Cher ami, Monsieur le Secrétaire général,
traiter, et en fondamental, en dernier année de mandat, du Code du Travail comme si la question se découvrait soudainement, c'est déjà considérable : cf. la position de l'épiscopat français, mais jouer les Français selon l'emprise supposée du ballon rond et donc selon ce qui est le moins en rapport avec les questions posées, ou encore peloter les chefs syndicaux en très privé, est-ce la démocratie ? est-ce digne d'un grand pays ? est-ce de la politique telle qu'elle vaille la grande bataille de l'élection présidentielle ? est-ce s'y prendre autrement qu'avant 2012 ou que maintenant les candidats aux primaires de la droite, dérisoires et passéistes devant les maires de France ?
Craignez que l'Histoire, et les commentateurs s'il y en a de véritable étoffe, décident qui est petit.
Combien je souhaite que tout soit autre ! et que nous n'ayons pas perdu - déjà - peut-être vingt ans, en tout cas dix, certainement quatre puisque l'espérance était précise, civique et pas bête.
Pensées et voeux.
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