wikipédia à jour au 8 mars
2017, à 19:15
En marche !
En marche !
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Logo officiel. |
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Présentation
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Fondateur
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Fondation
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Siège
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Secrétaire général
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Nom officiel
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Association pour le renouvellement de la vie
politique
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Positionnement
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Organisation associée
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Les Jeunes avec Macron
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Médias principaux
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Idéologie
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Adhérents
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Noir et blanc
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Site web
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En marche ! est la marque
déposée de l'Association pour le renouvellement
de la vie politique, un parti
politique social-libéral5,6,7,8
français
lancé le 6
avril
2016
par Emmanuel
Macron, alors ministre
de l'Économie, de
l'Industrie et du
Numérique du gouvernement
de Manuel Valls. Il est classé au centre
sur l'échiquier
politique.
Les valeurs revendiquées par En marche ǃ sont le rejet de toute
forme de conservatisme9,
une adhésion proclamée au progressisme10,11,10,11,9,
l'attachement à l'Union
européenne 12,
l'adaptation économique de la France à la mondialisation12,13,14
et l'engagement de moraliser et moderniser la vie politique
française15
.
S'appuyant fortement sur les réseaux sociaux16,
le mouvement a la particularité d'accepter les adhésions de membres
d'autres partis17
et de n'imposer aucune cotisation à ses adhérents18.
Le parti fait figurer l'approfondissement du projet européen parmi
ses valeurs fondamentales12,
ce qui lui vaut d'être régulièrement présenté comme le parti le
plus proeuropéen
de l'échiquier politique français19,20,21.
Sommaire
Historique
Emmanuel
Macron
en septembre 2014.
en septembre 2014.
En marche ! est fondé le 6 avril 2016 à Amiens,
ville de naissance du ministre22.
Le nom du mouvement reprend les initiales de son fondateur18,23.
Avec cette initiative, Emmanuel Macron assume pour la première fois
son ambition de se présenter à une élection
présidentielle24.
De nombreux observateurs politiques et médias avancent qu'il
envisage de le faire dès 2017,
notamment en raison de collectes de fonds qu'il organise25.
Le lancement fait l'objet d'une forte couverture médiatique26 ;
il s'accompagne d'un pic de requêtes concernant Emmanuel Macron sur
Google
et Wikipédia27
et de tensions avec François
Hollande sur la question de la loyauté du ministre à
son égard28.
Lors de son entretien du 14 juillet 2016, François Hollande déclare
qu'Emmanuel Macron est tenu à la « solidarité »
gouvernementale et à la nécessité de « servir jusqu'au
bout » sans « démarche personnelle et encore moins
présidentielle »29.
Dans les semaines qui suivent la fondation d'En marche !, ce
dernier bénéficie d'une hausse notable dans les sondages d'opinion,
dont certains le situent comme le mieux placé à gauche en vue de
l'élection présidentielle de 201730,31.
La création d'En marche ! est saluée par différentes
personnalités politiques, comme Najat
Vallaud-Belkacem32,
François
Hollande33
ou encore Jean-Pierre
Raffarin, qui juge que le mouvement « apporte du
sang neuf »34.
Pierre
Gattaz, président du MEDEF,
juge l'initiative « rafraîchissante », estimant qu'elle
« permet de sortir de la politique politicienne »35.
D'autres sont plus critiques, à l'image de Jean-Luc
Mélenchon, qui a plaisanté sur le fait que « les
gens qui ont mis en panne tout le système et l'économie du pays
[fassent] un truc qui s'appelle "En marche" »36
ou encore Christian
Estrosi qui considère que le ministre n'a « aucune
crédibilité »34.
Le mouvement lance en mai 2016 une « grande marche » qui
vise à recueillir 100 000 témoignages par du
porte-à-porte
afin d'élaborer un « plan d'action ». Emmanuel Macron
présente l'opération comme « le premier temps essentiel de la
construction de notre mouvement »37.
Il fait appel pour cette opération au cabinet de conseil Liegey
Muller Pons, spécialisé dans les campagnes électorales et membre
de l’équipe de François
Hollande lors de la campagne
présidentielle de 201238.
4 000 volontaires sont mobilisés pour cette opération23.
Les milliers de questionnaires administrés par le porte-à-porte
sont en grande majorité dépouillés par des algorithmes23,
puis traités, selon le mouvement, par un groupe de 200 experts39.
Sur les 100 000 « discussions » menées par les
militants d'En marche !, un quart des questionnaires ont été
remplis40.
Emmanuel Macron tient son premier meeting le 12 juillet 2016 à la
Maison
de la Mutualité, auquel participent environ
3 500 personnes, une quarantaine de parlementaires, dont
Nicole
Bricq ; des personnalités telles que Renaud
Dutreil ; Erik
Orsenna ; ou encore la veuve de Michel
Rocard41.
Il affirme vouloir porter son mouvement « jusqu’à 2017 et
jusqu’à la victoire »42.
Le choix de la date — deux jours avant la dernière
intervention télévisée du quinquennat de François Hollande —
apparaît comme une provocation41.
Manuel Valls, qu'il critique sans le nommer lors de son discours41,
exprime publiquement son agacement43.
En marche ! entend présenter des candidats sous sa propre
étiquette dans toutes les circonscriptions
aux élections
législatives de 201744.
Positionnement
Alors qu'Emmanuel Macron a été membre du Parti
socialiste (PS) de 2006 à 200945,46
et qu'il est encore membre du gouvernement
de Manuel Valls lorsqu'il crée ce mouvement, En
marche ! souhaite sortir des clivages politiques traditionnels
et se veut transpartisan. Remplaçant le traditionnel clivage
gauche-droite par celui « entre les
progressistes
et les conservateurs »,
Emmanuel Macron précise qu'En marche ! est à la fois de droite
et de gauche28.
Jean-Christophe
Cambadélis, premier secrétaire du PS, estime qu'En
marche ! « n'a non seulement pas vocation à être dans la
Belle Alliance Populaire [qui réunit les alliés du PS] mais il
refuse de se situer à gauche voire cherche à dissoudre celle-ci
dans la droite »47.
D'après La
Croix, En marche ! « ambitionne de
rassembler largement, depuis les sociaux-démocrates
jusqu’aux gaullistes
sociaux »48.
Fabien Escalona conteste le qualificatif d'antisystème
pour En marche ! et plaide pour ceux de « parti
attrape-tout (en) »
— c'est également le qualificatif choisi par Virginie
Martin — et de « business firm party »
(« parti-entreprise »), à l'instar concernant cette
dernière catégorie de Forza
Italia à son lancement par Silvio
Berlusconi en Italie
ou de l’Union
du centre démocratique (UCD) en Espagne3.
Certains observateurs comparent En marche ! et le profil
d'Emmanuel Macron au parti politique espagnol centriste Ciudadanos
et à son dirigeant Albert
Rivera49,50.
Ce dernier apporte d'ailleurs son soutien à Emmanuel Macron en
janvier 2017, voyant en lui un « réformiste »51.
L'historien Christophe Barret estime qu'il s'agit de deux « partis
à ranger dans la catégorie des réformismes de droite » mais
souligne que leur comparaison est limitée par des spécificités
nationales : si Emmanuel Macron « est toujours censé
évoluer à gauche » et « s'en prend aux chômeurs »,
Ciudadanos « est l'allié de la droite » et ne peut tenir
« un discours « anti-assistés » en raison de « la
profondeur de la crise sociale »52.
Organisation
Identité juridique
Le mouvement repose juridiquement sur deux associations :
l'« Association pour le renouvellement de la vie politique »
et l'Association de financement du parti « Association pour le
renouvellement de la vie politique » (AFRVP) : toutes deux
déclarées le 20 février 2016 (annonces publiées au Journal
officiel le 5 mars 2016) et domiciliées 33, rue Danton au
Kremlin-Bicêtre53,54,55,56.
L'hebdomadaire L'Obs
souligne que ses statuts sont « très classiques, communs à
tous les partis politiques »56.
Elle s'appuie sur un micro-parti
visant à assurer son financement, qui a reçu l'agrément de la
Commission
nationale des comptes de campagne et des financements politiques
et qui est présidé par Christian Dargnat, ex-directeur général de
BNP
Paribas Asset Management56,55.
Le logotype manuscrit « En Marche ! » est ensuite
déposé à l'Institut
national de la propriété industrielle le 8 avril
201657.
Ce logo est indépendant de l'association « En Marche »
qui — elle — existe depuis 199458.
Un nouveau logo, non manuscrit, est déposé à l'INPI le 9 février
201759
Encadrement
Après la mise en ligne du site internet du mouvement, Mediapart
relève que sa directrice de publication est Véronique Bolhuis,
compagne du directeur de l’Institut
Montaigne Laurent
Bigorgne, et que l’association « En marche »
a pour domiciliation l’adresse du domicile privé de Véronique
Bolhuis et Laurent Bigorgne60.
Après la publication de l'article, le site retire l'adresse exacte
de la domiciliation et indique que le directeur de publication est
l’association « En marche »60.
Véronique Bolhuis est également la présidente de l'association
depuis le dépôt des premiers statuts en février 2016 jusqu'à
l'été 2016, et n'occupe plus de fonction officielle dans
l’organigramme du mouvement depuis56,61.
En marche ! dément tout lien avec l'Institut Montaigne et
affirme que Laurent Bigorgne ne joue aucun rôle auprès du
mouvement, tout en reconnaissant qu'il est une connaissance de longue
date d'Emmanuel Macron61.
D'après Mediapart,
le noyau dur des salariés du QG d’En marche « est constitué
d’une poignée de trentenaires, pour beaucoup venus du cabinet de
Macron à Bercy. [...] Parmi eux, l’ancien dir-cab adjoint Julien
Denormandie ou l’ex-conseiller parlementaire Stéphane Séjourné,
chargé des élus. Et bien sûr, Ismaël Emelien, très jeune
conseiller spécial d’Emmanuel Macron à Bercy, qui a grandi à
l’école Havas
(ex-Euro RSCG) auprès du patron de la fondation
Jean-Jaurès, Gilles
Finchelstein »62.
Ces permanents sont « issus pour la plupart des réseaux
strauss-kahniens
du Parti socialiste »39.
Deux agences de communication travaillent également pour le
mouvement : Little Wing et Jésus & Gabriel62,63.
Richard
Ferrand, député PS du Finistère, est nommé
secrétaire général d’En marche ! en octobre 201664,
succédant à Benjamin-Blaise Griveaux56.
Estimant qu'En marche ! doit « donner l'exemple » en
matière de renouvellement du personnel politique dont il est
partisan, Emmanuel Macron indique avoir « tenu à ce que des
femmes et des hommes venant de la société civile puissent acquérir
des responsabilités. Ils sont largement majoritaires dans nos
rangs ; plus de 60 % de nos délégués nationaux et de nos
référents territoriaux ne sont pas élus et ne l'ont jamais été.
Nous veillerons aussi à limiter dans le temps les responsabilités
au sein de ce nouveau mouvement »65.
À chacun des meetings d'Emmanuel
Macron une équipe est chargée d'en organiser
l’ambiance. Des responsables envoient aux membres du groupe des SMS
afin de lancer les applaudissements aux moments opportuns ou
d’exciter l'enthousiasme du public66.
Le chercheur Fabien Escalona souligne qu'En marche ! figure
parmi les rares partis d'Europe occidentale créés « ex
nihilo » en suivant le modèle de « la
professionnalisation des organisations partisanes et [de]
l’importation des techniques managériales »3.
Le QG du mouvement est d'abord situé au 14e étage de la
tour
Montparnasse67,
puis transféré en novembre 2016 dans des bureaux du
15e arrondissement
de Paris68,
99 rue
de l'Abbé-Groult69.
Le parti s'appuie en outre sur le collectif Les Jeunes Avec
Macron70,71,72
qui gère notamment le site Vision Macron73
mettant en avant la vision et les propositions du candidat Emmanuel
Macron pour l'élection
présidentielle de 2017.
Adhérents
Le mouvement compte comme adhérents toutes les personnes ayant
communiqué leur courriel,
leur adresse complète (adresse postale, code postal et ville), un
numéro de téléphone, leur date de naissance, et ayant adhéré à
la charte du mouvement74.
Il ne leur est cependant pas nécessaire de verser d'argent,
contrairement aux autres partis politiques18,40.
Emmanuel Macron indique qu'il est possible d’adhérer tout en
restant membre d’un « autre parti républicain »17.
Le 10 avril 2016, quelques jours après le lancement du mouvement,
Emmanuel Macron revendique 13 000 adhérents75.
Le
Canard Enchaîné l'accuse de gonfler ses chiffres
et prétend qu'il s'agirait en réalité de 13 000 clics
sur son site76.
Ismaël Emelien, conseiller d'Emmanuel Macron, précise que « Chaque
adhérent signe une charte des valeurs et dispose d’une voix à
l’assemblée générale du mouvement, cela n’a rien à voir avec
ceux qui s’inscrivent à la newsletter,
beaucoup plus nombreux »77.
Sylvain Fort, autre conseiller d'Emmanuel Macron, assure également
que le mouvement vérifie les adresses e-mail valant adhésion mais
concède que « le système repose sur l’honnêteté de
l’adhérent »40.
En marche ! revendique 80 000 adhérents en septembre
2016 ; Le Monde indique alors : « Si le
chiffre est exact, il fait de En Marche ! l’un des premiers
partis politiques de France »77.
Revendiquant 88 000 adhérents en octobre 2016, Emmanuel Macron
affirme être « au coude-à-coude avec le Parti
socialiste » en seulement « 7 mois »
d'existence78.
D'après Mediapart, on y compte « beaucoup
d'indépendants, de cadres du privé ; peu de fonctionnaires,
d'agriculteurs ou de chômeurs. Beaucoup n'ont jamais été engagés
en politique. La plupart n'ont fait que signaler leur intérêt en
laissant leurs coordonnées sur le site »39.
En marche ! s'inspire du modèle participatif de Désirs
d'avenir, le mouvement de Ségolène
Royal, et entend s'appuyer sur ses fichiers
d'adhérents d'après le député Pascal
Terrasse, proche d'Emmanuel Macron et ancien animateur
de Désirs d'avenir79,80,81.
D'après Libération, le mouvement s'appuie sur un « système
d’enrôlement pyramidal directement inspiré des campagnes d’Obama
en 2008
et 2012 »18.
En s'appuyant sur un modèle de politique participative, chaque
adhérent d'En marche à la possibilité de rejoindre ou de
créer librement et gratuitement un comité local. Chacun des ces
comités est animé par un ou plusieurs adhérents (nommés référents
ou animateurs), qui en organisent la vie en proposant des événements
locaux, des rencontres et débats autours des idées et des valeurs
portées par le mouvement[réf. nécessaire].
En marche ! comptait en décembre 2016 plus de 2 600
comités82.
Financement
Christian Dargnat, ex-directeur général de BNP Paribas Asset
Management, préside l'association de financement d'En marche83 !
Celle-ci mène dès sa création une levée de fonds, y compris lors
d'un déplacement d'Emmanuel Macron à Londres,
ce qui pousse le député Les Républicains Georges
Fenech à interpeller le gouvernement à ce sujet à
l'Assemblée nationale et le Premier ministre, Manuel
Valls, à apporter un démenti, alors même qu'En
marche ! assume l'initiative83,84.
Emmanuel Macron déclare en mai que 2 000 donateurs ont déjà
versé des contributions financières (limitées à 7 500 euros
par la loi) à En marche37 !
Il évoque « plus de 10 000 donateurs de 1 euro à 7 500
euros » en décembre 201685.
Fin décembre 2016, il a recueilli, selon les sources, 4 à 5
millions d'euros de dons86,62.
Emmanuel Macron est accusé dans un livre à charge Dans l'enfer
de Bercy: Enquête sur les secrets du ministère des Finances (JC
Lattès, 2017) des journalistes Frédéric Says et Marion L'Hour
d'avoir utilisé 120 000 euros de frais de bouche du budget
de Bercy (80% de l'enveloppe annuelle) du 1er janvier au
30 août 2016 pour préparer sa campagne présidentielle87.
Campagne présidentielle de 2017
Dans le cadre de sa candidature à l'élection
présidentielle de 2017, Emmanuel
Macron organise plusieurs meetings à travers la
France à compter de mi-2016, notamment le 12 juillet à Paris88
qui rassemble environ 2 000 personnes, le 4 octobre à
Strasbourg89,note
2 qui rassemble environ 1 200 personnes,
le 11 octobre au Mans90,note
3 qui rassemble environ 1 000 personnes,
le 18 octobre à Montpelliernote
4 qui rassemble environ 1 600 personnes,
le 17 novembre aux Pennes-Mirabeaunote
5,91
qui rassemble environ 1 200 personnes et le 10 décembre à
Parisnote
6,92
qui rassemble environ 10 000 personnes (pour un coût
estimé entre 400 000 et 450 000 euros93).
Dès le début de 2017, il organise de nouveaux meetings. À Nevers
le 6 janvier, réunissant près de 1 000 personnes puis le
lendemain à Clermont-Ferrand,
rassemblant 2 500 personnes. Le 14 janvier, il organise un
meeting au zénith
de Lille
attirant entre 4 000 et 5 000 personnes. Le 4 février,
au palais
omnisports de Gerland à Lyon,
son meeting attire environ 8 000 personnes et plusieurs
milliers d'autres devant des écrans géants à l'extérieur94.
En février 2017, l'entourage d'Emmanuel Macron estime que le
mouvement En marche ! est victime de « plusieurs centaines
d'attaques » informatiques chaque jour95
et que 50% du trafic serait "malveillant"96.
Soutiens
Parlementaires et personnalités nationales
Depuis la création d'En marche !, Emmanuel Macron a reçu des
soutiens de la part de plusieurs parlementaires principalement PS
(Florent
Boudié97,
Nicole
Bricq98,
Jean-Jacques
Bridey99,
Christophe
Castaner99,
Jean-Yves
Caullet100,
Gérard
Collomb101,
Anne
Emery-Dumas102,
Corinne
Erhel103,
Richard
Ferrand104,
Bariza
Khiari105,
Jean
Launay106,
Arnaud
Leroy107,
Jean-Pierre
Le Roch108,
Gérard
Miquel106,
François
Patriat109,
Stéphane
Travert110,
Pascal
Terrasse111,
Jean-Louis
Touraine112,
Jean-Pierre
Masseret113)
mais aussi PRG (Philippe
Esnol114 ,
François
Fortassin115,
Joël
Giraud116,
Jacques
Krabal117,
Françoise
Laborde118,
Jacques
Mézard119,
Alain
Tourret120),
du Parti
écologiste (François
de Rugy121)
et un DVG (Paul
Giacobbi122
). Après la victoire de Benoît
Hamon à la primaire
citoyenne de janvier 2017, les députés Alain
Calmette et Marc
Goua rejoignent Emmanuel Macron123.
Le député Christophe
Caresche fait de même le 26 février 2017, suivi dans
la journée par l'ancien eurodéputé écologiste Daniel
Cohn-Bendit124.
Le 8 mars 2017, l'ancien maire de Paris
Bertrand
Delanoë annonce son soutien au candidat125.
-
Il est soutenu notamment par cinq anciens ministres et secrétaires d'État issus de gouvernements de droite : Renaud Dutreil (LR)127, Jean Arthuis (UDI)128, Serge Lepeltier (UDI)129, Jean-Paul Delevoye130 et Anne-Marie Idrac131.
-
Avec Jean Arthuis (UDI), deux autres députés européens lui apportent leur soutien : Sylvie Goulard (MoDem)132 et Jean-Marie Cavada (Génération Citoyens)133
-
Les anciens députés européens UMP Christine de Veyrac134 et Jean-Louis Bourlanges le soutiennent135.
-
Le député MoDem de La Réunion et maire de Saint-Leu, Thierry Robert, annonce le 5 février 2017 son soutien et qu'il serait le délégué du candidat dans cette région d'outre-mer136.
-
François Bayrou annonce le 22 février 2017 son ralliement "sous condition", ralliement accepté le jour même par Emmanuel Macron137. Le lendemain, Jean-Jacques Lasserre, sénateur et Président du Conseil départemental des Pyrénées-Atlantiques proche de François Bayrou, annonce qu'il votera pour Emmanuel Macron138.
-
Le sénateur MoDem de la Loire Gérard Roche est l'un des premiers parlementaires à parrainer officiellement la candidature d'Emmanuel Macron139.
Élus locaux
Plusieurs personnalités politiques locales, de gauche, de droite et
du centre, apportent leur soutien au mouvement. Cette liste est
non-exhaustive et classée par ordre alphabétique.
Personnalité
|
Parti
|
Principales fonctions
|
|
|
Maire de Saint-Denis
de La
Réunion.
|
||
|
Président du conseil
régional de la Guadeloupe.
|
||
|
Conseiller de Paris.
|
||
|
Conseillère régionale d'Île-de-France.
|
||
|
Conseiller départemental de l'Aveyron, 2e
adjoint à la mairie de Rodez et ancien sénateur de l'Aveyron.
|
||
|
Président du Conseil
départemental du Lot.
|
||
|
Président de Montpellier
Méditerranée Métropole, maire de Montpellier.
|
||
|
Président de Rodez
Agglomération, maire de Rodez.
|
||
|
Vice-président du conseil
régional de Normandie, maire
d'Hérouville-Saint-Clair
|
||
|
Conseiller régional d'Auvergne-Rhône-Alpes.
|
Autres
Emmanuel Macron est également soutenu par Jean-Marc
Borello, dirigeant associatif depuis 1998 et président
du directoire du groupe
SOS150,
l'homme d'affaires Alain
Minc151
et par Jacques
Attali152.
Les hommes d'affaires Henry
Hermand, Marc
Simoncini et Jean
Peyrelevade affichent également publiquement leur
soutien au mouvement107,
comme aussi Bernard
Kouchner et Corinne
Lepage153.
En octobre 2016, Bernard
Mourad quitte Altice
Media Group (propriétaire de Libération,
L'Express, etc.)
pour rejoindre l'équipe d'En Marche en tant que conseiller
spécial154.
Plusieurs dirigeants de think
tank font également partie des soutiens du
mouvement : Claude
Bébéar et Laurent
Bigorgne155
de l'Institut
Montaigne, Thierry
Pech de Terra
Nova et Gilles
Finchelstein de la Fondation
Jean-Jaurès107.
Le 28 novembre 2016, 130 membres de l'UDI
Jeunes et élus annoncent leur soutien à Emmanuel
Macron156 ;
ils sont suivis le 10 janvier 2017 de 15 militants du MoDem157.
Après l'annonce par François
Hollande de son intention de ne pas briguer un second
mandat le 1er décembre 2016, Jean-Pierre
Mignard, avocat proche du PS et ami de François
Hollande, exprime son soutien à Emmanuel Macron158,
ainsi que son confrère Dominique
Villemot159.
En février 2017, l'ancien juge Éric
Halphen rallie sa candidature160.
En janvier 2017, l'économiste Jean
Pisani-Ferry donne sa démission de France
Stratégie pour rejoindre l'équipe de campagne
d'Emmanuel Macron161.
Il est en charge du « projet de transformation » d'En
marche ! et de son cadrage budgétaire5.
Dans le même temps, la journaliste Laurence
Haïm quitte la chaîne d'information I-Télé,
pour devenir porte-parole du candidat162.
Le 27
janvier
2017,
environ 80 militants, maires, élus généraux, régionaux ou
responsables nationaux du Parti
radical de gauche appellent à rejoindre Emmanuel
Macron163.
Initialement candidat du Mouvement
des progressistes à l'élection présidentielle,
Sébastien
Nadot se retire le 27
février
2017
pour rejoindre Emmanuel Macron164.
Le général Bertrand
Soubelet rejoint l'équipe de campagne d'Emmanuel
Macron165
et fait partie des candidats investis par En Marche ! aux
élections législatives.
Le député
européen, président du groupe ADLE
et ancien Premier
ministre de Belgique Guy
Verhofstadt apporte son soutien à Emmanuel Macron166.
Polémiques
Financement et accusations de conflits d'intérêt
Fin 2016, le responsable communication du candidat déclarait avoir
déjà récolté 3,7 millions d'euros de dons pour la
présidentielle167
c'est-à-dire entre 2 et 3 fois le budget de François
Fillon ou Alain
Juppé pour la primaire
de la droite168.
Son parti politique ne bénéficiant pas encore de financement
public, l'ensemble de cette somme provient de dons de particuliers22.
En novembre 2016, Benoît Hamon presse Emmanuel Macron de révéler
la liste de ses donateurs, mettant entre autres en avant les conflits
d'intérêts possibles liés à son statut d'ancien associé de la
banque Rothschild169.
Ce dernier refuse cette transparence, taxant la demande de
« démagogique ».
Frais de représentation
Dans leur ouvrage intitulé Dans l’enfer de Bercy, les
journalistes Marion L'Hour et Frédéric Says relèvent qu'Emmanuel
Macron a utilisé à lui seul 80% de l’enveloppe annuelle des frais
de représentation accordée à son ministère, soit plus de 120 000
euros en huit mois. Il est alors accusé d'avoir utilisé cet argent
pour mettre en avant son mouvement En Marche. Ces accusations
sont renouvelées par les députés Christian
Jacob (LR) et Philippe
Vigier (UDI). S'il confirme les dépenses, son
successeur au ministère de l'économie Michel
Sapin n'y voit quant à lui rien d'illégal,
considérant que Macron « n'a pas dépensé plus »
d'argent qu'il n'en avait le droit. Il déplore en revanche son
désengagement vis-à-vis de ses fonctions lors de ses derniers mois
au ministère170.
Identité visuelle (logo)
Premier logo, déposé à l'INPI le 8 avril 201657.
Second logo, déposé à l'INPI le 9 février 201759.
Cliquez
sur une vignette pour l’agrandir.
|
Notes et références
Notes
-
↑ Le nombre d'adhésion est mis à jour de manière instantanée. Son mode diffère de celui des partis politiques traditionnels, notamment en raison de sa gratuité. Voir En marche !#Organisation.
-
↑ Première partie du diagnostic du pays sur le thème de la Vie engagée.
-
↑ Deuxième partie du diagnostic du pays sur le thème de la Vie quotidienne.
-
↑ Troisième partie du diagnostic du pays sur le thème de la Vie ensemble.
-
↑ Premier meeting en tant que candidat à la présidentielle de 2017.
-
↑ Premier grand rassemblement de campagne.
Références
-
↑ Thomas Wieder, « Emmanuel Macron à Berlin pour se donner une stature européenne » [archive], sur lemonde.fr, 10 janvier 2017 (consulté le 10 janvier 2017).
-
↑ a et b « En marche ! Un social-libéral pour piloter le projet de Macron » [archive], sur L'Humanité.fr, 12 janvier 2017 (consulté le 12 janvier 2017).
-
↑ a et b Site officiel d'En Marche ǃ - Une charte pour avancer ensemble [archive] - Nous préférons l’innovation à tous les conservatismes. Nous refusons de penser qu’il n’y a de salut que dans un retour vers le passé et pensons au contraire que l’avenir de la France nécessite de renouer avec l’idée de progrès. Nous croyons de manière radicale au progrès collectif et à l’émancipation individuelle : la transformation de la société est une nécessité de justice autant que d’efficacité.
-
↑ a, b et c Site officiel d'En Marche ǃ - Une charte pour avancer ensemble [archive] - Nous croyons que le destin de l’Europe et celui de la France sont indissociables : renouer avec le rêve européen est la condition de notre réussite politique et économique dans la mondialisation.
-
↑ Vision Macron - L’intégration dans la mondialisation [archive] - « Les grands succès économiques de notre pays sont tirés par la croissance du monde, nous n’avons plus le choix et c’est même notre chance. Il est illusoire de vouloir s’opposer à la mondialisation, le repli sur soi n’est pas une solution tenable, la mondialisation comme réalité économique doit être comprise et acceptée. »
-
↑ Site officiel d'En Marche ǃ - Une charte pour avancer ensemble [archive] - Enfin, et surtout, nous voulons remettre notre économie et notre société en mouvement.
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↑ Site officiel d'En Marche ǃ - Une charte pour avancer ensemble [archive] - Nous considérons ainsi qu’il faut en finir avec la politique comme profession réglementée, et tout faire pour que les citoyens soient mieux associés aux décisions qui les concernent. Nous considérons que le fonctionnement démocratique de nos institutions doit être réinventé : trop de gens se sentent aujourd’hui exclus d’un système pourtant censé les représenter. Nous sommes attachés à ce que chacun des adhérents d’En Marche respecte les lois de la République, ainsi que les règles élémentaires de la courtoisie, du respect d’autrui, de l’honnêteté et de la probité. Nous condamnons de manière générale tous les actes et tous les propos qui jugeraient une personne pour ce qu’elle est. Chacun des adhérents d’En Marche s’engage donc à ne pas commettre de discrimination ou d’abus de pouvoir et à signaler tout conflit d’intérêt. Seront notamment susceptibles d’être exclu(e)s de notre collectif celles et ceux qui feraient l’objet d’une condamnation définitive pour des faits ou comportements contraires aux valeurs exprimées ici. Nous croyons en l’intérêt général : la politique, telle qu’elle nous anime, doit transcender les intérêts particuliers et se dresser contre les corporatismes qui sclérosent notre pays.
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↑ L'Opinion - Emmanuel Macron, radiographie d’un phénomène sur les réseaux sociaux - Véronique Reille-Soult - 8 septembre 2016 [archive] - « La force d’Emmanuel Macron ou en tout cas ce qui participe grandement à son succès sur les réseaux sociaux est son acceptation à cette sorte de « lâcher-prise ». En acceptant que chacun puisse s’approprier à sa façon, avec ses mots et ses points de convergence et de divergence, l’expression de son mouvement « En Marche ! », il s’est parfaitement aligné avec ces nouveaux codes et usages. En pratiquant ainsi, il inspire, conduit, mais laisse le soin au public internaute de s’approprier ses idées par une contribution individuelle. Les créations de hashtags se font spontanément, en dehors du cercle des soutiens officiels et il n’y a pas d’éléments de langage officiel, chacun s’exprime selon son ressenti et son envie. Cette pratique nouvelle permet un meilleur rayonnement des messages, une plus grande influence du web. C’est une approche moderne et en phase avec les codes 2.0. »
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