Xavier Trintignant1
Nationalité
Drapeau de la France Française
Formation
Institut des hautes études cinématographiques
Activité
Acteur
Réalisateur
Période d'activité
1951-2019
Père
Raoul Trintignant (d)
Conjoints
Marianne Hoepfner
Stéphane Audran (de 1954 à 1956)
Nadine Trintignant (de 1960 à 1976)
Enfants
Marie Trintignant
Vincent Trintignant
Autres informations
Taille
1,72 m
Sport
Sport automobile
Distinctions

Liste détaillée
Films notables
Et Dieu… créa la femme
Un homme et une femme
Le Conformiste
Z
Ma nuit chez Maud
Amour

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Jean-Louis Trintignant est un acteur, réalisateur et pilote automobile français, né le 11 décembre 1930 à Piolenc (Vaucluse) et mort le 17 juin 2022 à Uzès (Gard).

Comédien depuis les années 1950, il est présent dans le cinéma d'auteur, collaborant avec de nombreux réalisateurs internationaux dont Costa-Gavras, Claude Lelouch, Éric Rohmer, Michael Haneke, Claude Chabrol, Bernardo Bertolucci, Ettore Scola, François Truffaut, Bertrand Blier, Sergio Corbucci, Robert Hossein, Alain Robbe-Grillet, Enki Bilal, Jacques Audiard, Krzystof Kieslowski ou René Clément.

Il reçoit un Ours d'argent du meilleur acteur au Festival de Berlin pour L'Homme qui ment en 1968 et un prix d'interprétation masculine au Festival de Cannes 1969 pour Z. Il reçoit en 2013 le César du meilleur acteur pour Amour.

Neveu des pilotes automobiles Louis et Maurice Trintignant, il est — avec la réalisatrice Nadine Trintignant qui fut son épouse de 1960 à 1976 — le père de l'actrice Marie Trintignant et de l'assistant-réalisateur Vincent Trintignant.

Biographie

Famille et jeunesse

Jean-Louis Trintignant naît le 11 décembre 1930 à Piolenc à 6 km au nord-ouest d'Orange. Il est le fils de Raoul Trintignant, industriel, maire (SFIO) de Pont-Saint-Esprit (1944 - 1947) et conseiller général du canton homonyme (1945 - 1949). Raoul Trintignant a été l'un des responsables de la Résistance à Pont-Saint-Esprit avant de rejoindre un maquis de l'Ardèche. Il est arrêté par des légionnaires incorporés dans l'armée allemande en mai 1944 et emprisonné aux Baumettes jusqu'à la Libération. Claire Tourtin, sa mère, issue d'une riche famille de Bollène, est tondue après la guerre2 pour avoir eu une liaison avec un soldat allemand. Ces événements et leurs conséquences sur les relations entre son père et sa mère marqueront durablement Jean-Louis Trintignant.

Trois de ses oncles se passionnent pour la course automobile. L'ainé Louis Trintignant (1903-1933) se tue lors des essais du prix de Picardie. Henri Trintignant participe au Grand Prix de France en 1936. Maurice Trintignant (1917-2005) aura après la guerre une carrière exceptionnelle, courant notamment pour Maserati, Bugatti, Lotus et Ferrari. Jean-Louis héritera de leur passion et se lancera dans la compétition bien des années plus tard.

En 19443, il se découvre une passion pour la poésie de Jacques Prévert qui ne le quittera plus de sa vie, ou encore pour Guillaume Apollinaire et Louis Aragon.

En 1949, alors qu'il est étudiant à la faculté de droit d'Aix-en-Provence, il assiste à une représentation de L'Avare, comédie de Molière mise en scène par Charles Dullin : cette pièce est pour lui une révélation. Il assiste peu après à une représentation de Jules César par Raymond Hermantier, qui lui fait découvrir et aimer Shakespeare. Il abandonne ses études, décide de suivre les cours de comédie de Charles Dullin - mort entretemps - et de Tania Balachova à Paris. Cela l'aide à vaincre sa profonde timidité. Son ambition est de devenir comédien au théâtre et metteur en scène au cinéma. C'est pourquoi, parallèlement aux cours d'art dramatique, il entre à l'IDHEC. Il décroche des figurations et des petits rôles, notamment au TNP.

Les débuts

En 1951, il débute au théâtre dans la compagnie de Raymond Hermantier avec la pièce À chacun selon sa faim. Il enchaîne avec la Comédie de Saint-Étienne où il joue Macbeth de William Shakespeare avec Jean Dasté. Puis il suit les cours de réalisateur de l'Institut des hautes études cinématographiques (IDHEC). Il ne réalisera son premier film que vingt ans plus tard avec Une journée bien remplie en 1972 et Le Maître-nageur en 1978, qui seront deux échecs commerciaux.

Reconnaissance internationale avec Et Dieu... créa la femme

En 1956 après quelques figurations, il fait ses débuts comme acteur de cinéma avec le film Si tous les gars du monde de Christian-Jaque et connaît la célébrité internationale en même temps que Brigitte Bardot avec le film mythique à scandale Et Dieu… créa la femme de Roger Vadim où il joue le jeune époux fou amoureux de Juliette, une jeune femme à la beauté diabolique qui ne pense qu'à s'amuser et à aimer les hommes dans une communauté du village de Saint-Tropez traditionnellement dure au labeur et attachée aux bonnes mœurs. Sa liaison avec Brigitte Bardot (mariée à Roger Vadim) fait alors couler beaucoup d'encre dans la presse people internationale et fait exploser le couple Vadim-Bardot.

Service militaire et retour dans l'ombre

Il disparaît totalement durant son service militaire. Il réussit, en se rendant malade avec un mélange de blancs d'œuf et de vin blanc, à éviter d'être envoyé en Algérie[réf. nécessaire]. Il est affecté à Trèves en Allemagne, puis à la caserne Dupleix à Paris4. Ces années vont le marquer profondément et arrêter momentanément sa carrière de comédien.

Retour à la lumière avec Un homme et une femme

Revenu à la vie civile fin 1958, il redevient populaire en jouant de façon magistrale Hamlet de William Shakespeare au théâtre et renoue avec le cinéma en 1959 grâce à Roger Vadim qui lui offre un rôle important dans son nouveau film sulfureux Les Liaisons dangereuses 1960 avec Gérard Philipe, Jeanne Moreau, Annette Vadim et Boris Vian. Il connait le succès en Italie avec Le Fanfaron de Dino Risi avec Vittorio Gassman, film emblématique de la comédie à l'italienne des années 1960.

Il connaît à nouveau la gloire internationale avec Un homme et une femme de Claude Lelouch récompensé en France par la Palme d'or au Festival de Cannes 1966 et aux États-Unis par les Oscars du meilleur film étranger et du meilleur scénario original en 1967.

Films politiques, cinéma d'auteur et succès au théâtre

Il joue également dans des films politiquement engagés contre le fascisme et la dictature : Le Combat dans l'île d'Alain Cavalier en 1962 et Z de Costa-Gavras avec Yves Montand, rôle pour lequel il reçoit le prix d'interprétation masculine au Festival de Cannes de 1969.

Il enchaîne une impressionnante carrière entre cinéma d'auteur, films grand public et théâtre où il prend souvent des rôles d'antihéros au charisme envoûtant et à la voix de velours tourmentée et sarcastique. Il s'impose parmi les plus grands comédiens de sa génération.

En 1968, il est récompensé par l'Ours d'argent du meilleur acteur au Festival du film de Berlin (Berlinale) pour L'Homme qui ment d'Alain Robbe-Grillet. Il est ensuite la vedette d'un spaghetti-western de Sergio Corbucci : Le Grand silence, avec Klaus Kinski. Ce film deviendra au fil des années une référence du genre et sera choisi en 2012 pour un hommage rendu au comédien à la Cinémathèque. L'année suivante, il donne la réplique à Françoise Fabian dans un film qui devient rapidement un classique : Ma nuit chez Maud d'Éric Rohmer. En 1970, Trintignant interprète ce qu'il considère comme son plus beau rôle5, celui de Marcello Clerici dans Le Conformiste, un film de Bernardo Bertolucci adaptant un roman de Alberto Moravia et considéré aujourd'hui comme un des meilleurs films du cinéaste.

Pendant les années qui suivent, Trintignant tourne beaucoup, en France (Le Voyou de Claude Lelouch, La Course du lièvre à travers les champs tourné au Québec par René Clément, Les Violons du bal, œuvre autobiographique de Michel Drach, Le Secret de Robert Enrico avec Philippe Noiret et Marlène Jobert, Flic Story de Jacques Deray où il partage l’affiche avec Alain Delon) mais aussi occasionnellement en Italie (La Femme du dimanche de Luigi Comencini, La Terrasse de Ettore Scola). Il se voit également offrir par Bertolucci le rôle principal du film Le Dernier Tango à Paris, qu'il refuse et qui sera finalement attribué à Marlon Brando.

Trintignant aborde aussi la mise-en-scène une première fois en 1973 avec la comédie d'humour noir Une journée bien remplie, mettant en vedette Jacques Dufilho, puis une seconde et dernière fois en 1979 avec Le Maître-nageur, une fable dont le ton sardonique se situe dans la même veine que celui d'Une Journée bien remplie.

Le film Ça n'arrive qu'aux autres, dans lequel Jean-Louis Trintignant devait jouer son propre rôle auprès de Catherine Deneuve est inspiré de sa vie avec Nadine Marquand et du deuil de leur fille Pauline.

Marie joue dans plusieurs films de sa mère aux côtés de son père et plusieurs pièces de théâtre avec son père. Elle devient la partenaire privilégiée de son père.

Entre 1976 et 1978, il choisit de se retirer momentanément du cinéma et ne tourne que deux films : Les Passagers de Serge Leroy et Repérages de Michel Soutter. Il refuse les rôles de Lacombe dans Rencontres du troisième type de Steven Spielberg et d'un journaliste dans Apocalypse Now de Francis Ford Coppola - les rôles seront repris par François Truffaut et Dennis Hopper4. Il s'intéresse à la compétition automobile et court un temps comme pilote automobile professionnel, engagé par British Leyland en formule de production. Il participe à plusieurs rallyes - notamment au rallye de Monte-Carlo à six reprises, terminant entre la 20e et la 65e place - et courses en circuits notamment pour l'équipe du Star Racing Team de Moustache, sur Simca 1000 Rallye. Il y rencontre Marianne Hoepfner, célèbre pilote de rallye, notamment celui du Paris-Dakar 1984. Elle deviendra son épouse en 2000, après son divorce d'avec Nadine Trintignant. Il participe aux 24 heures du Mans en 1980 (abandon) et finit deuxième aux 24 heures de Spa en 1982 avec ses coéquipiers Jean-Pierre Jarier et Thierry Tassin.

Il revient au cinéma en 1978 dans L'Argent des autres de Christian de Chalonge, qui obtiendra un grand succès critique et public.

Années 1980 : retrait progressif du cinéma

Le début des années 1980 est assez actif pour Trintignant, il fait son seul et unique doublage en devenant la voix française de Jack Nicholson dans le film Shining de Stanley Kubrick. Nicholson est normalement doublé par le comédien Jean-Pierre Moulin, mais Kubrick exigeait que ce soit Trintignant qui double Jack dans son film. Alors qu'il apparait dans plusieurs films dont Malevil de Christian de Chalonge, un rare exemple de film d'anticipation tourné en France ; ou Eaux profondes, un drame psychologique de Michel Deville inspiré d'un roman de Patricia Highsmith. Il tient également un rôle plus secondaire dans Le Grand pardon, un film de gangsters réalisé par Alexandre Arcady et qui connait un bon succès .

En 1983, aux côtés de Fanny Ardant, il tourne pour la première fois sous la direction de François Truffaut dans ce qui sera le dernier film du célèbre metteur-en-scène : Vivement dimanche !, une comédie policière dans laquelle Trintignant incarne un agent immobilier injustement soupçonné de meurtre. Il renoue ensuite avec Claude Lelouch grâce à Viva la vie.

En 1986, Claude Lelouch lui propose de reprendre son rôle de coureur automobile dans Un homme et une femme : Vingt ans déjà dans lequel il retrouve Anouk Aimée. Le film est cependant loin de connaitre le succès de son prédécesseur.

Jean-Louis Trintignant en 2007.

Après avoir vécu plusieurs années à Lambesc, il se retire en 1985 dans sa maison d'Uzès dans le Gard à 40 km à l'ouest d'Avignon pour vivre en harmonie avec la nature. Il se dit lassé par le cinéma, refuse plusieurs projets et se fait plus rare même s'il revient de temps à autre essentiellement dans des seconds rôles comme dans La Femme de ma vie de Régis Wargnier. En 1987 il annonce lors du Festival de Venise qu'il abandonne le cinéma, faisant croire qu'il est gravement malade6. Il revient au cinéma deux ans plus tard dans Bunker Palace Hotel.

Dans les années 1990, il aborde des personnages misanthropes et cyniques, murés dans leur solitude.

En 1994, il tient un rôle remarqué dans Trois couleurs : Rouge de Krzysztof Kieślowski et Regarde les hommes tomber, le premier film de Jacques Audiard. Il apparaît également dans Fiesta de Pierre Boutron, qui évoque l'endurcissement des jeunes combattants franquistes durant la guerre d'Espagne.

Il disparaît des écrans, privilégiant le théâtre et de nouvelles activités. En 1998, il fait une exception en acceptant de tourner avec Patrice Chéreau dans Ceux qui m'aiment prendront le train.

Producteur de vin

En 1996, à l’image de son oncle Maurice Trintignant retiré de la course automobile dans son domaine viticole de Vergèze à 20 km au sud-ouest de Nîmes dans le Gard, il se lance dans une nouvelle aventure en achetant le domaine viticole Rouge Garance (en hommage à Arletty) de cinq hectares dans les côtes du Rhône associé avec son couple d'amis Claudie et Bertrand Cortellini à Saint-Hilaire-d'Ozilhan à 20 km de Nîmes et d'Avignon. Il produit 20 000 bouteilles de Côtes-du-rhône villages en Appellation d'origine contrôlée. Il fait dessiner la première étiquette de sa première cuvée 1997 par son ami le dessinateur de bande dessinée Enki Bilal qui le dirige d'ailleurs dans Bunker Palace Hôtel et Tykho Moon, ses deux premiers longs métrages comme réalisateur.

Jean-Louis Trintignant et Marie Trintignant en 1979.

Dix ans après, son domaine Rouge Garance est l'un des domaines phares parmi les mieux notés de la vallée du Rhône grâce au talent des propriétaires. Il rachète et utilise les vieilles barriques du domaine bourguignon de la romanée-conti pour élever son vin. « Je passe mon temps dans les vignes, je veille aux assemblages. » À Uzès, l'acteur laisse la place à l'éleveur de vin et d'oliviers.

Récentes apparitions au théâtre et au cinéma

En 2003, il lit sur scène derrière son pupitre les Poèmes à Lou (lettre d'amour du poète Guillaume Apollinaire à sa bien-aimée Lou) avec sa fille Marie Trintignant.

En 2005, en hommage à sa fille Marie, tuée deux ans auparavant, il présente son spectacle Jean-Louis Trintignant lit Apollinaire, créé avec elle, au Festival d'Avignon. La même année, il forme un duo mémorable avec Roger Dumas dans la pièce Moins 2, écrite et mise en scène par Samuel Benchetrit au Théâtre Hébertot.

En 20117, accompagné de Daniel Mille à l'accordéon et de Grégoire Korniluk au violoncelle, il présente au théâtre de l'Odéon son spectacle « Trois poètes libertaires » : Boris Vian, Jacques Prévert et Robert Desnos qu'il a déjà rodé en province en 2010 et qu'il poursuit en tournée, principalement française, en 2012 et 2013.

Après dix ans d'absence au cinéma, depuis son apparition dans Janis et John de Samuel Benchetrit, il revient en 2012 sur le grand écran, au côté d'Emmanuelle Riva, dans Amour de Michael Haneke, drame intimiste et universel sur la maladie, la vieillesse et la mort récompensé par la Palme d'or au 65e Festival de Cannes, le César du meilleur film et l'Oscar du meilleur film étranger. Réticent à l'idée de jouer à nouveau au cinéma, il accepte le rôle sur l'insistance de la productrice Margaret Ménégoz et après avoir visionné le film Caché du même metteur en scène. Fasciné par le travail de Haneke, Trintignant le considère désormais comme le plus grand réalisateur du monde8. Son interprétation dans Amour, comme celle de Riva, est largement salué par la critique, le public et la profession9. Lors de la sortie du film, il annonce qu'il s'agit de son ultime rôle pour le cinéma car il préfère se consacrer au théâtre10. Après avoir obtenu l'European Award du meilleur interprète 2012, il reçoit, en 2013, le César du meilleur acteur pour cette œuvre dans laquelle il incarne un octogénaire contraint de s'occuper et d'assister, impuissant, à la lente agonie de son épouse, victime de deux accidents vasculaires cérébraux9.

En 2017, il tourne à nouveau pour Haneke dans Happy End, aux côtés d'Isabelle Huppert et Mathieu Kassovitz.

En juillet 2018, alors que le cancer du comédien le décourage de poursuivre son métier d'interprète, il accepte de tourner dans les deux dernières productions de Claude Lelouch : Les Plus Belles Années d'une vie, sorti en 2019 ; il retrouve Anouk Aimée dans cette « suite » d'Un homme et une femme, dans lequel son personnage perd progressivement la mémoire. Puis, il est annoncé dans la suite de L'amour c'est mieux que la vie, dont la sortie est prévue fin 2022[réf. nécessaire].

Le 12 mars 2021, il apparaît lors de 46e cérémonie des César, présentée par Marina Foïs, en nommant les espoirs masculins et féminins à la jeune Fathia Youssouf pour son rôle dans Mignonnes et à Jean-Pascal Zadi pour la réalisation et sa prestation dans Tout simplement noir11.

Vie privée

Famille

Le 18 novembre 1954 à Vincennes, il épouse l'actrice Stéphane Audran, qu'il a connue au cours de Tania Balachova. Le couple divorce en 1956, après que l'acteur ait engagé une liaison amoureuse avec Brigitte Bardot, sur le tournage du film Et Dieu... créa la femme. Il s'installe avec elle avenue Paul-Doumer. Cette liaison prend fin à l'automne 1957 lors du service militaire de l'acteur, quand il découvre que BB a une aventure avec Gilbert Bécaud.

En 1958, il rencontre Nadine Marquand, la sœur de Serge et Christian Marquand qui sont de grands amis de Roger Vadim avec qui Trintignant s'est lié. Elle est alors monteuse et deviendra réalisatrice quelques années plus tard. Ils se marient en 1961. Il tourne cinq films avec elle. Ils ont trois enfants : Marie (1962-2003), Pauline (née en 1969 et morte à l'âge de dix mois pendant le tournage du Conformiste, à Rome, probablement par asphyxie liée à une régurgitation de lait) et Vincent Trintignant (1973).

En 1973, pendant le tournage du film Le Train, Jean-Louis vit une histoire d'amour intense avec sa partenaire Romy Schneider. Elle prend fin trois mois plus tard, laissant l'actrice désespérée. Jean-Claude Brialy et Jacques Dutronc confirmeront l'importance de cette relation pour Romy Schneider, à qui Trintignant témoignera toujours son admiration et son affection4. Cependant, il a choisi de poursuivre sa vie avec Nadine. Celle-ci le quitte à la fin des années 1970 pour vivre avec le réalisateur Alain Corneau. Le divorce avec Jean-Louis Trintignant aura lieu au début des années 1980[Quand ?]. Entretemps, le comédien rencontre Marianne Hoepfner, pilote de rallye, dont il partage la vie et qu'il épousera en 2000.

En 1998, Nadine Trintignant épouse Alain Corneau, qui adopte dans la foulée Marie et Vincent, avec le consentement de Jean-Louis.

De son propre aveu, Jean-Louis Trintignant ne s'est jamais remis de la mort brutale de sa fille Marie.

Opinions politiques

Peu engagé en politique mais sympathisant de gauche, il a été « sympathisant communiste » dans sa jeunesse, avant d'avoir eu « la preuve que l'homme n'était pas prêt pour ça ». Il se dit en 2012 « contre l'autorité, la politique », et « plutôt socialiste. Voire anarchiste. […] L'idée de l'anarchie me plaît beaucoup, même si je sais qu'on ne sauvera pas le monde avec elle »12,13.

Problèmes de santé

En septembre 2017, il déclare publiquement être atteint d'un cancer14, mais il refuse tous les traitements médicaux.

Dans le numéro de Paris Match du 10 novembre 2021, son ex-épouse Nadine Trintignant a annoncé que l'acteur perdait « peu à peu la vue »15.

Mort

Jean-Louis Trintignant s'éteint chez lui au matin du 17 juin 2022 à Collias, dans le Gard, « entouré de ses proches » selon son épouse Mariane Hoepfner Trintignant, à l’âge de 91 ans16. L’acteur est mort « paisiblement, de vieillesse » souligne-t-elle dans la dépêche transmise à l'AFP17. Jean-Luc Douin18 évoque dans Le Monde, une « timidité maladive que l'artiste réussit à domestiquer par le théâtre » lorsque François-Guillaume Lorrain19 parle d'un « rapport distant et ambigu ».

Conformément à ses dernières volontés, ses obsèques sont prévues « dans l'intimité » de la famille.

Tournées de spectacles

Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?

Filmographie

Comme acteur

Cinéma

Années 1950
  • 1956 : Si tous les gars du monde de Christian-Jaque
  • 1956 : La Loi des rues de Ralph Habib
  • 1956 : Et Dieu… créa la femme de Roger Vadim
  • 1956 : Club de femmes de Ralph Habib
  • 1959 : Été violent (Estate violenta) de Valerio Zurlini
  • 1959 : Les Liaisons dangereuses 1960 de Roger Vadim
  • 1959 : Parfois le dimanche, court métrage d'Ado Kyrou et Raoul Sangla
Années 1960
  • 1960 : Austerlitz d'Abel Gance
  • 1960 : La Millième Fenêtre de Robert Ménégoz
  • 1961 : Pleins feux sur l'assassin de Georges Franju
  • 1961 : Le Cœur battant de Jacques Doniol-Valcroze
  • 1961 : Le Puits aux trois vérités de François Villiers (simple apparition)
  • 1961 : Le Jeu de la vérité de Robert Hossein
  • 1961 : L'Atlantide (Antinea, l'amante della citta sepolta) d'Edgar George Ulmer et Giuseppe Martini
  • 1962 : Les Sept Péchés capitaux, sketch La luxure de Jacques Demy
  • 1962 : Horace 62 d'André Versini
  • 1962 : Le Fanfaron (Il sorpasso) de Dino Risi
  • 1962 : Le Combat dans l'île d'Alain Cavalier
  • 1963 : Il successo de Mauro Morassi (it)
  • 1963 : Château en Suède de Roger Vadim
  • 1964 : Les Pas perdus de Jacques Robin
  • 1964 : Les Siffleurs (Viheltäjât) de Eino Ruutsalo (fi)
  • 1964 : Mata Hari, agent H 21 de Jean-Louis Richard
  • 1965 : La Bonne Occase de Michel Drach
  • 1965 : Meurtre à l'italienne (Io uccido, tu uccidi) de Gianni Puccini
  • 1965 : Merveilleuse Angélique de Bernard Borderie
  • 1965 : Compartiment tueurs de Costa-Gavras
  • 1966 : Le Dix-septième ciel de Serge Korber
  • 1966 : La Longue Marche d'Alexandre Astruc
  • 1966 : Paris brûle-t-il ? de René Clément
  • 1966 : Un homme et une femme de Claude Lelouch
  • 1966 : Safari diamants de Michel Drach
  • 1967 : Trans-Europ-Express d'Alain Robbe-Grillet
  • 1967 : En cinquième vitesse (Col cuore in gola) de Tinto Brass
  • 1967 : Un homme à abattre de Philippe Condroyer
  • 1968 : Les Biches de Claude Chabrol
  • 1968 : Mon amour, mon amour de Nadine Trintignant
  • 1968 : L'Homme qui ment d'Alain Robbe-Grillet
  • 1968 : La mort a pondu un œuf (La morte ha fatto l'uovo) de Giulio Questi
  • 1968 : Le Grand Silence (Il grande silenzio) de Sergio Corbucci
  • 1968 : L'Amour à cheval (La matriarca) de Pasquale Festa Campanile
  • 1969 : Z de Costa-Gavras
  • 1969 : Le Voleur de crimes de Nadine Trintignant
  • 1969 : Disons, un soir à dîner (Metti, una sera a cena) de Giuseppe Patroni Griffi
  • 1969 : Ma nuit chez Maud d'Éric Rohmer
  • 1969 : L'Américain de Marcel Bozzuffi
  • 1969 : Si douces, si perverses (Cosi dolce... Cosi perversa) d'Umberto Lenzi
Années 1970
  • 1970 : Le Conformiste (Il conformista) de Bernardo Bertolucci
  • 1970 : Le Voyou de Claude Lelouch
  • 1970 : Las secretas intenciones d'Antonio Eceiza
  • 1971 : L'Opium et le Bâton (الأفيون والعصا) d'Ahmed Rachedi
  • 1971 : Sans mobile apparent de Philippe Labro
  • 1972 : La Course du lièvre à travers les champs de René Clément
  • 1972 : L'Attentat de Yves Boisset
  • 1972 : Un homme est mort de Jacques Deray
  • 1973 : Une journée bien remplie de Jean-Louis Trintignant
  • 1973 : Défense de savoir de Nadine Trintignant
  • 1973 : Le Train de Pierre Granier-Deferre
  • 1974 : Le Secret de Robert Enrico
  • 1974 : Le Mouton enragé de Michel Deville
  • 1974 : L'Escapade de Michel Soutter
  • 1974 : Glissements progressifs du plaisir de Alain Robbe-Grillet
  • 1974 : Les Violons du bal de Michel Drach
  • 1975 : Le Jeu avec le feu d'Alain Robbe-Grillet
  • 1975 : L'Agression de Gérard Pirès
  • 1975 : Flic Story de Jacques Deray
  • 1975 : La Femme du dimanche (La donna della domenica) de Luigi Comencini
  • 1976 : Il pleut sur Santiago de Helvio Soto
  • 1976 : Le Voyage de noces de Nadine Trintignant
  • 1976 : Le Désert des Tartares (Il deserto dei Tartari) de Valerio Zurlini
  • 1976 : L'Ordinateur des pompes funèbres de Gérard Pirès
  • 1977 : Repérages de Michel Soutter
  • 1977 : Les Passagers de Serge Leroy
  • 1978 : L'Argent des autres de Christian de Chalonge
  • 1979 : Le Maître-nageur de Jean-Louis Trintignant
  • 1979 : Melancoly Baby de Clarisse Gabus
Années 1980
  • 1980 : La Banquière de Francis Girod
  • 1980 : Je vous aime de Claude Berri
  • 1980 : La Terrasse (La terrazza) d'Ettore Scola
  • 1981 : Un assassin qui passe de Michel Vianey
  • 1981 : Une affaire d'hommes de Nicolas Ribowski
  • 1981 : Malevil de Christian de Chalonge
  • 1981 : Eaux profondes de Michel Deville
  • 1981 : Passion d'amour (Passione d'amore) d'Ettore Scola
  • 1982 : La Nuit de Varennes (Il mondo nuovo) d'Ettore Scola
  • 1982 : Boulevard des assassins de Boramy Tioulong
  • 1982 : Le Grand Pardon de Alexandre Arcady
  • 1983 : Colpire al cuore de Gianni Amelio
  • 1983 : Vivement dimanche ! de François Truffaut
  • 1983 : Under Fire de Roger Spottiswoode
  • 1983 : La Crime de Philippe Labro
  • 1984 : Femmes de personne de Christopher Frank
  • 1984 : Viva la vie de Claude Lelouch
  • 1984 : Le Bon Plaisir de Francis Girod
  • 1985 : L'Homme aux yeux d'argent de Pierre Granier-Deferre
  • 1985 : Partir, revenir de Claude Lelouch
  • 1985 : Rendez-vous de André Téchiné
  • 1985 : L'Été prochain de Nadine Trintignant
  • 1985 : David, Thomas et les autres (Sortüz egy fekete bivalyért) de László Szabó
  • 1986 : Un homme et une femme : Vingt ans déjà de Claude Lelouch
  • 1986 : La Femme de ma vie de Régis Wargnier
  • 1987 : Le Moustachu de Dominique Chaussois
  • 1987 : La Vallée fantôme d'Alain Tanner
  • 1989 : Bunker Palace Hôtel d'Enki Bilal
Années 1990
  • 1991 : Merci la vie de Bertrand Blier
  • 1993 : L'Instinct de l'ange de Richard Dembo
  • 1993 : L'Œil écarlate de Dominique Roulet
  • 1994 : Trois Couleurs : Rouge de Krzysztof Kieślowski
  • 1994 : Regarde les hommes tomber de Jacques Audiard
  • 1995 : Fiesta de Pierre Boutron avec Grégoire Colin, Alain Doutey
  • 1995 : La Cité des enfants perdus de Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro (voix uniquement)
  • 1996 : C'est jamais loin d'Alain Centonze
  • 1996 : Un héros très discret de Jacques Audiard
  • 1996 : Tykho Moon d'Enki Bilal
  • 1998 : Ceux qui m'aiment prendront le train de Patrice Chéreau
Années 2000-2020
  • 2002 : Janis et John de Samuel Benchetrit
  • 2004 : Immortel, ad vitam de Enki Bilal
  • 2012 : Amour de Michael Haneke
  • 2013 : Michael Haneke : Profession réalisateur (Michael Haneke – Porträt eines Film-Handwerkers) d'Yves Montmayeur (film documentaire)
  • 2017 : Happy End de Michael Haneke20
  • 2019 : Les Plus Belles Années d'une vie de Claude Lelouch
  • 2022 : Tourner pour vivre de Claude Lelouch (film documentaire)

Courts-métrages

  • 1955 : Pechiney de Marcel Ichac
  • 1961 : Parfois le dimanche d'Ado Kyrou et Raoul Sangla
  • 1965 : Fragilité, ton homme est femme de Nadine Trintignant
  • 1986 : 15 août de Nicole Garcia
  • 2004 : Épreuves d'artistes court-métrage documentaire de Gilles Jacob avec Gérard Depardieu, Michel Serrault

Télévision

  • 1955 : L'assassin a pris le métro de François Chatel
  • 1964 : Avatar de Lazare Iglesis
  • 1965 : Le train bleu s'arrête 13 fois de Michel Drach, épisode : Lyon, marché en main
  • 1983 : Credo de Jacques Deray
  • 1990 : Pour un oui ou pour un non de Jacques Doillon et Nathalie Sarraute avec André Dussolier.
  • 1990 : Julie de Carneilhan de Christopher Frank
  • 1992 : La Controverse de Valladolid de Jean-Daniel Verhaeghe
  • 1993 : L'Interdiction de Jean-Daniel Verhaeghe
  • 1996 : L'Insoumise de Nadine Trintignant
  • 2012 : Jean-Louis Trintignant, pourquoi que je vis de Serge Korber, documentaire

Doublage

  • 1980 : Shining de Stanley Kubrick : Jack Torrance (Jack Nicholson)
  • 2004 : Immortel, ad vitam d'Enki Bilal : Jack Turner (version française ; non crédité)

Voix off

  • 1962 : narrateur pour Parisienne... Parisiennes de Féri Farzaneh
  • 1963 : narrateur pour Le Chemin de la mauvaise route de Jean Herman
  • 1966 : narrateur sur le disque Le Livre de la jungle
  • 1972 : narrateur sur le disque Le Petit Prince
  • 1992 : narrateur pour Le Grand Pardon 2 d'Alexandre Arcady
  • 1994 : narrateur (de la VF) pour Ernesto Che Guevara : le Journal de Bolivie de Richard Dindo (documentaire)
  • 1994 : récitant d'un texte de Paul Éluard dans Rêveuse Jeunesse de Nadine Trintignant (TV)
  • 2006 : récitant pour Galilée ou l'Amour de Dieu de Jean-Daniel Verhaeghe (TV)
  • 2009 : le récitant dans Le Ruban blanc de Michael Haneke (dans la VF)
  • ???? : narrateur de La Flûte enchantée

Comme réalisateur

  • 1972 : Une journée bien remplie avec Jacques Dufilho, Luce Marquand, Franco Pesce
  • 1978 : Le Maître-nageur avec Jean-Claude Brialy, Guy Marchand, Stefania Sandrelli

Distinctions

Récompenses

  • 1968 : Ours d'argent du meilleur acteur au Festival de Berlin pour L'Homme qui ment
  • 1969 : prix d'interprétation masculine au Festival de Cannes pour Z
  • 2012 : Palme d'or au Festival de Cannes pour Amour de Michael Haneke :
    • Normalement, la Palme revient toujours uniquement au réalisateur mais outre la mise en scène, Jean-Louis Trintignant a été considéré par le Jury comme l'un des principaux artisans de cette victoire au même titre que sa partenaire dans le film : Emmanuelle Riva21.
  • Prix du cinéma européen 2012 : Meilleur acteur européen pour Amour
  • 18e cérémonie des Lumières en 2013 : Meilleur acteur pour Amour
  • 14e édition des Étoiles d'or du cinéma français en 2013 : Meilleur acteur pour Amour
  • Césars 2013 : Meilleur acteur pour Amour de Michael Haneke.

Nominations

  • César :
    • 1987 : nomination au César du meilleur acteur dans un second rôle pour La Femme de ma vie
    • 1995 : nomination au César du meilleur acteur pour Trois couleurs : Rouge
    • 1996 : nomination au César du meilleur acteur pour Fiesta
    • 1999 : nomination au César du meilleur acteur dans un second rôle pour Ceux qui m'aiment prendront le train

Discographie

  • 1972 : narrateur (l'aviateur) pour un enregistrement vinyl du Petit Prince d'Antoine de Saint-Exupéry
  • 1998 : lecture pour Pantin Pantine d'Allain Leprest et Romain Didier, Chant du Monde
  • 2018 : Récitant du spectacle poétique et musical Trintignant/Mille/Piazzolla, enregistré avec Daniel Mille, sorti au label Sony Music Masterworks

Théâtre, poésie

  • 1950 : À chacun selon sa faim de Jean Mogin, mise en scène Raymond Hermantier, théâtre du Vieux-Colombier
  • 1951 : Marie Stuart de Friedrich Schiller, mise en scène Raymond Hermantier, théâtre de l'Humour
  • 1954 : Responsabilité limitée de Robert Hossein, mise en scène Jean-Pierre Grenier, théâtre Fontaine
  • 1954 : Le Héros et le Soldat de George Bernard Shaw, mise en scène René Dupuy, théâtre Gramont
  • 1955 : Andréa ou la Fiancée du matin de Hugo Claus, mise en scène Sacha Pitoëff, théâtre de l'Œuvre
  • 1955 : Jacques ou la Soumission d'Eugène Ionesco, mise en scène Robert Postec, théâtre de la Huchette
  • 1955 : La Tragédie des Albigeois de Maurice Clavel et Jacques Panijel, mise en scène Raymond Hermantier, Festival de Nîmes
  • 1956 : L'Ombre de Julien Green, mise en scène Jean Meyer, théâtre Antoine
  • 1959 : La Cathédrale de René Aubert22, mise en scène Pierre Valde, théâtre Hébertot
  • 1959 : Le Prince de Papier de Jean Davray, mise en scène Jacques Charon, théâtre des Mathurins
  • 1960 : Hamlet de William Shakespeare, mise en scène Philippe Dauchez, Maurice Jacquemont, théâtre des Champs-Élysées
  • 1961 : La Ménagerie de verre de Tennessee Williams, mise en scène Antoine Bourseiller, théâtre des Célestins
  • 1962 : La guerre de Troie n'aura pas lieu de Jean Giraudoux, mise en scène Jean Vilar, Festival d'Avignon
  • 1964 : Bonheur, impair et passe de Françoise Sagan, mise en scène Claude Régy, Françoise Sagan, théâtre Édouard VII
  • 1971 : Hamlet de William Shakespeare, mise en scène Maurice Jacquemont, théâtre de la Musique
  • 1985 : Deux sur la balançoire de William Gibson, mise en scène Bernard Murat, théâtre de la Madeleine
  • 1988 : Deux sur la balançoire de William Gibson, mise en scène Bernard Murat, théâtre des Célestins
  • 1989 : La Chasse au cafard de Janusz Glowacki, mise en scène Andréas Voutsinas, théâtre des Célestins
  • 1991 : Love Letters d'Albert Ramsdell Gurney, mise en scène Lars Schmidt, avec Anouk Aimée dans le rôle féminin.
  • 1992 : Potestad d'Eduardo Pavlovsky, mise en scène Claude Santelli, Lecture Festival d'Avignon
  • 1993 : Hommage à Jean Tortel, mise en scène Jean Velter, Lecture Festival d'Avignon
  • 1993 : Love Letters d'Albert Ramsdell Gurney, mise en scène Lars Schmidt, théâtre des Célestins
  • 1994 : Pour Roland Dubillard, mise en scène Pierre Dumayet, Lecture Festival d'Avignon
  • 1995 : Poésie de Maurice Roche, Lecture de France Culture, Festival d'Avignon
  • 1996 : William Shakespeare, mise en scène Claude Santelli, Lecture Festival d'Avignon
  • 1996 : « Art » de Yasmina Reza avec Pierre Vaneck et Pierre Arditi, théâtre des Célestins
  • 1998 : « Art » de Yasmina Reza avec Pierre Vaneck et Jean Rochefort, théâtre Hébertot
  • 1999 : Poèmes à Lou de Guillaume Apollinaire, mise en scène Samuel Benchetrit, avec Marie Trintignant, théâtre de l'Atelier
  • 2000 : La Valse des adieux de Louis Aragon, mise en scène Antoine Bourseiller, théâtre des Célestins
  • 2002 : Comédie sur un quai de gare de Samuel Benchetrit, avec Marie Trintignant, théâtre Hébertot
  • 2003 : Poèmes à Lou de Guillaume Apollinaire, théâtre des Amandiers
  • 2005 : Moins deux de Samuel Benchetrit, mise en scène de l'auteur, théâtre Hébertot
  • 2005 : Le Journal de Jules Renard de Jules Renard, théâtre Hébertot
  • 2006 : Art, vérité et politique/Monologue de Harold Pinter, Festival NAVA Limoux
  • 2007 : Moins deux de Samuel Benchetrit, mise en scène de l'auteur, La Filature, théâtre National de Nice, tournée
  • 2008 : Le Journal de Jules Renard de Jules Renard et Jean-Michel Ribes, théâtre du Rond-Point
  • 2010 : Jean-Louis Trintignant seul en scène, théâtre des Amandiers
  • 2010 : Jean-Louis Trintignant lit Jacques Prévert, Boris Vian et Robert Desnos, de Jacques Prévert, Boris Vian et Robert Desnos, en tournée
  • 2011 : Trois poètes libertaires / Prévert, Vian, Desnos, de Jacques Prévert, Boris Vian et Robert Desnos, Odéon-Théâtre de l'Europe
  • 2017 : Trintignant/Mille/Piazzolla, spectacle poétique et musical, lecture de Prévert, Desnos et Vian, musique d'Astor Piazzolla, direction musicale Daniel Mille, Salle Pleyel
  • 2018 : Trintignant/Mille/Piazzolla, spectacle poétique et musical, lecture de Prévert, Desnos et Vian, musique d'Astor Piazzolla, direction musicale Daniel Mille, tournée

Récompenses et nominations

  • 2006 : nomination pour le Molière du comédien pour Moins 2

Course automobile

Jean-Louis Trintignant a été membre du Star Racing Team (ou « Simca Racing Team »), qui comptait parmi ses membres Moustache, Claude Brasseur, Eddie Vartan, Guy Marchand, ou encore sporadiquement Johnny Hallyday, tous courant sur Simca 1000 Rallye.

Il participa aux 24 Heures du Mans en 1980 sur Porsche 935 K3. Alors qu'il était sixième au classement dans son groupe un pneu arrière de sa voiture éclata dans la ligne droite des Hunaudières. Il échappa miraculeusement à la mort après avoir percuté à plusieurs reprises les rails de sécurité.

Pour un bilan plus complet des participations en courses de rallyes, voir à Marianne Hoepfner.

Palmarès automobile

  • 1976 : Participation au Tour de France automobile (sur Opel Kadett GT/E)23
  • 1977 : 8e du Championnat de France des voitures de Production24 (Pau 6e25, Montlhéry 9e26, Lédenon 9e27, Folembray 9e28, Dijon 2 10e, Nogaro 12e, Albi 1 13e et Albi 2 14e - 14 épreuves au programme), sur Triumph Dolomite Sprint 2L. de Leyland France
  • 1978 : Participation sporadique au championnat de France des voitures de Production, sur Ford Escort RS 200029
  • 1980 : 25e du Championnat de France de rallycross, sur Alpine A310 1800 Politecnic (apparitions à Condat-le-Lardin, Beaujolais, et Solgne-Juville où il se classe 5e de la Super-finale en remportant la classe 2 en GT -des voitures >1.6L.-30)
  • 1980 : Participation aux 24 Heures du Mans (abandon, avec Xavier Lapeyre et Anny-Charlotte Verney)
  • 1980 : Participation aux rallyes des Garrigues, des Cévennes, et à la ronde de la Durance sur Renault 5 Alpine31
  • 1981 : 46e au rallye Monte-Carlo
  • 1981 : 7e aux 24 heures de Spa-Francorchamps32
  • 1982 : 51e au rallye Monte-Carlo
  • 1982 : 2e aux 24 heures de Spa-Francorchamps33
  • 1984 : 47e au rallye Monte-Carlo

Publications

  • Une journée bien remplie : un film, collection Filmothèque, Seghers, 1973
  • Un homme à sa fenêtre, propos recueillis par Michel Boujut, J.-C. Simoën éditeur, 1977
  • La Passion tranquille, entretiens avec André Asséo, 2002
  • Du côté d'Uzès, entretiens avec André Asséo, Le Cherche midi, 2012 (ISBN 978-2749125237)
  • Dialogue entre amis,  auteurs Serge Korber et Jean-Yves Katelan, collection Art et Spectacles, La Martinière, 2020 (ISBN 2-7324-5875-9)

Notes et références


  1. Interview de Jean-Louis Trintignant à l'issue de sa deuxième place aux 24 Heures de Spa 1982 [archive] (avec Jean-Pierre Jarier et le Belge Thierry Tassin)

Voir aussi

Article connexe

  • Famille Trintignant

Bibliographie

  • [Bastide et Durand 1999] « Trintignant, Jean-Louis », dans Bernard Bastide et Jacques-Olivier Durand, Dictionnaire du cinéma dans le Gard, Montpellier, Les Presses du Languedoc, 1999 (ISBN 2-85998-215-9), p. 246-260
  • Vincent Quivy, Jean-Louis Trintignant : l'inconformiste (Biographies), Paris, Éditions du Seuil / Éditions Points, 2015 (réimpr. 2017) (1re éd. 2015), 448 / 541, 24 cm / 18 cm (ISBN 978-2-02-116894-5 et 2-02-116894-8, OCLC 990814904, BNF 45215829, présentation en ligne [archive], lire en ligne [archive])
  • « Jean-Louis Trintignant », dans Personnages connus ou méconnus du Gard et des Cévennes, t. I, Brignon, La Fenestrelle, 2016 (ISBN 979-1-0928-2666-1), p. 60-65 — ouvrage édité par l'Académie cévenole.

Liens externes

Acteur français de cinéma
  • Réalisateur français
  • Narrateur de livre audio
  • Pilote automobile français
  • Pilote de rallye français
  • Pilote des 24 Heures du Mans
  • Acteur ayant incarné François Mitterrand

  • « Acte de naissance » [archive], sur CinéArtistes (consulté le 17 juin 2022)

  • Jean-Louis Trintignant au JDD : "Le vieillissement est une suite de problèmes" [archive], le JDD

  • France Culture, émission spéciale « Mauvais Genre », le 19 novembre 2011.

  • Vincent Quivy, Jean-Louis Trintignant L'inconformiste, Paris, Éditions du Seuil, septembre 2015, 448 p. (ISBN 978-2-02-116894-5, lire en ligne [archive])

  • L'Express n.3149 du 9 novembre 2011 : Jean-Louis Trintignant p. 12-18

  • Jean-Louis Trintignant (entretiens avec André Asséo), Jean-Louis Trintignant : La passion tranquille, Paris, Plon, 2002, 166 p. (ISBN 2-259-19542-3), p. 106

  • FranceCulture.fr [archive]

  • « Interview de Jean-Louis Trintignant : "Je vais très bien, merci !" », La Nouvelle République,‎ 21 octobre 2012 (lire en ligne [archive])

  • Olivier Delcroix, « Jean-Louis Trintignant, sacré meilleur acteur », Le Figaro,‎ 23 février 2013 (lire en ligne [archive])

  • RTL, Interview de Jean-Louis Trintignant par Yves Calvi [archive], consulté le 20 octobre 2012

  • César 2021: Jean-Louis Trintignant fait une émouvante apparition surprise [archive], BFM.TV, 12 mars 2021

  • Trintignant joue à Avignon : « Je me sens anarchiste » [archive], La Provence, 6 janvier 2012.

  • Jean-Louis Trintignant : “Je trouve qu’au cinéma on a tendance à surjouer” [archive], Télérama, 20 janvier 2012.

  • Article dans La Croix [archive]

  • « Jean-Louis Trintignant « plus en forme » : à 90 ans, « il perd peu à peu la vue » » [archive], sur gala.fr, 10 novembre 2021 (consulté le 12 novembre 2021).

  • Amaury Giraud, « Mort à 91 ans de Jean-Louis Trintignant, un homme et un drame », Le Figaro,‎ 17 juin 2022 (lire en ligne [archive])

  • Capucine Trollion, « L'acteur Jean-Louis Trintignant est décédé à l'âge de 91 ans », RTL,‎ 17 juin 2022 (lire en ligne [archive])

  • Jean-Luc Douin, « L'acteur Jean-Louis Trintignant est mort », Le Monde,‎ 17 juin 2022 (lire en ligne [archive])

  • François-Guillaume Lorrain, « Jean-Louis Trintignant est mort », Le Point,‎ 17 juin 2022 (lire en ligne [archive])

  • Michael Haneke va tourner à Calais un film évoquant les migrants [archive], France 3 Régions.

  • « Festival de Cannes: Amour de Michael Haneke remporte la Palme d'or », Le Nouvel Observateur,‎ 27 mai 2012 (lire en ligne [archive])

  • René Aubert [archive] sur data.bnf.fr

  • Guy Fréquelin et Philippe Séclier (collaboration) (préf. Jean Todt, postface Sébastien Loeb), Pilote de ma vie, Paris, Calmann-Lévy, 2009, 276 p. (ISBN 978-2-7021-3987-5, OCLC 298776666), p. 75

  • Résultats du championnat de France de Production (FTCC) 1977 [archive].

  • Pau FTCC 1977 [archive].

  • Montlhéry FTCC 1977 [archive].

  • Lédenon FTCC 1977 [archive].

  • Folembray FTCC 1977 [archive].

  • Ford Escort RS2000 de J-L Trintignant en 1978 au FTCC [archive].

  • Championnat de France 1980 de Rallycross [archive].

  • forum-auto.com Tours de Méditerranée 1978/79 [archive]

  • (avec Marianne Hoepfner, Alain Cudini et Derek Bell, sur BMW 530i du WM Racing)

  •  :
    • Allociné [archive]
    • Ciné-Ressources [archive]
    • Unifrance [archive]
    • (en) AllMovie [archive]
    • (de + en) Filmportal [archive]
    • (en) Internet Movie Database
  • Ressources relatives au sport
  •  :
    • eWRC-results.com [archive]
    • (en) Driver Database [archive]
    • (en) Motorsport Stats [archive]
    • (en) Racing-reference.info [archive]
  • Ressources relatives à la musique
  •  :
    • Discogs [archive]
    • (en) MusicBrainz [archive]
    • (en) Muziekweb [archive]
    • (en) Songkick [archive]
  • Ressource relative au spectacle
  •  :
    • Les Archives du spectacle [archive]
  • Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes
  •  :
    • Deutsche Biographie [archive]
    • Encyclopædia Britannica [archive]
    • Encyclopædia Universalis [archive]
    • Hrvatska Enciklopedija [archive]
    • Encyclopédie Larousse [archive]
    • Swedish Nationalencyklopedin [archive]
    • Munzinger Archiv [archive]
    • Store norske leksikon [archive]
    • Visuotinė lietuvių enciklopedija [archive]
    • Who's Who in France [archive]
  • Notices d'autorité
  • Publié par Bertrand Fessard de Foucault à 10:38

    Aucun commentaire:

    Enregistrer un commentaire

    Article plus récent Article plus ancien Accueil
    Inscription à : Publier les commentaires (Atom)

    Archives du blog

    • ►  2023 (1016)
      • ►  mai (85)
      • ►  avril (220)
      • ►  mars (249)
      • ►  février (211)
      • ►  janvier (251)
    • ▼  2022 (2708)
      • ►  décembre (232)
      • ►  novembre (225)
      • ►  octobre (223)
      • ►  septembre (269)
      • ►  août (272)
      • ►  juillet (213)
      • ▼  juin (240)
        •  
        •  
        •  
        •  
        • les Kurdes : honneur et réalité
        • la Suède, les Kurdes et Erdogan
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        • Russie/Ukraine
        • la France et l'O.T.A.N.
        • les forces militaires de chacun des Etats-mmebres ...
        • l'Alliance atlantique - wikipédia
        •  
        • Attentat de Sarajevo - déclenchement de la Grande ...
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        • Erdogan et l'O.T.A.N. : fote raison pour que l'All...
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        • Conseil européen tenu le 23 Juin 2022 - interventi...
        • Conseil européen tenu le 23 Juin 2022 - conclusions
        • Les caprices téméraires de la volonté, sans le con...
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        • Emmanuel Macron, premier discours au pays depuis s...
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        • composition de l'Assemblée nationale depuis le déb...
        •  
        •  
        •  
        •  
        • composition de l'Assemblée nationale en 2022 et - ...
        •  
        •  
        • Hervé Pellois, député de la circonscription où je ...
        • Elisabeth Borne, au soir du second tour des législ...
        •  
        • le Parti socialiste et ces élections à l'Assemblée...
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
        •  
      • ►  mai (197)
      • ►  avril (189)
      • ►  mars (222)
      • ►  février (191)
      • ►  janvier (235)
    • ►  2021 (2263)
      • ►  décembre (226)
      • ►  novembre (211)
      • ►  octobre (218)
      • ►  septembre (188)
      • ►  août (219)
      • ►  juillet (231)
      • ►  juin (141)
      • ►  mai (170)
      • ►  avril (168)
      • ►  mars (196)
      • ►  février (139)
      • ►  janvier (156)
    • ►  2020 (841)
      • ►  décembre (131)
      • ►  novembre (99)
      • ►  octobre (70)
      • ►  septembre (73)
      • ►  mars (22)
      • ►  février (222)
      • ►  janvier (224)
    • ►  2019 (2716)
      • ►  décembre (233)
      • ►  novembre (216)
      • ►  octobre (224)
      • ►  septembre (235)
      • ►  août (234)
      • ►  juillet (188)
      • ►  juin (213)
      • ►  mai (210)
      • ►  avril (247)
      • ►  mars (252)
      • ►  février (230)
      • ►  janvier (234)
    • ►  2018 (2865)
      • ►  décembre (253)
      • ►  novembre (232)
      • ►  octobre (240)
      • ►  septembre (235)
      • ►  août (259)
      • ►  juillet (272)
      • ►  juin (269)
      • ►  mai (164)
      • ►  avril (233)
      • ►  mars (261)
      • ►  février (204)
      • ►  janvier (243)
    • ►  2017 (2269)
      • ►  décembre (215)
      • ►  novembre (245)
      • ►  octobre (253)
      • ►  septembre (280)
      • ►  août (235)
      • ►  juillet (215)
      • ►  juin (209)
      • ►  mai (217)
      • ►  avril (147)
      • ►  mars (1)
      • ►  février (87)
      • ►  janvier (165)
    • ►  2016 (2204)
      • ►  décembre (174)
      • ►  novembre (198)
      • ►  octobre (216)
      • ►  septembre (203)
      • ►  août (207)
      • ►  juillet (242)
      • ►  juin (189)
      • ►  mai (168)
      • ►  avril (175)
      • ►  mars (162)
      • ►  février (127)
      • ►  janvier (143)
    • ►  2015 (1105)
      • ►  décembre (127)
      • ►  novembre (113)
      • ►  octobre (99)
      • ►  septembre (75)
      • ►  août (79)
      • ►  juillet (84)
      • ►  juin (77)
      • ►  mai (84)
      • ►  avril (68)
      • ►  mars (90)
      • ►  février (79)
      • ►  janvier (130)
    • ►  2014 (990)
      • ►  décembre (65)
      • ►  novembre (107)
      • ►  octobre (79)
      • ►  septembre (98)
      • ►  août (91)
      • ►  juillet (77)
      • ►  juin (69)
      • ►  mai (79)
      • ►  avril (87)
      • ►  mars (90)
      • ►  février (81)
      • ►  janvier (67)
    • ►  2013 (643)
      • ►  décembre (72)
      • ►  novembre (58)
      • ►  octobre (48)
      • ►  septembre (42)
      • ►  août (44)
      • ►  juillet (58)
      • ►  juin (58)
      • ►  mai (63)
      • ►  avril (51)
      • ►  mars (52)
      • ►  février (52)
      • ►  janvier (45)
    • ►  2012 (596)
      • ►  décembre (53)
      • ►  novembre (53)
      • ►  octobre (43)
      • ►  septembre (62)
      • ►  août (43)
      • ►  juillet (55)
      • ►  juin (54)
      • ►  mai (56)
      • ►  avril (41)
      • ►  mars (53)
      • ►  février (45)
      • ►  janvier (38)
    • ►  2011 (449)
      • ►  décembre (36)
      • ►  novembre (44)
      • ►  octobre (44)
      • ►  septembre (42)
      • ►  août (35)
      • ►  juillet (33)
      • ►  juin (33)
      • ►  mai (38)
      • ►  avril (41)
      • ►  mars (39)
      • ►  février (30)
      • ►  janvier (34)
    • ►  2010 (458)
      • ►  décembre (36)
      • ►  novembre (55)
      • ►  octobre (35)
      • ►  septembre (38)
      • ►  août (31)
      • ►  juillet (36)
      • ►  juin (38)
      • ►  mai (37)
      • ►  avril (38)
      • ►  mars (38)
      • ►  février (32)
      • ►  janvier (44)
    • ►  2009 (440)
      • ►  décembre (35)
      • ►  novembre (47)
      • ►  octobre (30)
      • ►  septembre (32)
      • ►  août (30)
      • ►  juillet (32)
      • ►  juin (45)
      • ►  mai (50)
      • ►  avril (34)
      • ►  mars (42)
      • ►  février (30)
      • ►  janvier (33)
    • ►  2008 (377)
      • ►  décembre (33)
      • ►  novembre (41)
      • ►  octobre (35)
      • ►  septembre (44)
      • ►  août (39)
      • ►  juillet (48)
      • ►  juin (49)
      • ►  mai (59)
      • ►  avril (28)
      • ►  mars (1)

    Qui êtes-vous ?

    Bertrand Fessard de Foucault
    pour correspondre : b.fdef@wanadoo.fr --- né le 9 Avril 1943, marié, fille née le 22 Novembre 2004 -- carrière apparente . . . premier ambassadeur de France au Kazakhstan -- conseiller économique et commercial près les ambassades françaises (Portugal, Bavière, Grèce, Brésil, Autriche)-- ancien élève à l'Ecole nationale d'administration - Institut d'Etudes politiques Paris - école Saint-Louis de Gonzague Paris -- universitaire, agrégatif science politique droit public -- -- projet de notes et entretiens politiques : de grandes fréquentations - 1964 à nos jours - ou la constellation de Gaulle réalité . . . bibliothèque brochée de ma mère (années 1930 à 1960), mes 20.000 livres : histoire, fiction -- journal manuscrit depuis l'été de 1964 jusqu'en 1976, carnets de terrain : plus de 420 de 1975 à 2015 journaux dactylographiés intimes & publics quotidiens : 1973 à 1992, informatisés depuis 1992 : 300ème fichier ouvert 20 Mars 2015 - inédits romanesques : 10 ; poésie : 3 ; essais philosophiques : 1 --- publié par Le Monde 1972 à 1982 & La Croix 1972 à 1997 - Le Calame depuis Mai 2007
    Afficher mon profil complet